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    Lettre C :

     

    Cas-contact : contamination par simple contact avec une personne qui est un cas confirmé de covid-19. Cela peut se produire quand on touche quelqu'un ou un objet lui ayant appartenu, quand qu'on lui serre la main, quand on le prend dans ses bras, quand on le bouscule, quand on lui tape dessus, etc. Ainsi, un ministre a été déclaré positif au corona-virus après s'être assis dans la voiture d'un directeur sportif, déclaré positif au test du corona-virus. Qu'allait-il faire dans cette voiture ? Qu'allait-il faire dans cette galère ? (). À part les cas-contacts, on distingue aussi les cas-rares, quand la contamination se fait par un moyen inhabituel (par téléphone en Italie, par exemple). Il y a aussi des cas-ratés, quand les contacts n'agissent pas, la personne ayant pris d'avance ses précautions. En effet, certains esprits criminels (★★) pourraient infecter des personnes qu'elles n'aiment pas par simple contact ; il faut le savoir et se méfier.

    Parole historique : « Les cas-contacts des cas-contacts ne sont pas des cas-contacts » (un ministre).
    () et des gens comme ça gouvernent la France ?

    (★★) des héritiers pressés d'entrer en possession de leur héritage ; des gens sans scrupules désireux d'éliminer un concurrent ou un ennemi déjà âgé... Le crime parfait. Papies mamies, méfiez-vous !
     
    Cassetoi : ce nom bizarre est celui d'un ministre de la République. Il y a toujours dans les duos, qu'ils soient comiques ou non, un individu qui sert de faire-valoir à l'autre : le clown blanc et le gugusse, Laurel et Hardy, Raymond Souplex et Jean Daurand (Bourrel et Dupuy dans Les Cinq dernières minutes ; loteur a de vieilles références télévisuelles), etc. etc. En politique, c'est pareil : en face du frétillant Macaron, brillant et plein d'idées géniales, se tient le sinistre Cassetoi, gauche et mal fagoté. Même sa façon de parler est sujette à plaisanteries (accent méridional). Cet accent, s'il peut à la rigueur lui accorder un certain charme, n'en souligne pas moins le côté risible, sinon ridicule. Ce n'est pas le bouffon du roi, c'est le clown triste du président.

    C'est ce sinistre ministre qui est chargé d'annoncer au bon peuple français toutes les mauvaises nouvelles concoctées en haut lieu. Une façon inélégante de la part du frétillant président d'éviter les coups et critiques directs. *
    Chloroquine, hydroxy-chloroquine (HCQ) : ne pas confondre ce traitement médical avec le nom du célèbre médecin infectiologue russe Vladimir Idroksirovitch Khlorokine (Владимир Идроксирович Хлорокин), qui a inspiré le fameux traitement anti-virus du Pr Raoult, et qui nous a fait l'honneur de coécrire ce petit glossaire. Qu'il en soit remercié ici (car il n'a pas demandé de droits d'auteur à loteur). Voir la rubrique Didier Raoult.
    Chômage partiel : synonyme de vacances payées 84 % du salaire à temps complet. 
    Click and collect : loteur s'est tout d'abord demandé ce qu'une clique venue des Andes venait collecter en France. Jusqu'à ce qu'il comprenne que c'était un anglicisme car, chaque fois qu'il faut désigner un nouveau concept, on préfère apparemment lui donner un nom anglais. Le C & C, c'est un mode d'achat selon lequel un client commande un article sur Internet et va chercher son achat dans un point de vente donné. Cela permet aux commerçants de ne pas boire entièrement la tasse à cause de directives gouvernementales absurdes, et aux clients de pouvoir quand même acheter des produits déclarés non-essentiels par les zotorités.
    Synonyme : achat en ligne, achat sur internet. 
    Cluster : (prononcé kleusteur par la plupart des journaloustics, alors qu'il se prononce klʌstə(r) selon l'alphabet API (Alphabet phonétique international) suivant les règles de la prononciation anglaise). Le mot français foyer est trop commun, trop compréhensible. Il fallait qu'un néo-crétin officiel emprunte le mot anglais cluster pour désigner un foyer d'infection, et nous inflige ce pitoyable anglicisme. Rappelons qu'en anglais cluster signifie grappe ou groupe. Rien à voir avec un foyer d'infection.

    Tout est susceptible de constituer un cluster : un enterrement, une assemblée religieuse, une réunion entre amis, un abattoir en Bretagne, un vieillard cacochyme à lui tout seul, assister à un match de fouteballe. . . Donc, plus de vie sociale : la vie en société est devenue un poison, selon les autorités. C'est un moyen commode d'interdire les manifestations. Si les Diafoirus de Molière infligeaient des clystères à leurs patients, les Diafoireux du gouvernement nous infligent des clusters.
    Synonyme : foyer (d'infection) 
    Comorbidité : c'est nouveau, ça vient de sortir. On désigne par comorbidité la présence d'une ou de plusieurs maladies associées à une maladie principale. C'est ainsi qu'on parlera de comorbidité si la contamination par le corona-virus affecte un patient souffrant déjà d'une autre maladie : diabète, hypertension, obésité, etc. Bref, le pauvre type n'a pas de chance ; s'il était déjà mal en point avec sa ou ses maladies, le corona-virus risque de l'achever.
    Synonyme : un malheur n'arrive jamais seul. 
    Confinement : c'est un terme de droit pénal, en provenance de l'anglo-américain (lockdown). Il est étonnant que, sur le modèle de cluster, on ne nous ait pas infligé lockdown. Le confinement, c'est la mise en isolement d'un prisonnier. C'est, par extension, le maintien d'un être vivant dans un lieu clos et restreint.

    On voit tout de suite, par la provenance du mot, l'idée, consciente ou inconsciente, à la base de ce terme : il s'agit de traiter la population comme une population carcérale. Il faut remarquer que de nombreux États dans le monde ont cru bon de faire de même avec leur population, c'est-à-dire, en somme, de traiter les citoyens en criminels. Et si vous ne respectiez pas le confinement, vous risquiez en France une amende de 135 euros . Les flics traquaient les citoyens un peu partout : dans les rues, sur les plages, en forêt... C'est la flictature française.


    L'ordre était : « restez chez vous » (slogan qu'avaient adopté des chaînes de télé en incrustation dans leurs émissions) afin 1. de ne pas attraper le virus, et 2. de surtout ne pas propager le virus, qui aurait infecté de nombreux citoyens, et aurait engorgé les hôpitaux. Donc, si on sortait de chez soi, non seulement on risquait d'attraper le virus, mais en plus on risquait de le transmettre ; on était un mauvais citoyen. Le confinement, c'était une façon d'infantiliser, de culpabiliser et surtout de criminaliser les citoyens. Mais le confinement était d'autant plus stupide qu'il a entretenu et développé la contagion dans des lieux fermés. Ce fut une décision imbécile — et même criminelle —, comme la plupart des décisions prises par notre gouvernement durant la pandémie.
    On a laissé mourir (crever) les vieillards des Ehpads par crainte de contamination (combien de milliers de morts ?) ; les familles n'ont pu enterrer leurs défunts ; pendant plusieurs semaines les barbares à la tête de l'État ont interdit aux familles de rendre un dernier hommage à leurs morts, les privant de leur travail de deuil, ce qui est contre toutes les règles de l'humanité. C'était le crépuscule des vieux. Les personnes décédées étaient « stockées » dans des entrepôts frigorifiques, les visites des malades dans les hôpitaux ont été interdites ; le gouvernement était même allé jusqu'à proscrire les mariages, de même que les baptêmes (quid des circoncisions de nos amis maghrébins ?). Sans compter toutes les personnes gravement malades qui n'ont pu se faire soigner à cause de l'encombrement des hôpitaux pour accueillir les malades (sélectionnés) du corona-virus. La crise du corona-virus a révélé le vrai visage du gouvernement français : le sadisme. Et la politique est quelque chose de trop sérieux pour être confiée à un jeunot incompétent. On dit d'ailleurs de lui qu'il a appris son métier de banquier en jouant au Monopoly.
    Mourez ; nous
    nous occupons
    du reste


    Avec le confinement les citoyens, contraints de rester chez eux, se retrouvèrent face à eux-mêmes. Et ils s'emmerdèrent furieusement. Ne restaient plus, comme distractions, que regarder la télé — qui repassait ad nauseam les mêmes vieux programmes pourris ; bouffer () — ce qui a fait prendre du poids à nombre de personnes ; baiser (avec ou sans capote ? avec ou sans masque ?) et enfin s'engueuler dans le cadre familial — ce qui a accru le nombre des violences conjugales. Confinés ou cons finis ?

    () c'est sans doute à cause du confinement et du couvre-feu qu'on voit à la télévision une avalanche de spots publicitaires pour des sociétés de livraison de repas à domicile.


    Synonymes : enfermement, isolement, assignation à résidence, goulag à la française.

    Antonyme : déconfinement (barbarisme, forgé sur confinement + préfixe dé- (ou dés-) indiquant le contraire, sur le modèle : plaisir-déplaisir, amour-désamour) : à partir du 11 mai, les citoyens pouvaient sous certaines conditions jouir à nouveau d'une liberté fondamentale : celle de circuler. Il faut cependant remarquer que les masques et les tests étaient à cette date encore insuffisants.

    Interdiction idiote, propre au néo-crétinisme gouvernemental : les parcs et jardins en « zone rouge » n'étaient pas ouverts au public (ils le seront à partir du 2 juin 2020). Quant aux citoyens, qui voulaient fêter leur liberté retrouvée le 11 mai en buvant un coup le long du canal Saint-Martin à Paris, ils ont été délogés par la police. Circulez ! Y'a rien à boire ! On a eu le droit, sinon le devoir d'aller travailler selon madame Pinocchio, la ministre du Chômage partiel, mais pas celui de s'amuser (cinémas et spectacles fermés), pas celui de fêter un événement avec des amis (bars et restaurants fermés), pas celui de se cultiver (bibliothèques et musées fermés). On voit quel était le mot d'ordre du gouvernement avant le déconfinement : Arbeit (qui rend libre, comme chacun le sait). Les citoyens sont plus déconfits que déconfinés.

    Synonymes : liberté surveillée, semi-liberté, liberté conditionnelle, liberté restreinte.

    Antonyme de l'antonyme : reconfinement (barbarisme fonctionnarial) : après avoir confiné puis déconfiné, le gouvernement songe sérieusement à reconfiner certaines villes dont le taux de contamination par le virus chinois est alarmant. Quitte à redéconfiner, une fois l'alerte passée. Ça occupe utilement les fonctionnaires que de pondre des directives, des arrêtés et des décrets successifs. Ça justifie à leurs yeux l'argent qu'ils volent dans nos poches ou sur nos retraites.

    27.11.2020 : un « allègement » au confinement est décrété par le gouvernement. Bonne nouvelle : « pour profiter de l'air pur de nos belles montagnes » [sic] les stations de ski seront ouvertes pour les fètes de Noël ; mauvaise nouvelle : les remonte-pentes resteront fermés. C'est ce qu'on appelle une décision alacon. Si avant, en France, on avait « la droite la plus c*n du monde », on a maintenant le gouvernement le plus c*n du monde. Énorme progrès !

    Décembre 2020 ; le gouvernement, dans son immense génie, a introduit la notion d'auto-confinement. Ceux qui sont contaminés doivent rester sagement à la maison afin qu'ils ne contaminent pas les autres. Pour savoir si l'on est contaminé, il est nécessaire de passer un test. De l'argent en perspective pour les labos : à quelque chose malheur est bon.

    Voir couvre-feu.

    Sonnerie : la pandémie du corona-virus a connu un déferlement de sonnerie à nul autre second. Que l'on songe à un ministre qui recommandait « aux papys et aux mamies de ne pas aller chercher leurs petits-enfants à l'école » pour éviter la contagion ; que l'on pense aussi à ce même ministre qui ouvrait les stations de ski pour que les Français puissent « respirer l'air pur de nos belles montagnes » [sic], mais dans le même temps interdisait les remontées mécaniques, empêchant ainsi les Français de skier. Et puis cette autorisation d'installer une grande roue à Lille, mais interdiction d'y monter. Que l'on pense encore à la fermeture des commerces déclarés « non-essentiels » [sic], comme les librairies, les commerces de vêtements, etc. On pouvait prendre le métro (Vade métro Satana !), mais pas entrer dans une librairie acheter un dictionnaire ou un roman — choses évidemment « non-essentielles » dans l'esprit de nos gouvernants — ce qui en dit long sur leur respect envers la culture. Quant aux bars et aux restaurants, lieux de convivialité — fermés ! « Pour une sonnerie, c'est une belle sonnerie », aurait pu chanter Bobby Lapointe.

    Loteur propose à chaque lecteur de dresser son propre « mur des c*ns », comme l'avait fait jadis un groupe de magistrats, et ce pour clouer au pilori les membres les plus inintelligents de l'équipe gouvernementale. Il y aura foule ! Le meilleur mur sera récompensé. Loteur propose aussi la création d'un Musée de la sonnerie recensant les directives gouvernementales les plus absurdes. Ouvert 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, entrée gratuite. 
    Couvre-feu : un haut personnage de l'État dans une allocution télévisée a annoncé le 14.10.2020 que quelques grandes villes de France (les journalistes parlent de « métropoles ») allaient subir un couvre-feu pendant quelques semaines de 21 h à 06 h du matin : interdiction absolue de sortir de chez soi, sous peine d'amende de 135 euros (hé, le fric d'abord). Seules dérogations : les gens travaillant de nuit, les métros, les bus, les taxis... Nous revoilà revenus au bon vieux temps de l'occupation allemande durant la guerre de 1939-1945. « Nous sommes en guerre », déclarait ce personnage. En fait de guerre, c'est la guerre que l'État livre au peuple français. Gageons que les télés vont en profiter encore une fois pour nous refourguer leurs programmes les plus pourris, tandis que les cinémas et compagnies de spectacle vont crever.

    En raison d'une augmentation de cas de corona-virus dans certaines régions, l'État dans sa haute sagesse a imposé un couvre-feu à partir de 18 heures, ruinant encore plus les petits commerces. C'est d'autant plus stupide que les jours commencent à augmenter. C'est finalement un confinement déguisé, puisqu'il y a interdiction de sortir de chez soi et de circuler. Nous voilà revenus à l'époque de l'occupation allemande.

    Mars 2021 : l'heure du couvre-feu est reculée d'une heure ; ce sera désormais 19 h et non plus 18 h. Constatation : le virus, lui aussi, respecte l'heure d'été. 
    Covid-19 (souvent avec une majuscule, comme si on écrivait le Cancer, la Grippe, le Rhume… preuve, une fois de plus, que les zofficiels ne respectent pas les règles de l'orthographe). Dans covid, co = co-rona ; vi = vi-rus ; d = d-isease (maladie, en anglais) et 19 = parce que ça va prendre dix-neuf ans à l'économie pour s'en remettre (non, je plaisante !). Le 19 représente l'année d'infection (2019). Certains disent LA covid, parce le 'd' de covid vient de l'anglais disease : la maladie, et qu'il s'agit d'une maladie. Or le mot disease est neutre en anglais. Donc le féminin ne se justifie pas, et c'est encore une fois une décision alacon. Dans ce cas-là, on devrait dire aussi : LA rhume, LA cancer, LA tétanos… puisqu'il s'agit de maladies.

    On appelle aussi le corona-virus sars-cov-2 ou sous sa forme francisée sras-cov-2 : syndrome respiratoire aigu sévère [sévère = grave] et 2, parce qu'il apparu pour la première fois en 2002. L'OMS, estimant que les formes sars-cov ou sras-cov étaient difficiles à retenir ou à prononcer [sic], a préconisé l'appellation covid-19. Mais il s'agit toujours de la même saleté, sans doute échappée d'un laboratoire chinois. Merci au camarade Hsi Tchin-p'ing (en transcription E.F.E.O. ; Xi Jin-ping en pinyin) ou plus simplement 习 近 平 en chinois. Un grand merci à la dictature communiste chinoise de nous avoir effrontément menti. La tête de paysan madré du dictateur chinois en dit long sur sa sincérité. Et dans le prénom du dictateur chinois il y a le caractère (P'ing) qui veut dire... la paix. Le caractère (Tchin) signifie proche, s'approcher. (Hsi ou Xi) veut dire étudier, apprendre. L'Apprenant pacifique qui nous envoie la peste, il faut le faire. En tout cas, cette pandémie consacre la victoire de la mondialisation à la chinoise, synonyme de mort.

    Certains parlent de « génération covid », qui aurait été sacrifiée (chômage dû à la pandémie, jeunes sacrifiés pour sauver des vies...) Quant au personnel médical et hospitalier, le gouvernement reconnaissant lui propose une médaille (la médaille covid) et de le glorifier pour le 14-Juillet. Pour ceux qui ont donné beaucoup d'eux-mêmes, et pour certains leur vie, il serait préférable de revaloriser le salaire — ce qui n'a pas encore été fait (septembre 2020) pour beaucoup. On voit ainsi le côté rat du gouvernement.

    Et quand les activités reprennent, tant bien que mal, après une période de stagnation forcée, on parle d'activités post-covid, comme s'il y avait un avant et un après. Une maladie saisonnière est deventue synonyme de révolution. Le monde est vraiment malade.

    Covidé(e) : se dit d'une personne malade du covid. Le 4 avril (2020), 5 431 patient « covidés » étaient hospitalisés en « soins critiques » en France (RT . com, 06.04.2021). Quant aux bovidés, ils ne semblent pas (encore) atteints du covid.

    P.S.1 qui n'a rien à voir : pour loteur, le corona-virus est devenu le couillona-virus, en raison de la propension du (des) gouvernement(s) à prendre les citoyens pour des couillons.

    P.S.2 qui n'a rien à voir : il n'y a aucun rapport entre le covid et le poète latin Ovide (-100 -44), l'auteur de L'Art d'aimer avec ses judicieux conseils, par exemple : « Si tu vois une poussière sur le sein de ta belle, ôte-la. S'il n'y a pas de poussière, ôte-la quand même ». Ovide ne craignait pas le covid. 
    Crise : le Cnrtl précise que c'est, au sens médical, un ensemble des phénomènes pathologiques se manifestant de façon brusque et intense, mais pendant une période limitée, et laissant prévoir un changement généralement décisif, en bien ou en mal, dans l'évolution d'une maladie. C'est donc la manifestation brusque et intense, de durée limitée (d'un état ou d'un comportement), pouvant entraîner ou non des conséquences néfastes. C'est un état temporaire. Bref, ça passe ou ça casse.

    Les néo-crétins (hommes politiques, journalistes…) utilisent ce terme dans le sens d'accès ou d'attaque, de période de troubles, de difficultés, de perturbations, de bouleversements (quel que soit le plan : social, économique ou financier, agricole, éducatif...), qui peuvent durer . Sibeth Ndiaye « étonnée » de l'initiative des marcheurs dissidents en pleine crise sanitaire (France 24 Vidéos, 19 mai 2020, la prétendue crise ayant débuté en janvier 2020 ; elle dure donc depuis plusieurs mois déjà). Les marcheurs désignent ici les députés du parti politique « La République en marche », parti qui a la particularité de perdre des députés en cours de marche. Rappelons au passage qu'un homme politique chilien avait adopté comme slogan Civismo en marcha (Civisme en marche) ; il s'agit de… Pablo Escobar, le célèbre trafiquant de drogue. 
    CUN (C*n Universel Numérique) : les confinements et les couvre-feux successifs auront réduit les Français à l'état de zombies, obligés de se réfugier derrière leurs écrans (d'ordinateur, de tablette, de machin-phone, de télévision) pour avoir un semblant de ve humaine.

    Les commerces non-essentiels sont fermés ? Qu'importe ! il y a le Clique Andes Collecte. Les lieux de travail sont de lieux de contamination ? Qu'importe ! Il y a le télé-travail. Vous êtes confinés, vous subissez le couvre-feu et vous vous emm*rdez comme un rat mort ? Qu'importe ! Il y a internet, la télévision et autres merveilles écranesques. Les citoyens, peu à peu, deviennent prisonniers des écrans.

    Plus ils sont déconnectés de la vie, de la réalité, plus ils sont « connectés ». Même leurs frigos sont connectés et les tiennent au courant de leur contenu. Bientôt, ils vont passer commande à l'hypermarché du coin à leur place. Bref, on n'a plus affaire à des citoyens, mais à des Cuns. Merci à notre gouvernement et bienvenue à Gattaca.

     

     

     

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    Lettre B :

    Black Friday : cette mode, venue des Zétazunis, est une célébration du consumérisme occidental. Le dernier vendredi de novembre, les grands magasins et les boutiques font des rabais très intéressants sur nombre de produits, et beaucoup de gens se précipitent pour acheter des choses dont en général ils n'ont pas besoin. C'est une manifestation de la c*nnerie humaine.

    Pourquoi 'black' ? Parce qu'en général la furie acheteuse se traduit par de nombreux embouteillages aux abords des magasins qui pratiquent les remises dont on a parlé. Mais, d'autre part, ne serait-il pas plus intéressant d'appeler ce jour Super vendredi plutôt que de laisser stupidement le nom anglais ? That is la question.

    L'année 2020 aura vu une âpre lutte entre les boutiques et les grandes surfaces d'une part, et les sites de ventes par correspondance d'autre part, les commerçants s'estimant lésés par une concurrence jugée déloyale. Le gouvernement, dans sa magnanimité, a donc décidé de repousser la date du 27 novembre au 4 décembre, pour éviter les manques à gagner dus au confinement. C'est avec de telles décisions que l'on mesure la grandeur d'âme et le sens politique des gouvernants.

     

    Bon sens : si « le bon sens est la chose du monde le mieux partagé » (Descartes), Jacques Rouxel (Les Shadocks) ajoutait : ... la c*nnerie aussi. Le 14.10.2020 un haut personnage de l'État annonçait un train de mesures restrictives, destinées à priver davantage de liberté les citoyens français : couvre-feu, interdiction de rassemblements de plus de six personnes, etc., etc. Et, ajoutait-il à propos de ces restrictions : « C'est une règle de bon sens que chacun doit avoir ». Acquiescer à l'asservissement volontaire, c'est une règle de bon sens. Qu'on se le dise !



    Bras (calque de l'anglais médical arm : branche, partie) : le très attentif observateur de la langue actuelle LMMRM a signalé à loteur le mot bras. Que vient faire le bras dans cette histoire ? Le corona-virus s'attaquerait-il aussi aux bras ? Hé bien, non — du moins pas encore. Le bras, dans le discours officiel, désignerait un secteur d'activité, un domaine de recherche, voire un protocole de travail ou un traitement. Bref, on ne sait pas trop ce que ça veut dire, comme pour tous les mots ou expressions venus de l'anglo-américain. Loteur demande un coup de main pour traduire. Lu dans la presse : « Mais je suis très surpris de la mortalité très élevée dans les deux bras – hydroxychloroquine et traitement standard » (un infectiologue). Notons au passage que la mortalité en question a bien deux bras, et non une multitude comme le dieu Vichnou, ce qui est plutôt rassurant.

    Recommandation de loteur : ne JAMAIS utiliser des termes anglais ou des calques de l'anglais ; ce sont des sources d'erreur et de confusion. À moins que ce ne soit fait exprès...



    Brésilien (variant) : ça nous arrive d'Amérique du Sud ; c'est plus contagieux et potentiellement plus mortel que le variant anglais, voici venu le variant brésilien du covid, qui aurait fait d'énormes dégâts au Brésil et en Amérique du Sud. Justement alerté, notre gouvernement a décidé de suspendre les vols entre le Brésil et la France... en oubliant au passage qu'un Brésilien pouvait passer par Lima, Lisbonne, Madrid ou une autre capitale européenne pour regagner Paris. Sans compter les Guyanais qui sont touchés par ce variant. Mais il est vrai que selon un haut personnage de l'État, la Guyane n'est qu'une île, ça ne compte donc pas.

    En attendant que toute la France soit infectée, Parisiens méfiez-vous : n'allez pas au bois de Boulogne !



    Breton (variant) : en mars 2021 on découvre un variant du corona-virus en Bretagne. Il a tout de suite été baptisé variant breton. À ce propos, un nouvel album d'Asterix va sortir en librairie : Asterix et le variant breton. Ce variant va-t-il être plus résistant aux vaccins ? Et nos courageux petits Gaulois français vont-ils être plus réfractaires ? Le Pr Raoult (alias Obélix, celui qui est tombé dans la chloroquine quand il était petit) a été appelé à la rescousse.

    P.S. Ce variant breton n'a rien à voir avec Thierry Breton, le commissaire européen qui estime que « l'Europe est le continent du monde qui a le plus de vaccins » [sic], et qui espère vaincre le covid du haut de sa tignasse blanche et de son salaire de misère.



    Bulle (sociale) : ce concept, venu de Belgique, désigne le nombre limité de personnes autorisées à être présentes dans un même lieu. Lu dans la presse : « [...] la bulle sociale "passera à cinq personnes, toujours les mêmes pour les quatre prochaines semaines"... ». Ça fait penser à des poissons rouges prisonniers dans bocal. Voilà ce que sont devenus les citoyens d'un pays. En France, on a pondu le concept de jauge.



     

    Carte de France : les départements et régions ont été coloriés par des fonctionnaires consciencieux en rouge et en vert selon le nombre de cas de contaminations - ce qui ravirait un gamin de CM1 ou de CM2, amateur de coloriage. L'on a même eu droit à une troisième couleur : l'orange (qui dans les cartes tirait sur le jaune), ce qui faisait vraiment penser aux feux de circulation. Une idée de flic ?

    Il y avait des règles de circulation entre les régions vertes et les régions rouges — sous peine d'amende —, bref une nouvelle géographie fonctionnariale. C'était le rétablissement de l'octroi. Le Nord et surtout l'Est de la France de même que l'Île-de-France et le Sud étaient rouges, les autres régions vertes. C'était aussi une façon de discriminer les citoyens.

    Une version plus subtile de cet encartement de la France fut l'obligation de porter le masque et ce, selon la fréquentation des rues d'une ville. Rues fréquentées = masque obligatoire ; rues moins fréquentées : masque facultatif. Par ce diktat, le gouvernement marque ainsi sa manie bureaucratique de se mêler de tout.

    Septembre 2020 : au fur et à mesure de l'avancement des contaminations par le corona-virus — dont le nombre augmente considérablement en raison d'une politique massive de tests — la carte de France passe par diverses couleurs (vert, rose, rouge), selon les régions. Les cerveaux du gouvernement ont même ajouté la couleur « écarlate » qui se distingue peu, à vrai dire, du rouge. Cette couleur écarlate signale le danger extrême d'attraper le virus et de finir à l'hôpital, voire à la morgue (dans ce cas, la couleur aurait dû être noire). Cet exercice de coloriage occupe utilement les fonctionnaires.

    Mars 2021 : le Nord et l'Île-de-France sont victimes des mesures de rétorsion du gouvernement (confirnement), suivis de près par la Nièvre et le Rhône. On s'attend à un confinement général fin mars pour couler encore plus l'économie, la vie scolaire et universitaire, et le moral de la population.

     

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  • par le Dr Vladimir Khlorokine ()
    de l'Académie de Médecine de Moscou

     

    Le Moyen Âge avait connu la peste noire, ainsi nommée... on ne sait pas pourquoi ; en 1918-1919 l'Europe et le monde ont connu la grippe espagnole, ainsi nommée parce seuls les journaux espagnols osaient en parler ; nos contemporains connaissent la peste jaune, ainsi nommée parce que venue de Chine, sous forme de pandémie du corona-virus.

    C'est une particularité — hélas française — que d'avoir eu des responsables aussi nuls, au-dessous de tout en ce qui concerne la gestion de cette pandémie — l'« union de l'incompétence et de l'arrogance », comme le dit si bien le Pr Perronne. Cela a entraîné, chez ceux qui prétendent nous gouverner et dans toutes les sphères proches du pouvoir, un afflux de termes, parfois ahurissants, pour décrire la situation exceptionnelle que nous vivons.

    Sortis de cerveaux plus ou moins inspirés, des mots ou expressions marqueront l'histoire de la langue — tout comme le corona-virus marquera l'histoire de l'économie et des relations humaines — par leur rare degré d'approximations, de barbarismes, de formulations maladroites ou ridicules. Les pontes qui ont créé et utilisé ce vocabulaire maîtrisent aussi mal la langue que la situation catastrophique due au corona-virus. Mais qu'on ne s'y trompe pas, le Vocabulaire présenté ci-dessous, avec ses mots et ses tournures bizarres, est plus destiné à mener les citoyens en bateau, à noyer le poisson, qu'à s'appliquer avec précision à ce que nous vivons actuellement. Comme pour les mots ou expressions « politiquement corrects », il s'agit plus de tromper les citoyens que de décrire une situation.

    N.B. Le Vocabulaire a été rédigé en mai 2020. Depuis, nombre de mesures ont changé, de telle sorte qu'un certain nombre de rubriques ont été récrites (ou seront récrites) au passé. D'autres rubriques seront créées au fur et à mesure de l'avancement du néo-crétinisme sanitaire et gouvernemental. Loteur conseille donc de rafraîchir ce vocabulaire de temps en temps, en raison des mises à jour périodiques.

    Lettre A:

    ABCD : on connaissait le sigle « AAA » (Anciens Alcooliques Anonymes, ou Académie Alphonse Allais). Il y a eu ensuite une rimbambelle de « ABC », par exemple l'« ABC de la graphologie » de Jules Crépieux-Jamin, le fondateur de la graphologie scientifique ; l'« ABC de la psychologie et de la psychanalyse » de Corinne Morel, etc. La ministre Belcassem s'était, elle, fendue d'un « ABCD des Inégalités ». Cédant à la manie de la pédagogie, le ministre de la Santé  a rédigé un « ABCD du Couillona-Virus », avec quatre recommandations qu'il définit ainsi :

    A comme personne Âgée (fragile, forcément fragile)
    B comme endroit Bondé (rester masqué, respecter une distance;)
    C comme lieu Clos (rester masqué, respecter une distance)
    D comme Distance physique (à respecter)

    Ces quatre lettres doivent en fait être comprises comme suit :

    A comme Abruti
    B comme Bête
    C comme Crétin
    D comme Débile

    Qu'on ne s'y trompe pas : c'est ainsi que les pontes de la France d'en haut considèrent les citoyens de la France d'en bas en ce qui concerne la gestion de la pandémie. 
    Aérosolisation : ce joli néologisme, à la limite du barbarisme, désigne le fait que le fameux virus « corona » peut se transmettre par la voie des airs : jets de salive, postillons, toux, éternuement, voire tout simplement le fait de parler ou de respirer. L'atmosphère est si raréfiée sur la Lune qu'un héros de Jules Verne recommandait de ne respirer que dans les grandes occasions. Le gouvernement actuel de la France n'est pas loin de nous enjoindre de faire de même, que ce soit dans la rue, au travail ou chez soi. 
    Alarmistes : ce mot désigne ceux qui, volontairement ou non, entretiennent un climat de peur, de panique face au danger que représente(rait) le corona-virus par des messages alarmants : Attention ! le virus circule toujours ; portez des masques ; respectez les distances de sécurité ; enfants, n'allez pas voir vos parents ou vos grand-parents ; papies-mamies, n'allez pas chercher vos petits-enfants à l'école [le ministre Jean Casse-toi] ; ne rencontrez pas plus de 10 (dix) personnes par semaine [un professeur de médecine]), ne soyez pas plus de six ensemble à la maison... La propagandastaffel (= télévision) gouvernementale lave le cerveau des citoyens continuellement. Un aréopage de médecins, de professeurs, de chefs de clinique distingués est continuellement invité sur les plateaux des télévisions pour entretenir cette peur au ventre en nous menaçant de tous les maux du monde.

    Nul doute que ces médecins, qui fréquentent plus les plateaux de télévision que les salles d'hôpital, vont pondre un bouquin où ils vont expliquer pourquoi ils ont eu raison.
    Antonyme : Rassuristes. 
    Asymptomatique : se dit de toute personne, surtout jeune (moins de cinquante ans) qui ne présente pas de symptôme(s) de la maladie, mais qui est porteuse du virus, qu'elle peut transmettre à l'insu de son plein gré à son entourage — phénomène appelé « contagion » par les pontes de la médecine. Sont donc asymptomatiques pour le gouvernement français toutes les personnes entre 5 et 50 ans, sans exception, qu'il faut donc brimer de toutes les façons possibles et imaginables : confinement, port du masque (muselière) obligatoire, amendes, traçage par portable interposé, etc.

    C*n Asymptomatique Il est une autre forme de personne asymptomatique que loteur a rencontrée. Un jour, se rendant tranquillement à un rendez-vous, loteur croisa un jeune homme d'apparence quelconque, tout à fait normale, poussant un petit chariot rempli de provisions. Soudain, cet homme prit loteur à partie, car son masque ne recouvrait pas entièrement le nez (the nose). « Il y a un confinement, il y a obligation de porter un masque. Si vous tombez malade, c'est nous, les jeunes, qui devrons payer pour vous ! » Interloqué par cette sortie inattendue, loteur objecta que le masque l'empêchait de respirer, mais qu'il ne mettait personne en danger — d'autant plus que le jeune gars était à plusieurs mètres de distance. Mais le jeune homme n'en démordait pas, et continua de lancer contre loteur de graves accusations de mise en danger d'autrui. C'est à peine s'il n'appela pas police-secours. De guerre lasse, loteur prit congé sans autre forme de procès, et comprit, devant cet homme jeune, qui donnait toutes les apparences de la normalité, qu'il venait de tomber sur un spécimen de con asymptomatique : c'est quelqu'un apparemment normal, mais qui souffre du syndrome aigu de la sonnerie, hélas très répandue. « C'est sans doute quelqu'un qui regarde la télé, se dit loteur, ou qui lit L'Immonde ». 
    Attestation de déplacement dérogatoire : version française de l'ausweis qu'ont connu nos parents ou nos grands-parents durant l'occupation allemande lors de la guerre de 1939-1945. Sans ce précieux papier, que vous deviez exhiber même en allant acheter votre baguette, vous écopiez d'une amende de 135 euros — ce racket fiscal étant destiné remplir les caisses de l'État, consciencieusement vidées par les autorités. Dérogatoire vient du verbe déroger, qui signifie : s'écarter de ce que stipule la loi.

    En ancien français, le verbe déroger appartenait au vocabulaire de la noblesse et voulait dire : exercer une activité incompatible avec la noblesse ou contracter une union morganatique entraînant la perte de ses privilèges. « Aucun des patriciens ne dérogerait en s'alliant à une famille plébéienne » (Michelet, Histoire romaine). C'est un verbe dépréciatif, donc. Tout comme nos élites déprécient les citoyens français et les traitent comme des moins que rien (ce ne sont que des gens qu'on peut rencontrer dans les gares).

    Cette forme de brimade a duré deux mois, le temps pour les autorités de se forger un petit pécule avec les milliers et les milliers d'amendes à 135 euros, destinées à renflouer en partie les caisses de l'État, qui sont comme les cervelles des gouvernants : désespérément vides.

    Ce système d'amendes, dérivé du fameux Wergeld des Teutons, est la trouvaille géniale des cerveaux des fonctionnaires de la République pour contraindre les citoyens à respecter les diktats arbitraires du gouvernement.

    Ajoutons que la France (= Liberté, Égalité, Fraternité) est le seul pays du monde — et non AU monde, comme se plaisent à dire les journalistes — à avoir obligé les citoyens à remplir une attestation pour sortir de chez soi. Sous peine d'amendes, infligées par des flics traquant les citoyens. C'est là où les fonctionnaires et hommes politiques français ont mieux fait que les occupants allemands. Nous sommes vraiment en flictature ou dictature policière.

    Mars 2021 : les fonctionnaires du gouvernement français se sont surpassés en publiant un formulaire de déplacement en deux pages et quinze cas de sortie de chez soi. Devant le tollé soulevé par cette décision absurde, à la mesure du génie fonctionnarial, le gouvernement fit machine arrière, et décida qu'une simple carte d'identité ou éventuellement une facture EdF suffiraient. Mais toujours dans la limite de dix km. L'histoire ne dit pas si le gouvernement entend fournir des podomètres. Comme aurait pu dire Philippe Geluck : « Quand un fonctionnaire est c*n, ça ne se remarque pas » — mais on en subit les conséquences, ajoute loteur. 
    Ayatollisme : ce néologisme, créé par loteur, désigne une tyrannie fondée sur des dogmes religieux. Si la France, pays « laïque », ne reconnaît plus la religion comme principe d'État, on est cependant bien obligé d'admettre d'une part que cette dernière a fait un retour en force sous sa forme la plus rétrograde (avec la religion qui hisse l'âme). D'autre part, le gouvernement en place actuellement (écrit en 2020) témoigne de la volonté de ses membres de gouverner, non plus par lois ou par décrets, mais par dogmes.

    Il en est ainsi à propos de la pandémie du corona-virus, où l'on assiste à une série d'ordres et de contre-ordres, fondés sur aucune base scientifique, destinés à instaurer le chaos dans les têtes, dans les familles, dans les relations sociales.

    Les masques sont d'abord déclarés inutiles, puis sont rendus obligatoires par décret céleste, même à l'extérieur ; les tests auxquels le gouvernement veut soumettre la population ne sont pas tous fiables ; les distances physiques de protection, dogmatiquement décrétées, ne font qu'entretenir une paranoïa sanitaire et sécuritaire. Les gens du gouvernement entendent interdire les rassemblements, les lieux de divertissement, les visites aux malades, et même les réunions familiales (septembre 2020) ! Les profs et écoliers doivent être masqués, ce qui facilite la communication et la transmission du savoir — mais l'école transmet-elle réellement le savoir actuellement ? D'autant plus que faire cours pendant cinq ou six heures d'affilée avec un masque est épuisant. Et il y a « double peine » : celui qui parle avec un masque a des difficultés à respirer ; celui qui écoute a des difficultés à comprendre, surtout s'il est dur d'oreille.

    Bref, on vit dans l'irrationnel, la contrainte, la stupidité — comme dans toute religion dogmatique. Les ayatollahs ont remplacé les sages législateurs.
     
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  • Joyeuses Pâques!

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