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L'ÉCOLE DES CADAVRES (5ème partie)
Faut bien qu’on en reparle… C’est une rengaine, mais ça ne fait rien… La gravité de la chose… Qui nous trame, trafique, ourdit, provoque toutes nos révolutions ? Tous nos désastres ? Toutes nos guerres ? Tous nos massacres ? Notre perpétuelle répugnante débâclerie ? La Juiverie ! Messieurs, Mesdames ! Et surtout la juiverie anglaise ! Le condensé virulicide des plus pernicieux vibrions de toute l’espèce youtre, les mieux préparés, par passages, mijoteriesinnombrables, séculaires à nous fermenter davantage, nous liquéfier, nous puruler, nous corrompre fantastiquement, et puis nous repiquer encore, requinquer en transes belliqueuses, aux tétanismes furioso-démagogiques, aux obscénités suicidaires, à la merde 93, et puis nous sonner de nouveau, nous affaler dans les chiots du Suffrage Universel, tous saignants, par regardables, perdus, léthargiques. Et ça continue la musique ! et ça finira jamais ! les accès, les transes, les gigoteriesépileptiques ! Tant que les judéo-britons l’auront si facile de nous mettre en boîte, y a pas de raison que ça se termine. Notre destin est Catastrophe. Marlène Dietrich ne pouvait rien, qu’elle prétendait, contre l’amour. Elle avait pas de résistance. [143] Nous non plus, on en a pas contre les vacheries de “l’Intelligence”. On est de même, on se refait pas. On est des “voués”. Elle nous mine, elle nous ravage, elle nous saccage, elle nous éreinte, elle nous pourrit de mille manières, comme elle veut. Jamais un mot dissonant. L’engeance vibrione juiveanglaise peut effectuer sur nos viandes les plus folles proliférations, les plus gangreneuses, les plus nécrosantes, les plus déconcertantes de délabreries très horribles. Jamais une remarque. Nous nous prêtons d’enthousiasme, adorablement, aux plus guignolesques, abracadabrantes charogneries (14 et la suite), du moment qu’elles sont inspirées, ordonnées par “l’Intelligence”. Nous raffolons de nos vautours, de nos diaboliques. C’est notre masochisme à nous, national, notre vice “étranger”, notre exotisme au nord. Qu’ils nous détruisent ! qu’ils nous dépiautent ! qu’ils nous vident ! qu’ils nous retournent le blanc des yeux. On aime ça. On aime ça, on leur appartient corps et âmes ! On est leurs cobayes, leurs folles viandes d’essai.
Nous les parcs sociologiques des pires comploteries maçonniques, de toutes les vivisectionneries expérimentales, de toutes les guerriologies furieuses. Rien ne nous rebute. Rien ne nous semble excessif. Jamais de refus. Jamais un mot disparate. La vraie devise des Français 1938 : « Tout pour les Youtres d’Angleterre ! Tout pour Ben John Bull ! » La Cité, “l’Intelligence”, la Cour juive anglaise sont parfaitement responsables, depuis Cromwell, de toutes nos faillites, de toutes nos débâcles, en tous genres : continentales,coloniales, sociales, monétaires, spirituelles. La Grande Maçonnerie anglaise et la nôtre dans l’obédience, nous maintiennent impeccablement dans les moyennes putréfactions. [145] La fantastique, interminable prospérité judéo-britannique n’existe, ne dure, ne peut durer sans éclipses, qu’en fonction de notre servitude, de notre ahurissement, de notre débilité, de notre endémique anarchie. Une France toujours bien faisandée, politiquement bien grotesque, velléitaire, hâbleuse,cafouilleuse, toujours tout près de la faillite, budget jamais en équilibre, docile à tous lesordres bancaires, c’est-à-dire aux crochets de Londres, est une France extrêmement maniable,infiniment agréable aux Lords talmudiques de la Cité. Jamais de résistance ! une véritable providence ! Selon l’heure, les circonstances, y a qu’à nous agiter un peu, nous attiser, nous filer encore quelques secousses, un peu de panique, nous tritouiller, nous raviver la pourriture, nous asperger, si c’est le moment, de quelques révulsifs scandales (Panama-Dreyfus-Stavisky). Et ça repart de plus belle ! et ça refume ! çarefermente ! on est de plus en plus pourris ! C’est un plaisir ! Comme ça qu’elle nous entretient juste devant sa porte l’Angleterre, qu’elle nous possède à la fourche, un purin splendide ! plus ou moins croulant, juteux, gonflé, raplati, à son aise, toujours prêt à se faire envoyer lui fumer d’autres bénéfices, d’autres comptoirs britanniques un peu partout. Ça va ! Ça va ! Ça ira !... Jamais ils l’ont eue si facile les business judéo-britons qu’avec nous sur le continent. Toujours prêts à nous répandre dans toute les crevasses, dans toutes les horreurs qu’ils fricotent pour que ça repousse, que ça reprenne admirablement, que ça refleurisse magnifique dans leurs prodigieux jardins. Même les Indes ça n’existe pas à côté de nous comme enthousiastes, comme frénétiques, comme dévotieux à la cause, à la gâterie des pires maquereaux de la Mort que le Monde a jamais connus.
L’Espagne depuis l’Armada jusqu’au débrayage Franco, stagnante, putréfiée, croupisseuse, toute la péninsule en magma d’ordures, quel parfait bourbier ravissant pour l’IntelligenceService ! Une Espagne doucement purulente, nécrosée, enfientée, gisante, avec Clergé tout à fait toc, anesthésiant, une administration de pieuvres, une police bien comploteuse, bien cupide, bien maçonnique, voilà qui colle splendidement, rassure pleinement l’Angleterre ! Une Espagne bien impuissante est aussi indispensable à la Prospérité anglaise qu’une France conasse et belliqueuse. Tout ce qui abaisse l’Espagne, élève, rassure l’Angleterre. C’est le principe depuis lesTudor. Une Espagne puissante menace l’Angleterre dans son vif, sur l’Égypte, vers les Indes.Impossible ! Question d’être des otages pourris l’Espagne nous ressemble au poil, tous les deux à la même enseigne. La très périlleuse hégémonie de la Cité sur tout l’Orient (proche et lointain) ne tient qu’à un fil, et ce fil passe par l’Espagne. Si l’Espagne bouge, se redresse, tout casse. Une Espagne forte, indépendante, et les carottes anglaises sont cuites ! Sarah Briton peut faire ses malles, [146] Ben John Bull une croix sur les Indes. Aussi voyez comme il s’affaire, le gros maquereau britannique, comme il la couve, l’entretient la guerre d’Espagne. Aussi bien d’un côté que de l’autre, par Lœb, par Sassoon, côté gouvernemental, par Rothschild côté Franco. Jamais de succès décisifs ! Jamais de victoires concluantes ! ni d’un côté ni de l’autre ! Que des carnages, que des massacres de plus en plus ardents. Que ça saigne, que ça jute, que ça pisse partout, très abondamment. Que personne ne puisse jamais prétendre : C’est moi le plus costaud ! C’est moi le plus sérieux ! C’est moi qu’a gagné ! Ça n’existe pas ! Pas plus qu’entre Français et Allemands. Tous les cadavres, tous les blessés, tous les vendus, tous les perclus, tous les paumés dans le même sac après dix ans, vingt ans de guerre. C’est l’Angleterre toujours qui gagne, l’Albion youtre en définitive qui croque tous les marrons du feu. Ça va de soi. On fait même plus attention.
La Puissance judéo-britannique est une puissance de charognerie, qui ne s’entretient, ne se maintient que sur la décomposition de tous les États qu’elle domine. L’Hyène anglaise ne s’engraisse que dans les charniers. L’Intelligence Service lui organise de siècle en siècle toutes les catastrophes, toutes les hécatombes dont elle a besoin. Sans l’Intelligence Service l’Angleterre (avec ou sans charbon) se verrait très vite réduiteà la portion la plus congrue. On la retrouverait plus bas que l’Irlande.
Quand vous descendez hurler vos ferveurs sur le passage de Georges VI, demi-juif, de sa reine Bowen-Lyon la juive, mandatés par Chamberlain demi-juif, Eden demi-juif, HoareBelisha, (Horeb Elisha parfaitement juif), enrobés, dans la troupaille des plus chevronnés bourricots vendus de la ministrerie française maçonnique, nos caïds de service, vous pouvez sûrement vous vanter d’avoir merveilleusement passé votre après-midi. Maçon Lebrun, Maçon Bonnet, Maçon Windsor, Maçon Mary, Maçon Prince, Maçonnes Princesses, Maçon Daladier, Maçonnes Bourriques, Maçon Langeron tout ça ensemble c’est splendide ! ça peut déjà vous faire plaisir ! très plaisir ! mais c’est encore suffisant, je trouve. Il en manque. Pourquoi on les invite jamais les bourreaux de la Tour de Londres ? avec leurs collègues de Paris, M. Deibler et ses aides, à défiler ? Ça leur est dû, ça serait que justice. Les Massacreurs à la main, les prolétaires de la chose ils ont aussi droit aux honneurs. C’est de lamuflerie de notre part. Ils devraient figurer dans le cortège. Ça se faisait aux grandes époques, ça serait normal qu’on les acclame. Enfin surtout ce qu’il manque pour l’éblouissement des foules, c’est la bouleversante présence, en chair et en os, campés sur [149] piaffants destriers, des quatre grands sorciers suprêmes de l’Intelligence Service. Vive Lord Amiral Sinclair ! Vive Lord Duvean ! Vive Sir Mankay ! Vive Sir Montagu Norman ! Sortis au grand jour pour une fois ! Ah ! l’exaltante, sublime minute ! Tous Juifs ! Juifs ! Juifs ! et contre Juifs ! Là sous nos yeux, quelle faveur divine ! Je voudrais que défilent en plus : Messieurs Rothschild ! Stern ! Lazare ! Sassoon ! Barush ! Dreyfus ! Warburg ! Ils ont largement mérité ! contribué ! Alors ce spectacle ! Cet embrasement des populaces ! Au grand soleil ! Vive le Roi ! Vive le Roi ! Mais oui, Vive le Roi ! Certainement ! mais n’oubliez foutre personne ! Vive la belle Chambre juive des Lords ! Vive la plus haute Loge d’Écosse youtre ! Vivent les Sages de Sion ! Vivent tous nos carnages ! Vivent toutes nos tueries d’Aryens ! Vive le très grand Sanhédrin ! Vivent nos maréchaux si larbins ! Vivent nos patriotes si stupides ! Trop acharnément cons pour vivre ! Vivent les couteaux toujours plus gros ! Vivent les veaux ! Vivent les biques ! Vivent les bourriques ! Vivent les bourreaux !
Vivent nos rois catastrophages ! Tout rutilants, dégoulinants de viande dépecées, fumantes ! Vivent toutes nos tripes au soleil ! À bas les viscères ! Vivent toutes nos tripes autour du cou ! Vivent nos tripes un peu partout ! Hurrah ! Hurrah ! Vivent toutes les crèves ! Vivent les supplices ! Les abattoirs aux pleins pouvoirs ! Juifs encore ! Juifs partout ! Juifs au ciel ! comme sur la terre ! Amen ! Amen ! [150] Bordel de Dieu ! Nom de Dieu! Hosanna! Vive Te Deum! Pomme ! Sacrifices ! Merde ! Péritoine ! À genoux ! Chiasse ! Croix de notre mère ! Vive l’entrepôt des viandes ferventes !
Georges VI, Benesh, Daladier, M. Lebrun, Roosevelt, Pétain, MmeSimpson, Barush, Staline… Masaryk… le Comitern… Blum… Suez-Weygand… La Chambre des Lords… Le Grand Orient… Les damnés bien en chair… Thorez ! Quels sont les patrons de tous ces pantins ?Qui les commande aux ficelles ?Qui supervise tous ces tréteaux ?Mais les ramasseurs de l’or ! Les banquiers juifs ! Les Trusts juifs ! Les esprits de l’or ! Les Rabbins ! Les metteurs en scène juifs du monde juif ! Les Ardents du Grand Secret, du Kahal, de “l’Intelligence” !... Pourquoi travailler du mystère, du mic-mac fardé, du chichi puant ? de tous ces midis 14 heures ? Pourquoi tous ces mots putassiers, toutes ces rusesbrouillamineuses ? Ces bulles de marais phrasouilleux ? Toutes ces chiasses verbiologiques ?Toutes cesmythologies marxistes ? humanitaires, libératrices, trouducutristes, tyrannicoles ?Tout ce maurrassisme rhétoreux ? Ces trafignoleries surtendues ? ces dialectismesdécervelants ? On ne comprend plus !... Voilà ! Voilà ! Ne rien comprendre ! Buées ! Nuages ! Poudres ! Chèvre et chouteriespharaminantes ! Au fond de [152] tout ce charabia ? Le trognon tout pourri du monde ! l’âme du monde ! Le Juif ! c’est tout ! Salades, pétrins, bouillies de perditions, tout en vases fraternitaires, humanitairessuffoqueries gluantes où le trèpe fonce, bourbe, s’affale, vinasse, dégueule et s’endort. S’endort ? Pas longtemps ! Jusqu’à l’extrêmement prochaine ! On va vous réveiller spumeux ! Pardon papillons ! Rêveurs fascicules ! Les fournaises sont presque à point ! Crépitent ! Tout le lointain flamboye déjà fort joyeusement ! Des fleuves Jaunes aux crêtes de Castille, les Maudits, lâchés, caracolent. Ça va ronfler comme un enfer ! Dodo ! Dodo ! petites canailles ! petits lardons assoupis ! On va vous friser la couenne, la dure plante des pieds au tison ! De Moscou-la-Torture à Washington-Pétrole par Londres-la-Gavée, toute la juiverie râle, trépigne, s’exaspère, menace, éperonne ses maçons fainéants, les Loges repues, tous nos caïds,nos Jouhaux surempaoutés, surtrouilleux ! Et alors ? Foutre chienlits, vendus ! C’est pas terminé vos causettes ? Quand donc il va foncer votre trèpe ? Vous vous touchez Paris-les-Miches ? Tortus raisonneurs ! Crapuleux ivrognes ! Écœurants valets ! Trognes bandites ! Félons ! Traîtres aux Juifs ! Chancres mous !Voyous falsifieurs ! Allez me chercher Bayard ! ici ! Un grand coup de bugle pour la vaillance ! L’occasion est magnifique ! le Maréchal Bedain s’avance… « Vranzais ! Vranzais !... » Ovations monstres.
J’étais aussi à Charleroi ! comme vous tous ! J’en suis bien revenu ! Blus de Guerelles ! Blum partout ! L’oignon sacré ! Faites vous bien tous enguler ! Par nos bons perségutés !Garde à vous ! Pour défiler ! Les engulés de la gauche ! Un ! deux ! Un ! deux ! Les engulés de la droite ! Un ! deux ! trois ! quatre ! Le Juif vous paye grogneugneu ! Tout est à lui dans la Badrie ! Corps et âmes ! Avenir ! Pisse au cul du souvenir ! Culte du souvenir ! Souvenir des culs ! Présent ! Amour ! Délices ! Orgues ! Violons ! Tout à lui ! [153] Ne contrariez pas le Juif ! Qui lève la main sur le Juif périt ! Comme sur le Pape ! C’est la même chose ! Demeurez en adoration du Juif ! Plaignez le Juif comme vous plaignez Jésus ! C’est la même chose ! Affables ! plus affables encore ! suprêmement dévoués ! LaMarseillaise ! Magnanimes ! La youpignolle ! Tout pour la Badrie Vrançaise ! où tous Français seront enfin crevés ! Quelle ivresse ! Pour tous les Juifs du monde entier ! Tous Zublime ! Ils vous ont choisis ! Badrie où tous les Juifs du monde triomphants sur vos cadavres, par vos cadavres, pourront enfin bien circuler, prospérer, admirablement, sans jamais plus rencontrer l’immonde, prétentieux, reprocheux récriminateur indigène ! Sisalopiauds que vous êtes ! Pfoui ! raca ! Pouah ! sur votre charogne ! Vomis ! Poubéliques ! Glaves ! Une France toute libérée, sans Français vivants à la ronde, parfaitement sémitisée, récurée de toute la franscaille ! désinfectée 100 pour 100 ! toute purifiée par les batailles ! Français ! tortiller dans les minutes que nous vivons devient un crime ! Ne sursoyez d’uneminute ! d’une seconde ! Sus aux Teutons ! Pour la vingt et septième fois, le Rhin va charrier du sang, regorger ! que ça débordera de partout ! Les dieux juifs vous gâtent ! vous régalent ! Tous comme un seul homme unis dans la mitraille pour la France Éternelle. La plus cocuedes Badries ! Badriotes ! Tous devant moi ! Bedain ! Ça va ? Je suis derrière vous tous ! moiBedain ! Tout pour les yites de partout ! Pour la Badrie des cadavres ! Pour la France maçonnique ! tombée, disparue, évaporée au champ d’honneur juif ! Pour l’implacable vengeance d’Israël ! Pour le triomphe Talmudique ! Trois fois ! Vingt fois ! dis-je ! L’oignon national ! bouillant ! Toutes les trombettes guerrières ont sonné l’Heure des combats ! Sautez aux conflits ! engeance saoule !... Je reviendrai vous faire l’appel dans quelquesmois ! Moi Bedain ! Et contre-cadence ! Voyous de la chaux vive ! Compris ? Garde à vous ! Faquins des rafales ! Rampez à vos [154] tombes ! Que j’en prenne un qui fasse la fosse ! qui se tire avec son linceul ! Merde Je le tournique d’autor aux “Cultures” ! J’en fais la honte des asticots ! Je le fais braiser au “Navarin”… Par quatre ! Par mille ! Dix millions ! Marche ! Je vous retrouve aux Nécropoles ! Je veux que ça soit le plus gigantesque cimetière ! mon cimetière Bedain ! Le plus énorme ! Le plus fantastique qu’on aura jamais gavé ! Gardien déjà tout promu ! tout bicorné ! rehaussé ! garance et feuillages ! supéracadémicien de lagrande Cimetièrie Française ! Je veux qu’il tienne tout l’horizon ! La plus pathétique ribambelle, sarabande, l’étendue la plus triturée d’humbles croix et de tumulus, des Flandres au Léman, de la Provence en Gascogne, que le glorieux soleil des Morts aura jamais réchauffée. Plus une motte de livre.
Lafayette nous voici ! Le Chœur des Juifs à New-York. Je peux pas toujours parler tout seul, ça pourrait vous paraître suspect. Il faut bien que les autres aussi puissent présenter leur opinion. Je peux pas mieux faire que de vous citer le très bel article d’un grand périodique de New-York, très autorisé : The American Hebrew, Juin 1938 : « Il peut donc arriver que ces trois fils d’Israël (Leslie Hoare Belisha, Léon Blum, et Maxime Litvinoff), ces trois représentants de la race, créent la combinaison qui enverra le frénétique dictateur nazi, qui est devenu le grand ennemi des Juifs de nos jours, dans cet enfer auquel il a condamné tant des nôtres. « Il est presque certain que ces trois nations, (France, Angleterre et Soviets) liées par de nombreux contrats et dans un état d’alliance virtuel, sinon déclaré, resteront unies pour empêcher la marche ultérieure d’Hitler vers l’Orient. « L’ordre qui enverra le premier nazi, aux pas de parade, franchir la frontière tchèque, sera l’étincelle qui plongera l’Europe encore une fois dans le néant. (Raté !) « Et quand la fumée des batailles sera dissipée, que les trompettes se seront tues, et lesballes auront cessé de siffler, alors on peut se représenter le tableau qui montrera [156] ladescente, pas trop douce dans un trou de la terre, de celui qui voulait jouer le rôle de Dieu, du Christ à la croix gammée ! tandis que les trois non-Aryens (Blum, Belisha et Litvinoff) entonneront en chœur, un Requiem, qui rappellera d’une façon surprenante à la fois la Marseillaise, God Save The King et l’Internationale et qui se terminera par l’éblouissantchant final guerrier, fier et belliqueux : Élie ! Élie ! nous sommes vainqueurs ! » Dans le même genre aimable, une autre proclamation bien nette, bien catégorique, du JuifKubowtski, président des associations juives de Belgique, s’adressant aux Aryens belges : « C’est parce que vous ne voulez pas vous battre pour les Juifs que vous aurez cette guerre ! « Ne pensez pas que vous vous sauverez en nous laissant tomber ! »
Je vous le dis, y a du profit, des pintes de la meilleure humeur à parcourir les journaux, de droite, du centre et de gauche, à s’ébahir, se tamponner, un peu plus encore, sur les façons qu’ils peuvent mentir, troufignoler, travestir, exulter, croustiller, vrombir, falsifier, saligoter le tour des choses, noircir, rosir les événements selon la couleur des subsides, dérober, pourfendre, trucider, rodomontader, pirouetter, selon l’importance des enveloppes. D’offusqueries en extases, c’est merveille ce qu’ils peuvent éteindre, rallumer, bouillir, congeler l’opinion des truands mornes. La voltige entre les lignes. C’est un régal par exemple la manière qu’ils surpassent autour des mics-macs Chamberlain, du sketch à frissons : laSemaine des Sudètes. Cette pitrerie fait salle comble on applaudit à tout crouler ! Même les marles les plus affranchmans ils en bectent, ils s’en délectent, de cette putasserie tragédique.Ils en reveulent, ils en redemandent de cette ragougnasse complotière. Les plus insurgés d’habitude, qui vont au pétard pour des riens, pour un petit frêle soupçon, comment ils foncent ce coup-ci se faire endormir ! C’est merveille ! Pourtant ça foisonne suffisant. Faut plus avoir le nez sensible. C’est du scénario très sommaire. Du canevas presque. [158] « MrChamberlain sauve la paix ! » Lever du rideau : Hear ! Hear ! Hear! Il sauve son pot Chamberlain ! Son pot de demi-juif. Il exécute que des ordres. Par téléphone, par écrit ça lui radine la Cité, des Banques, de l’Intelligence, du fond ardent des Synagogues : « Feignez Chamberlain, pacifistes ! Avancez-vous un peu plus à gauche ! Là ! S’il vous plait ? Parfait ! Maintenant vers la droite… Deux pas ! C’est tout ! Reculez… Tirez-vous Eden ! Par la Cour ! Faites du bruit ! Passez devant la S.D.N. ! Faites un petit signe de détresse ! Pas trop ! Là… Saluez ! Profondément… Vous reviendrez par le jardin… Allez… Venez… À vous Sir Simon ! Qu’on vous entende !... Renfrognez ! qu’on vous aperçoive par la fenêtre… mélancolique… songeur… Prenez la main de Runciman ! Là ! Repassez tous les deux !... Très bien !... De la désinvolture ! Du texte ! Maintenant du sérieux !...Pas trop… gentlemen pressés… Bonjour aux Tchèques ! Là !... Disparaissez !... Demeurez toujours en coulisse ! Duff Cooper… fignolez votre indignation… Ténébreux ! Prophétique sinistre !... Impatient !... C’est fait ? Nous y sommes ?... Un petit voyage en avion… Mystérieux maisphotogénique toujours !... Maintenant vous aussi Chamberlain en avion !... au Tyrol !... Encore !... Retournez !... Évitez les mots… Munich !... Répétez... Là… le chapeau… Shakespeare !... Parapluie !... les gants… Saluez ! Parfait… Bascule ! » — Très bien Monsieur Or ! Que Dieu vous entende !... Toujours à vos ordres !... Ainsi la comédie s’enchaîne bien rythmée sur un petit bruit de coulisse, aux tambourscrêpés…
« Chamberlain défend, sauve la Paix ! » C’est le scénario exigé par le populo britannique. Nous par ici, on est plus simples, on y va pas par 36 routes. On nous file un beau matin la guerre dans les poignes. C’est pesé !... Avec son plein de gendarmes autour ! Et en avant pour Charleroi ! Parfait pour nos gueules ! Les enfants du fascicule ! Les Anglais en voudraient jamais d’une guerre à la six-quatre-deux ! bâclée en vache, decette façon. Ils veulent [159] des frais, du décorum, des prévenances. Ils veulent du tempspour réfléchir, gentlemenement, méditer posément la chose. S’habituer à l’idée… C’est pas des barbaques de cirque, des hominiens comme nous autres, des genres “maudits sacrificiels”, des chairs à pâtes d’offensive, les gentlemans ! Pardon ! Pardon ! Ne pas confondre ! C’estextrêmement différent un gentleman ! N’est-ce pas Sir Herzog of Maurois ? Ça nous pisse au cul du haut des falaises de Douvres, un gentleman ! C’est quelqu’un ! Comme dirait César. Il faut bien connaître l’Angleterre, « jeunes Français qui la visiterez ! » Avec Gentleman minute ! Pour l’amener aux abattoirs c’est pas un petit coton. Il est fainéant et confortable le gentleman. Il a un pacte avec le juif, qu’il est pas bon pour la pipe, comme nous de rif et d’autor, pas du tout !... C’est en plus dans son contrat que nous devons y aller pour lui ! C’est entendu depuis trois siècles, il faut comprendre les différences. Respect des contrats !... Il compte donc, c’est régulier, le gentleman, sur toutes nos viandes comme remblais pour sadignité, la sauvegarde de son thé pépère, de son golf, de sa pimpante boutonnière, fleurie. Des formes je vous prie ! Furies guerroyères, hagardes radeuses voyoutes ! avec le gentleman, desgants ! Il prétend qu’on le houspille pas… « Thé et mon Droit ! » C’est dans le pacte avec Israël depuis les Tudors. Faut lui ménager sa fierté, lui donner hautement l’impression qu’on lui respecte très l’aloyau ! Qu’on le file pas comme ça au détail, au découpage, sans résistances très farouches, prises terribles, furieux colloques, luttes inouïes. Ah ! Ça n’irait pas du tout si on avait l’air de l’emmener, de l’emballer à la légère, Tommy Gentleman, comme on embarque du français, du bétail à la criée, du veau pour toutes les charpies ! Pardon ! Il est pointilleux en diable ! susceptible horriblement, gentleman ! Il veut avoir son spectacle, pour se faire sa conviction. « La très édifiante, très sublime, très mémorable lutte de MrChamberlain contre les forces maudites, les démons Teutons de la guerre ! » Ah ! que c’est beau ! Que c’est poignant ! Que c’est farouche ! Il y passera le Chamberlain, l’Eden aussi, le Cooper aussi, et tous les sui-[160]vants ! Oui ? Non ? Bien sûr ! Puisque c’est écrit ! répété ! Mais comme ça boum !tralala ! Ah foutre non ! Qu’après des oppositions joliment stoïques des déployements d’ingéniosités à en défaillir ! d’ébaubissement ! de vertige ! Des compromis à périr d’extase, des ferrailleries les plus cinglantes ! étincelantes ! fulminantes ! tourbillonnantes ! contre les esprits infernaux ! Parfaitement ! Billy Brown en a pour son pèze. Il est pas volé au spectacle. Ça vaut “l’Arsenal” pour le sport, ardent comme un match de finale. Que le Briton sorte édifié, convaincu de la performance, tout émoustillé d’avoir si bien joui, d’un si péremptoire tournoi, d’un si prodigieux pacifisme, et le Recrutement a gagné ! Ça va, il suit la musique.
Elle nous oublie pas non plus “l’Intelligence” pendant les crises. Elle connaît nos presses, nos radios, comme pas une. Elle décuple tous les effets du mystère, de l’anxiété, par des distributions pépères, à pleines rédactions, corbeilles, de toutes bouleversantes réticences, confidences, dessaleries, redondances, mille et cent chichis, extrêmement propices à faire perler, bouillir, cailler, rebondir le trèpe. C’est repris par nos larbins de plume, les directeurs, nos ministres, ça se diffuse en nuées si denses, affolantes, que déjà des années d’avance, on ne discerne plus rien du tout des choses des contours, des horreurs. Que c’est plus à traversl’Europe qu’une masse de connards bien transis, de soldats bien inconnus qui déjà tâtonnent la Mort. La presse aux ordres, vogue et frétille après les bobards qu’on lui jette, comme les cabots tortillent, s’acharnent après leur os en caoutchouc. Pendant que les marles s’épuisent, se crèvent pour des morceaux de vent, les Juifs aux cuisines fricotent, farcissent, tarabisquent nos restes, ils nous refilent aux arlequins, aux vomissures du destin, en énormes “Bouchées Catastrophe”.
Nos redresseurs nationaux, les hommes comme La Rocque, comme Doriot, Maurras, Bailby, Marin, la suite… ils redressent rien du tout, puisqu’ils parlent jamais avant tout, de virer les Juifs. Ils parlent vraiment pour ne rien dire. C’est des causeurs, des pas méchants. Ilsservent qu’à noyer le poisson. Ils endorment la purulence, ils travaillent dans la compresse, le subterfuge, l’émollient. Ils crèveront jamais rien du tout, pas le moindre petit abcès. C’est en somme des complices des Juifs, des empoisonneurs, des traîtres. Ils laissent le pus s’infiltrer, le mal se répandre, gagner toujours en profondeur. Ils ont peur du bistouri. Le Juif est la chair de leur chair. Encore bien mieux c’est leur pitance. Ils collent aux Juifs tenants du flouze. Ils voudraient pas qu’on les abîme ! Pour rien au monde ! Ça serait trop con ! Faut au contraire qu’ils adhèrent aux “beaux mouvements” redresseurs, aux “nationaux nominaux” les Juifs ! On leur parle un drôle de langage pour les fariner, on les travaille à l’épouvante. « Dites donc, youp ? Vous entendez rien ? Ces sournoises rumeurs ? C’est pas des antisémites des fois ?... Oh ! Mais c’est horrible ! C’est exact ! Quelle honte !... À notre époque !... Croyez-vous ? Quelle ignominie ! Quelle ordure ! Et grotesque ! à pouffer ! Sic’était pas si tra-[163]gique ! Mais quelle abomination ! Mais il faut vous défendre youpi ! Faire quelque chose ! Restez pas contemplatif ! Avisez ! Remuez-vous ! Ça peut se répandre ; s’envenimer terrible, l’antiyoupinisme ! devenir l’infernal ouragan ! Mais cependant… hein !... du doigté ! Faites pas la gaffe ! Vous êtes très gaffeur youpi ! Méfiez-vous ! Vous amenez pas comme en bombe tout de suite de face, en gueulant ! Vous seriez tout de suite écrasé ! Défendez-vous ingénieusement, astucieusement… faites-vous redresseur patriote, tenez ! On vous reconnaîtra plus ! On vous suspectera plus du tout ! Venez avec nous ! Plus Français que des vrais Français ! Ah ! Oui ? On vous a jamais trompé nous, youp ? Hein ?... On a toujours été gentils, loyaux, aimables, fraternels avec vous ! pas ? Alors en confiance ! Hein ? Ne tortillez plus ! Donnez-vous à notre beau mouvement national ! On vous dérivera les pogroms ! Nous ! nationalistes ! unionistes ! les mieux placés pour la vertu défensive patriote ! Insoupçonnés ! Insoupçonnables ! On vous fera l’assurance tous risques, contre toutes les destitutions, expulsions, restitutions, nazisme, racisme ! toutes ces vilaines néfasteries, polissonneries, très ordurières, en général ! Rendez-vous compte des garanties ! Des énormes avantages ! Le parti le plus frémissant, le plus hautement considéré, du patriotisme le plus redresseur ! Sans rival ! sans comparaison sur la place ! Implacable ! Intraitable ! Redressiste ! Rigorissime ! Les plus révérés noms de France comme paravents ! La Providence vous inspire ! Vous pouvez pas tomber mieux qu’entre nos bras ! Fraternité ! Ilexiste nulle part au monde une planque aussi ingénieuse, aussi solidement, foncièrement protectrice pour les Juifs dans votre genre que notre parti redresseur, youpi !
C’est un ghetto inespéré, modernisé, motorisé, supernationalisé ! Notre pavillonsuperpatriote peut couvrir admirablement toutes les marchandises et votre charognerie youpine bien sûr, sans aucune gêne, en surplus, dans ses plis, pépère, consolidée pour deux siècles ! Ça va pas ? Mieux que les Loges ! Viens avec nous ! petit youpi ! [164] Viens avec nous ! Viens ! Tu connaîtras la gloire !... D’abord, tu banques mon trésor ! Tu subventionnes ! C’est l’évidence ! C’est l’appoint ! C’est l’écot ! C’est de la vraie faveur ! T’as compris ? Tu vas être naturalisé “redresseur” ! Ça choquera personne ! Plus que “françois” ! t’es le frère de Jeanne d’Arc ! désormais ! Le frère de Jean Zay ! Là, t’es fier ?... T’auras la chemisette ! La supernationalité ! T’embrasseras aussi le colonel ! Raque ! Toucan nous te baptisons ! Nous te reprépuçons ! Tu peux être maintenant bien tranquille ! Personne te cherchera des crosses ! Viens avec nous, l’on t’adore ! L’on te protège ! Liberté des Rites ! des Cultes ! des Consciences ! Nous t’intronisons “très grand bienfaiteur national” ! Jean d’Arc ! Rénovateur très éminent ! Passez le chapeau ! LaFrance toujours libérale ! Envers et contre tous ! Une et indivisible ! Toutes les bonnes volontés unies ! Maçonniques ! Judaïques ! Cocufiantes ! Tartarigènes ! On s’en fout ! Tartufiques ! La quête ! Combien ? Combien ? Combien ?Le client a toujours raison ! Les plus gros clients des partis nationaux c’est les Juifs ! Ils auront donc toujours raison. La Droite croque le pognon juif aussi avidement que la Gauche. Les Redresseurs qui ont du mal c’est ceux qu’arrivent un peu en retard, après les autres, sur le marché. Il faut qu’ils chassent dans les étages comme les placiers d’aspirateurs, qu’ils offrent des démonstrations à tous les Juifs qu’ils rencontrent… C’est du tapin une clientèle ! ça se fait pas tout seul. Pour les petits Aryens du rang, les humbles fervents cotisants, les petits redresseurs à trois thunes, c’est pas du tout le même saxo ! S’ils se posent des petites questions, s’ils sont un peu interloqués par tant de Levys, de Schwobs, d’Abramsky, tant de Moïses aux postes de commande, on les tranquillise en moins de deux… [165] « Oh ! qu’on leur fait ! Vous gercez pas ! Les Juifs pour nous c’est de la tactique ! On les allèche… On les berne… On les subjugue ! Subterfuge ! Nous les avons ! Sortilège ! On les poisse ! aux poignes et aux poches… C’est du travail merveilleux ! C’est tant qu’ils soient avec nous… Astuce ! C’est dehors qu’ils sont terribles !... Tandis qu’ici on les grignote… On les surveille… En pieuse alerte ! On les annihile… en catimini… On les enchaîne… Glissez !... Glissez !... petit frère !... N’insistez pas !... En confidence : dès qu’on aura pris l’Élysée, on en fera nous qu’un seul pogrom de tous les Juifs, du territoire… Le Céline, tenez, c’est qu’une pauvre lope, une pelure piteuse, à côté de nous comme intentions ! Les grands secrets du Parti !... Oui !... Les Juifs on n’en fera qu’une seule torche !... et puis un pâle nuage délétère… tellement qu’on sera nous intensifs dans nos fureurs sémitophages… Ah ! On sera pour eux des vrais volcans ! Les pauvres gens ! C’est même le moment qu’on les plaigne… Tenez-vous peinards centurions ! Patience ! Patience ! et vive le Chef !... Nous les attirons dans nos rets ! les Juifs ! pour mieux les vaporiser ! Les Francs-maçons à l’heure vengeresse voyant comme ça un peu partout les flammes s’élever des synagogues comprendront ce qui leur reste à faire ! Ils tarderont pas à se rallier à notre merveilleuxmouvement de Résurrection nationale ! à mots couverts d’abord ! À toute berzingue ensuite ! D’ailleurs c’est presque déjà fait… Le colonel s’en occupe… Ainsi soit-il !... » Moralité : Juif qui douille, Juif sacré. Pourriture qui paye est divine. La pourriture tient tout en France. Celui qui veut faire le mariole, trébuche, enfonce, ingurge la merde, suffoque, étrangle et disparaît. On n’en parle plus.
Toute vénalité mise à part, toute coquinerie personnelle, les frais d’un parti sont énormes, avec journaux, dispensaires, réunions, procès, affiches, urgences, etc… C’est un déficit perpétuel. Il faut du plâtre, il en faut de plus en plus, tout de suite, beaucoup, liquide, sans phrases… Toutes les échéances sont tragiques… Les cotisations du rang, la vente au public du cancan, ça peut pas boucher tous les trous, ça peut servir que d’accessoire. Il faut des dotations sérieuses, des souscriptions très massives pour renflouer la trésorerie sans cesse implorante, des bienfaiteurs, connus en Bourse, aux Soviets, à l’Intérieur, 9 fois sur 10, juifs, forcément. C’est la condition vitale pour tous les partis d’aller piquer le blé où il se trouve, au cul desJuifs… Personne n’échappe… tôt ou tard… Tous les partis, tous les journaux, sauf rarissimes, stoïques exceptions, ne sont en définitive qu’autant d’arrière-Loges, tambouilleries juives maquillées, ardents subterfuges, miroirs
pour alouettes aryennes. L’opinion démocratique sort toute chaude de ces guets-apens, continuellement améliorée, renforcée, de plus en plus fébrilement juive. Qu’importe donc les étiquettes ! les dénégations offusquées, furieuses, judiciaires, puisquemalgré tout c’est le [167] juif qui tient les ficelles et la caisse ! En politique démocratique c’est l’or qui commande. Et l’or c’est le juif. Le reste c’est des mots. Celui qui veut parler aux foules doit d’abord s’adresser aux Juifs, demander l’autorisation. Le juif lui passe les castagnettes. Après ça, il peut bien hurler… tout ce qu’il voudra, sur n’importe qui, pour n’importe quoi ! Aucune importance ! tout lui est permis, il trouvera toujours du pognon, s’il respecte les conditions, s’il parle jamais de la petite chose… sauf en bien… S’il répète très ponctuellement les bonnes phrases taboues…au moins deux fois par semaine… Les ralliements essentiels de la Grande Boutique : « L’Allemagne est une nation de proie… la bête enragée de l’Europe… Les Allemandsdétestent Hitler… Le Racisme est une sauvagerie… Tous les Juifs sont pauvres et persécutés… La mesure, la tolérance, l’accueil de tous les Juifs du monde, font la grandeur de la France… Une bonne guerre contre l’Allemagne sera le triomphe de la France, la joie dans la Liberté… » Enfin tous les éminents slogans de la grande enculerie française, maçonnico-talmudique. Et tant que ça peut ! et jamais de trop !... C’est des phrases qui plaisent toujours, qui font reluire, à coup sûr, ouvriers, bourgeois, patrons, fonctionnaires… Aucune différence. Libéraux tous…Bien sûr qu’on se fait un peu prier, c’est l’enfance de l’art… Qu’on sauve un peu les apparences. Qu’on se fait pas mettre d’un seul coup ! Qu’on tortille ! Qu’on fait les méchants ! les terribles !... les insurmontables ! Va te faire foutre ! Comédie ! Coquetteries ! C’est le froc qui chute comme par hasard… Les circonstances… Le bon moment… Le bon mouvement. On apprend aux petit copains à les prendre avec le sourire… Stoïcisme ! bonne humeur française ! Tous unis devant les périls ! À se faire joyeusementenviander pour l’irradiance de la Patrie ! L’Unanimité nationale ! Le maintien de l’ordre dans la rue ! Se faire enculer par les Juifs c’est une nouvelle Alsace-Lorraine ! les véritables patriotes y sont toujours résolus ! pour la grandeur de la France ! pour [168] le respect des Libertés. L’affaire est vraiment mirifique. La confusion prodigieuse ! D’un côté bannières déployées, les Aryens du trèpe con radinent, follement enthousiastes, ouverts, plus épris que jamais, radieux, juteux, offerts… De l’autre le pèze youtre, avisé, rafleur, acquisitif, méticuleux, se place, estime, saisit, enveloppe, juge, enlève ! Le tour est joué ! Le trucadorable ! Encore une bataille de gagnée ! V’là les cocus qui se baissent ! Encore une bataille de gagnée ! V’là les cocus de baisés ! V’là les cocus ! V’là
les cocus !C’est la méthode voyez-vous de l’habileté, du jeu finaud sur deux tableaux… dont nouscrevons, malice des malices ! De plus en plus habiles, strabiques redresseurs rampants, plongeants, pourris confirmés, boursouflés, marrants putricules à grimaces, chavirés en touslieux immondes. Pas le moindre petit sursaut, le plus abrévié hoquet, dans tout cet étal d’agonies, dans tout ce tripier d’infections, le plus frêle indice de révolte que les Juifs vont se faire virer, vomir, dégueuler à la fin des fins. Rien du tout.
Les soviets se seraient écroulés depuis belle lurette sans le soutien constant, la tutelleaffectueuse de toutes les banques, de toutes les industries, de toutes les propagandes juives, maçonniques de monde entier. Cet échafaudage de chiourmes en délire, ce catafalque de terreur n’aurait pas tenu six mois sans la fervente complicité de toute la youtrerie du globe. Elle a tout couvert, tout musiqué, tout fait absoudre. Elle a propagé l’espoir, le mensonge, la menace, le chantage avec tant d’astuce, que même les experts dans la chose en sont restés abasourdis. Le comble des culots propagandistes ! La plus exorbitante entreprise de bobarderie crapuleuse jamais fricotée par les Youtres dans le cours des siècles, où pourtant… Lacolossale charognerie soviétique, gluante de larves, ronflante de mouches, sous projecteurs juifs : Triomphe éblouissant ! La transmutation de toutes les valeurs par dévergondé baratin, sans limite. Tout en œuvre pour que – 10 se lise + 1000, que les masses s’y prennent dur comme fer, hurlent aux pullulations divines et crèvent en mirage ! Hors le fatras verbiologique, l’époustouflage vrombissant, les Soviets n’ont été conçus, engendrés, maintenus, propagés, que pour la progression glorieuse de la plus [171] grande juiverie, en exécution du plan de guerre talmudique mondial dressé, modernisé, par le général Marx. (Même guerre judaïque en Espagne, en Chine.) Un Soviet est une synagogue avant tout ! perfectionnée ! modernisée ! motorisée ! Talmud 38 !Chaque Soviet représente un nouveau bastion. Chaque comitern une citadelle de l’Empire juif mondial. Une expansion soviétique : Autant de glomécules sémites extraordinairement corrosifs, nécrosants, infusés à chaud, inclus en pleine viande aryenne. La contamination marxiste de la Russie s’est effectuée très brutalement par injectionssimultanées, massives, paralysantes d’or judéo-américain. (Provenance de New-York, Amsterdam, Londres). Les Soviets ont été implantés en Russie par les banques juives de New-York, Amsterdam,Londres (Lœb, Schiff, Sassoon, Warburg). Les arrière-loges, les Synagogues, les Luthériens, les États-Majors francs-maçons (allemands, français, anglais, russes) des deux côtés de la tuerie ont admirablement collaboré à l’avènement des Soviets par leurs silences… leurs diversions appropriées… leurs trahisons… tractations vaseuses… Libéralismes opportuns… toutes les musiques… Autant de comiterns autant de virulentes synagogues…
Tout commissaire du peuple n’est qu’un commissaire de la haute police juive, un garde-chiourme d’Aryens. Gardes-chiourmes verbeux, rationalistes, prometteurs, démocratiques, etc… Staline, asiate aux ordres, bourreau spectaculaire. La cuisine du Kremlin est une cuisine juive. C’est Kaganovitch, beau-papa, qui l’épice. Les Soviets ne durent, ne se maintiennent en tyrannie que grâce aux appuis éminents, aux complicités quotidiennes des Banques juives de New-York et de Londres, à la parfaite compréhension des gouvernements démocrates, à la coopération très indispensable de “l’Intelligence”, surtout en Orient. Les Soviets livrés à eux-mêmes, flancheraient à la première famine. Et tout de suite la grande vengeance ! l’épuration monstre ! le signal du plus formidable pogrom [172] encore jamais vu nulle part ! Un véritable séisme ! Tibère en existerait plus, à côté, avec ses puériles embraseries. C’est vraiment presque impossible de se faire une petite idée, de concevoirmême faiblement le degré de haine recuite où sont parvenues les masses russes, vis-à-vis des Juifs. Ressentiment très explicable. Les Juifs ont assassiné plus de trente millions d’Aryens russes depuis qu’ils sont au pouvoir. La furie antisémite des Russes ne demande que la plus furtive occasion pour se donner libre cours, pour étonner le monde. Que les Soviets, demain culbutent, et tout de suite, en l’espace de quelques heures, c’est l’égorgement de tous les Juifs, d’un bout à l’autre de la Russie. On en retrouvera peut-être pas un seul pour nous raconter les détails. Ah ! Ne jamais plus entendre les admirables paroles juives ! Trêve de rigolade ! On se doute bien que les grands Juifs sont parfaitement au courant. Qu’ils ne nous ont pas attendus. Qu’ils sont à pied d’œuvre. En pleine connaissance de pétoche, avec des raisons très sérieuses pour se méfier hallucinamment des imprévus russes. Leurs inquiétudes se conçoivent. Ils font des vœux tous, unanimes, riches et pauvres, aux quatre points cardinaux, pour que les Soviets s’écroulent pas. C’est leur terreur jour et nuit. Ils font plus que leur possible pour que rien ne change en Russie. Et ils peuvent énormément. De tels gigantesques pogroms ! Après les horreurs hitlériennes ! Ça ferait beaucoup pour une époque !... Ça ferait même infiniment trop ! Et puis des rébellions d’esclaves c’est toujours prêt à s’étendre, à se propager… La Grande Juiverie religieuse, bancaire, policière, soutient le pouvoir soviétique comme elle soutiendrait un couperet très haut, loin au-dessus de sa tête… « Qu’il ne retombe ! » Entre nous, sûrement qu’elle regrette la Grande juiverie d’avoir jamais foutriqué un pareil imbécile bastringue, tout biscornu d’emmerdements à n’en plus finir ! Elle voudrait bien s’en dépêtrer. Mais comment ? Elle ne peut pas ! Elle est engagée à fond, jusqu’au cou dans les Soviets, jusqu’au trognon, et à la vie et à la mort.
Trouvez-moi donc un petit Juif pauvre, qui dise du mal des Rothschilds. Trouvez-moi donc un petit Juif pauvre, qui dise du mal des Soviets. Trouvez-moi donc un petit Juif pauvre, qui trouve pas qu’il faille tout de suite aller
dérouiller Hitler.L’antisémitisme “à la royale” Entre académiciens… l’Action Française du 29 octobre 1938 IV. LA BONNE VOLONTÉ ET L’AUTORITÉ On nous accuse de tout voir en triste. Non. Mais nous ne croyons pas qu’il suffise de se dire à midi quand il est minuit pour tout arranger. Je ne crois même pas à l’efficace de la seule bonne volonté. Elle a besoin d’être mise sur le bon chemin. Il y a beaucoup de vérité dans ces mots de M. André Maurois1au Figaro : « L’état de l’opinion publique est tel, et la conscience du danger si vive, que nulle résistance ne serait possible le jour où un gouvernement énergique et impartial ferait connaître, par des communi-[175]qués motivés, les raisons de ses décisions. QU’ILS SOIENT DE DROITE OU DE GAUCHE,OUVRIERS OU PATRONS, TOUS LES HOMMES QUE J’AI INTERROGÉS ONT ÉMIS LE MÊME VŒU : – QUE L’ON NOUS COMMANDE. » L’hommeest un animal social, donc commandé, donc, et tout autant, révolté. L’art politique est donc d’organiser un commandement qui n’ait pas besoin de se retourner à tout bout de champ pour recevoir avis ousuffrage de ceux qui le suivent, car le revirement se fait vite. Tel qui aspirait hier aux plus inexprimables douceurs du joug, se met àmurmurer et bientôt à crier à la première gêne qu’il en recevra. Oui, lemoment est favorable, oui, l’heure sonne des initiatives… Etc… Charles MAURRAS. Et le style ! le fameux Style ! Liquoreux, ânanonant, tendancieux faux-témoin, juif. 1Émile Hertzog.
Toute la Terre en Tchécoslovaquie appartient aux usuriers juifs et pas du tout aux paysans qui la travaillent. Déclaration de Lord Winterton, M. P. à la Chambre des Communes, le 11 mai 1934. — Mais alors ça va pas finir ? — Ils peuvent pas rester tranquilles vos Sudètes du tonnerre de Dieu ! Ils vont nousemmerder longtemps ?— Ils aiment pas les Tchèques. — Qui c’est ça les Tchèques ? — C’est des militaires, c’est les gardes-mobiles des Juifs en Europe centrale, des Loges… — Ah ! Et puis après ? Ça les gêne ?— Oui ça les gêne… — Tiens ! Tiens, ils préfèrent Gœring alors vos Sudètes ?... — Ils aiment pas les Juifs ?— Pas du tout ! — Pas du tout ! Ils aimeraient mieux Mussolini. Ils aimeraient mieux Franco… Ils aimeraient mieux le diable… Ils aimeraient mieux le Mikado, ils aimeraient mieux n’importequoi, mais pas les Juifs… — Mais dites donc, c’est des vrais infects, vos Sudètes ! ils ont des goûts de Boches, vos Sudètes !... C’est des véritables fascistes que vous me racontez là ! Des espèces de racistes aryens ! Mais ça me fout dans les colères ! Je me connais plus de vous écouter ! Chers petits Juifs ! — Quand j’y pense ! Des antisémites encore ! Des sectaires atroces ! Des préjugeurs rétrogrades ! Des vraies [177] brutes persécutrices vos Sudètes ! C’est des cromagnons gammés ! des scalpeurs ! des véritables vampires ! des souilleurs de l’Europe entière vos Sudètes ! Ah ! Il est temps qu’on les corrige ! C’est triste que ça existe encore des primates vicieux semblables ! Ah ! il est grand temps qu’on les dresse ! Vos Sudètes ! Peaux de choléra ! Que ça finisse ! Qu’on les rende un peu démocrates ! habitables ! vos Sudètes ! Ouverts tout à fait comme ici aux grands progrès libéraux ! Aux grands courants de la pensée affranchissante ! Merde !
— Ah ! Vous avez bien raison ! — Ah ! Je vous le fais pas dire ! — Mais vous la tenez la formule !... Mais c’est la conception sublime ! Quelle tâche exaltante ! Quelle œuvre pour notre époque ! Quel programme mirobolissime pour tous nosOrients ! Vous me bouleversez ! Vous m’émouvez au possible ! — C’est normal ! — Vous m’avez séduit, délivré du doute !... Je suis à vous !... Je vous aspire !... Je vousbois !... — Alors à l’action ! Qu’on me déporte tous ces gens-là ! Sudètes maléfiques ! Complicateurs ! rechigneux ! rebelleux ! Têtes de lard ! Qu’on me les transporte tous par ici !Tous en France ! J’ai dit ! Nous avons de la place ici ! Nous avons toujours de la place ! Nous sommes pas des racistes nous autres !... C’est par là qu’on est supérieurs… Nous auronstoujours de la place !... De plus en plus de places !... Grâce aux trous de la guerre !... Et guerre à la guerre ! Nom de foutre ! Et Mort aux tyrans ! Dans six mois tous ces coriaces aurontperdu leur barbarie ! Vous les reconnaîtrez plus ! Pacifiés, confusionnés, empaquetés à ravir, vos Sudètes ! on les reconnaîtra jamais ! enjuivés si guillerettement ! d’entre tous nos semi-Lévys, quarts de Moïse, para-néo-pluri Mendès ! C’est ça le miracle de Paris ! C’est lecharme enculagaillant !... La sorcellerie d’exquis intrait de youtrissime envoûterie… Trois gouttes, trois mots, trois mois suffisent… Six mois c’est un maximum pour qu’ilsredeviennent des gens normaux, vos Sudètes ! des vrais Aryens démocratiques ! Dans six mois ils seront rambinés, sémi-[177]tisés, tout gonflés de telle manière vos Sudètes que çasera plus rien du tout de les faire crever tant qu’on voudra pour Litvinov, pour Jouhaux, pourNathan, pour Dimitroff, pour le Comitern, la Blum au fusil ! Ça sera devenu même leur vrai plaisir, la plus pâmoisante récompense ! — Vivement ! Vivement qu’on les amène ! — Ah ! Comme j’ai confiance dans Baris ! Le charme de la capitale ! Le si délicieux sortilège ! Le miracle des Champs-Élysées ! Des Galeries Toutalévy ! Ah ! Vous me rendez le souffle ! La passion vaillante !... — Attendez ! Attendez ! ce n’est encore rien ! Attendez que je vous lise ce que j’écris ! en ce moment, à propos de patriotisme, à ce paltoquet qui m’insulte ! — Ah ! — Hein ?— Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! — Là ! Là ! — Ah ! Ah ! Ah !
Au temps où tout le monde comprenait les revendications des Sudètes… La Commission permanente internationale des partis travaillistes et socialistes : « Nous nous refusons à reconnaître le droit de pays étrangers à établir leur souveraineté sur des districts allemands homogènes qui forment une unité géographique. » Résolution du 26 avril 1919. Le Comité d’action internationale des partis travaillistes et socialistes : « Les populations ne doivent pas être transférées d’un État à un autre tant qu’elles n’ont pas été consultées sur leur volonté. » Manifeste du 11 mai 1919. Le Vecongrès de l’Internationale Communiste réuni le 8 juin 1923 au Kremlin. Motion adoptée : « Le Congrès constate qu’il n’y a pas une nation tchécoslovaque, l’État tchécoslovaque, outre la nationalité tchèque, comprend des Slovaques, des Allemands, des Hongrois, des Ukrainiens et des Polonais. Le Congrès estime nécessaire que le parti communiste enTchécoslovaquie, en ce qui concerne les minorités nationales, proclame et mette en pratique le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, jusque et y compris celui de se séparer. »
La Tchécoslovaquie est née à Paris, sous la bonne étoile maçonnique. « Je recherchai et je cultivai ensuite, jusqu’à la fin de la guerre, pour des motifs de propagande, des relations avec trois facteurs importants : la Franc-Maçonnerie, la Ligue des Droits de l’Homme et le Parti Socialiste français… L’accès des milieux francs-maçons me fut ouvert par certains de noscompatriotes de Paris et les membres yougoslaves des Loges ; j’eus l’occasion de donner des causeries dans quelques-unes sur notre cause et d’y gagner ainsi les milieux francs-maçons deParis. » (Souvenirs de guerre et de Révolution du juif Édouard Bénès, page 172). Où est le mal ? s’étonne le Crapouillot, l’innocence faite magazine. Évidemment, où est le mal ?Sept langues et pas de cœur. Proverbe suisse. Je l’ai vu travailler un petit peu le juif Bénès à la S.D.N. Petite Crapule talmudique, touteagitée de subterfuges, inépuisablement sournois, complotique, tout conifié d’avocasseries, de rusailleries bébêtes et brèves. Un vrai petit dégueulasse raton tout délirant de médiocrité chatouilleuse. Un vibrion de couloirs toujours en train de se suractiver. Une très redoutable petite saloperie venimeuse au cœur de l’Europe. Bien entendu pour les Loges Jéhovah lui-même ! plus Salomon ! Exactement tout ce que les Maçons conçoivent comme idéal hommed’État : Une sécheresse mortelle dans une chicanerie sans limites.
L'école des cadavres (6ème partie)
« LA FRANCE EST UN ASILE À CIEL OUVERT (ET LE MONDE ENTIER EST AU COURANT)[DOCUMENTAIRE OMERTA] : GILETS JAUNES, COLÈRE NOIRE »
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