• Et le prolétaire qu'en fais-tu ?

    -- Et le prolétaire qu'en fais-tu ? qu'il me répond...
     -- Il sera fleur lui, comme toujours. Il est alcoolique et cocu. Le communisme c'est qu'un vocable pour réunions, une gigantesque stavisquerie ! T'as vu les choeurs rouges maintenant, ils nous donnent tout rafraîchi le " Chant du départ " à la sauce internationale... Ça te dit rien ? Demain, tous les charniers de monde débiteront de la viande " kachère " sur tous les hymnes favoris... J'entends déjà " dans la carrière " Blaoum proposer de l'Aryen, en hachis " à la carmagnole " ! N'importe quelle révolution tourne aussitôt débutée, en Topazerie fantastique. Les grands aieux de 93 furent tous cupides à qui mieux mieux... Fous délirants de bien se remplir... Tous ils ont foncé dans la caisse, " estouffarès " le patrimoine. Et tant que ça peut, ni plus ni moins que Gens de Cour... Les idées, les apostrophes les plus huppées, fringantes doctrines, ne servent, c'est prouvé, jamais, en définitive, qu'à s'arracher les esclaves, éberlués devant les baraques, transis d'avoir à choisir parmi les violentes distractions, les gueules ouvertes... Qui monte la plus belle entourloupe dans la foire du monde, prendra le plus de foule dans ses planches. Tout le monde entrera... Que tout le monde, que le trèpe fonce, se précipite ! \bus ne savez pas tous, figures, comme dehors vous êtes malheureux ! Les gonds pivotent, les chaînes retombent. le tour est joué... Salut vilains zoizeaux !... En revoilà pour trois,... quatre siècles,... dix, vingt... d'après la force des cloisons. Tel maître aussi fumier qu'un autre, tous aussi menteurs, fourbes, hystériques et lâches... Plus ou moins sadiques. Mais ils croissent en charognerie à la mesure des expériences... Ils profitent, s'instruisent... comparent... Athènes... Rome... 93... les Romanoff... Les Juifs, ils étudient beaucoup, complotent sans arrêt... Les " banquistes " de la Commune juive sont au point... Ils battent l'estrade à grands flonflons... Prolos ! mes frères martyrisés, prolos des cent pays du monde... je suis mûr pour vous affranchir ! Je m'en ressens au maximum ! pour vous donner tout votre confort... Je reprends un peu la férule, pour mieux vous défendre, mes enfants... ! La sécurité de vos vieux jours !... Passez voir dans l'intérieur !... Un bon mouvement !... N'ayez pas de crainte !... Vous entendez qu'on égorge derrière la cloison ? C'est une illusion de vos sens ! C'est un triste ragot fasciste ! Allez ! Allez ! Pressons-nous ! Pressons-nous tous ! Si j'ai un gros cadenas en poigne une clef formidable... C'est un cadeau que je veux vous faire... C'est pour mieux encore vous chérir !... pour que vous retombiez dans la vie... Allons ! Allons ! du cinéma !... on vous en donnera tous les jours...
     Le Juif international, il nous fera regretter Schneider, Thiers, Wendel et Gengis-Khan... Le Juif sera le pire des maîtres, plus renseigné, plus fielleux, plus minutieux, je vous garantis, complètement stérile, " monrovien " pour la construction, incapable de rien bâtir sauf des prisons (voir la Russie). Où il n'a pas son pareil, c'est pour éberluer l'Aryen, lui faire avaler les grenouilles, le faire rebondir comme il veut de galère en abattoir, aucune résistance sérieuse, l'occidental primate, buté, ivrogne, jobard et cocu. C'est un esclave né pour Juifs, tout cuit, ahuri dès l'école primaire par des phrases et puis par l'alcool, plus tard on l'émascule par l'instruction obligatoire... Pour être sûr qu'il s'en relèvera pas, qu'il aura plus jamais de musique, qu'il ne chantera plus jamais son petit air personnel non-juif, on lui crève l'âme, comme on crève les yeux aux pigeons, pour qu'ils ne se tirent plus. On l'achève par la vinasse. Que peut-il devenir au mieux ?... Schupo, garde-mobile, manoeuvre... Chien plus ou moins. C'est-à-dire chien de Juifs. Aucun satrape aryen ne dure, ne peut durer. Ils ne brandissent les uns les autres, pour exalter leurs troupeaux de buffles, que de médiocres mystiques, régionales, rétriquées, défensives... Vous verrez Hitler ! La mesure du monde actuel, ce sont des mystiques mondiales dont il fait se prévaloir ou disparaître... Napoléon l'avait compris. Le grand secret de la jungle, de toutes les jungles, la seule vérité des hommes, des bêtes et des choses. " Etre conquérant ou conquis ", seule dilemme, ultime vérité. Tout le reste n'est qu'imposture, falsifis, troufignoleries, rabâcheries électorales. Napoléon a fait tout son possible, des prodiges, pour que les blancs ne cèdent pas l'Europe aux nègres et aux asiates. Les Juifs l'ont vaincu. Depuis Waterloo le sort en est jeté. A présent, le coup n'est plus le même, ils ne sont pas chez nous, les Juifs. C'est nous qui sommes chez eux. Depuis l'avènement de la Banque Rotschild, les Juifs ont repris partout la forte idée... Ils pissent aussi eux sur les mots. Etre partout, vendre tout, détenir tout, détruire tout, et l'homme blanc d'abord !... Vbilà un programme consistant !...Plus tard on fera bien d'autres progrès, bien plus admirables... On se passera de l'or, des ordres précis suffiront pour la masse des esclaves. Les Juifs ne montrent pas leurs chefs... Ils tissent leur trame dans l'ombre... Ils n'exhibent que leurs pantins... leurs amuseurs, leurs " vedettes "... La passion juive, si unanime, si térébrante, est une passion de termitière. Dans la progression des vermines, tous les obstacles sont délabrés, dilués, englués peu à peu, jusqu'aux fibres... ignoblement résolus dans le pire, fienteux magma du jus pourri et des mandibules... jusqu'aux calamités totales, à l'écroulement définitif, au vide juif.

    "Bagatelles pour un massacre" *

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