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Ce qui nous gêne le plus
Ce qui nous gêne le plus dans les Juifs, quand on examine la situation, c'est leur arrogance, leur revendicarisme, leur perpétuelle martyrologo-dervicherie, leur sale tam-tam. En Afrique, chez les mêmes nègres, ou leurs cousins au Cameroun, j'ai vécu des années seul, dans un de leurs villages, en pleine forêt, sous la même paillotte, à la même calebasse. En Afrique, c'étaient des braves gens. Ici, ils me gênent, ils m'écoeurent. Ils ne devenaient tout à fait insupportables au Cameroun, qu'au moment de la pleine lune, ils devenaient torturants avec leur tam-tam... Mais les autres nuits, ils vous laissaient roupiller bien tranquille, en toute sécurité. Je parle du pays "pahoin", le plus nègre pays de nègres. Mais ici, à présent, en France, Lune ou pas Lune, toujours tam-tam!... Nègres pour nègres, je préfère les anthropophages... et puis pas ici... chez eux... Au fond, c'est le seul dommage qu'ils me causent, un dommage esthétique, je n'aime pas le tam-tam... Quant à la matérielle, mon Dieu! il m'était
extrêmement facile de m'arranger... Je pouvais me payer le luxe, non seulement d'ignorer toutes ces turpitudes, mais il m'était enfantin de
profiter, et comment, fort grassement, mirifiquement de cette invasion murine... putréfiante... Mille moyens, mille précédents! Il m'était loisible entre autres, si l'on considère mes charmes, mon très avantageux physique, ma situation pécuniaire solide, d'épouser sans faire tant d'histoires, quelque petite juive bien en cour... bien apparentée... (Il en vient toujours rôder, tâter un peu le terrain), me faire naturaliser par là même, "un petit peu juif"... Prouesse qui se porte superbement en médecine, dans les Arts, la noblesse, la politique... Passeport pour tous les triomphes, pour toutes les immunités... Tous ces propos, j'en conviens, tiennent du babillage... Bagatelles!... Babillons!... Nous avons noté que les Juifs semblent avoir choisi l'anglais pour la langue de standardisation universelle (ils faillirent opter pour l'allemand)...
N'est-il pas amusant à ce propos d'observer que les jeunes Juifs des meilleures familles (Juifs français compris), se rendent le plus souvent à Oxford pour achever leurs études. "Finishing touch!" Suprême vernis! Si je voulais, si les circonstances m'obligeaient, je pourrais peut-être écrire directement mes livres en anglais. C'est une corde pour me défendre, une petite corde à mon arc. Je ne devrais pas me plaindre... Mais personne ne m'a fait cadeau de mon petit arc... J'aurais bien voulu qu'on me fasse dans la vie quelques cadeaux! Tout est là!... Pour le moment je préfère encore écrire en français. . Je trouve l'anglais trop mou, trop délicat, trop chochote. Mais s'il le fallait... Et puis les Juifs anglo-américains me traduisent régulièrement, autre raison... et me lisent!... Nous ne sommes pas très nombreux, parmi les auteurs français [204] de la "classe
internationale". Voilà le plus triste. Cinq ou six, je crois... tout au plus, qui pouvons étaler... C'est peu... beaucoup trop peu!... L'invasion est à
sens unique, cela me gêne.
Les éditeurs judéo-anglo-saxons, très au courant des choses de la fabrication littéraire, les reconnaissent les romans "standard", ils en font fabriquer d'exactement semblables, tous les ans, par milliers, chez eux. Ils n'ont que faire de "répliques", s'embarrasser d'autres postiches... Personnellement, il me sera possible, sans doute, de me défendre encore pendant quelque temps, grâce à mon genre incantatoire, mon lyrisme ordurier vociférant, anathématique, dans ce genre très spécial, assez juif par côtés, je fais mieux que les Juifs, je leur donne des leçons. Cela me sauve. Je passe chez les Juifs des Etats-Unis pour un esprit fort. Pourvu que ça dure!Nous ordonnons que tout Juif maudisse trois fois par jour tout le peuple chrétien et prie Dieu de l'exterminer avec ses rois et ses princes.
Le Talmud.
Tout à fait par hasard je tombe l'autre jour sur un journal que j'ignorais: "L'Univers Israélite", du 15 novembre 1937... Nous avons tort de ne pas lire régulièrement "L'Univers Israélite". Un seul numéro de cet U.I nous apprend beaucoup plus de choses essentielles sur la marche du monde, que toute notre presse trahisonnante, pour esclaves, pendant tout un mois.
Ainsi nous lisons: "L'Art de Hâbimah. A l'Exposition 37". Vous allez voir comme s est instructif...
"L'art en général peut être divisé en deux catégories: art national et art international...
"Au premier, appartiennent principalement les artistes de la parole: poètes, orateurs, acteurs...
"Au deuxième, les peintres, les sculpteurs, les musiciens, les chanteurs. Le rayon des artistes de la parole est très limité; il s'étend sur tel pays, ou tel autre -- parfois il embrasse aussi un pays voisin. En d'autres termes les artistes de la parole sont organiquement liés à leur terre, et seul leur peuple les connaît, les comprend, les apprécie à leur juste valeur.
"Plus heureux est l'art international: ses enfants doués sont chéris dans le monde entier, ils sont partout chez eux, pour eux, tous les peuples ont des yeux et des oreilles. Les exemples ne manquent pas! Picasso et Chagall, Rodin et Epstein, Duncan et Fokine, Menuhin, Heifetz, Chaliapine...
De très grands artistes de la parole rompent de temps à autre les barrières de leur langue et de leur pays et deviennent internationaux -- telles la Duse et Sarah Bernhardt. Mais cela n'arrive que très rarement, il faut pour cela un talent extraordinaire, prodigieux, une situation particulière, une rare énergie, une langue universellement répandue.
"Vachtangoff, ce génial metteur en scène russo-arménien - et en certain sens aussi juif -- s'est créé une méthode nouvelle. Il n'a pas voulu attendre que le grand, le très grand artiste fût né: il l'a pétri lui-même, lui a insufflé une âme vivante. Il y est parvenu principalement parce qu' il a
su unir tous les talents de la parole en un ensemble magnifique, tous les tempéraments artistiques en un seul rythme, avec les qualités des uns suppléer aux défauts des autres. De plus, il avait incorporé dans chaque pièce théâtrale tous les arts possibles,-- musique et peinture, choeurs, danses et chants. Il ne l'a pas fait d'une façon mécanique mais d'une manière organique comme la religion dans ses extases de prières et de foi.
«La langue de la Bible, si belle qu'elle paraisse dans la bouche des artistes de "Habimah" ne joue qu'un rôle minime.
«Ce n'est pas en vain que de nombreux théâtres se sont mis à imiter "Habimah" dans son art, ils ont entrevu la colombe de l'Arche de Noé, l'annonciateur d'une expression internationale pour les artistes de la parole, ces émissaires spirituels qui créent des liens entre les peuples mieux que n'importe quel représentant diplomatique. C'est pourquoi nous devons tous saluer "Habimah" et ses artistes, à l'occasion de leur nouvelle
apparition à Paris, contribuer à leur succès moral et matériel. Nul mieux que "Habimah" ne saurait parler pour nous au coeur des peuples étrangers qui ne nous connaissent pas ou ne veulent pas nous connaître."« Exclusif : AuBonTouite se lance dans le coaching complotiste !Yenisei - This Place Was A Shelter (Official Music Video) »
Tags : juif, autre, artiste, tam, parole
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