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La seule défense
La seule défense, le seul recours du blanc contre le robotisme, et sans doute contre la guerre, la régression à "pire que cavernes" bien pire, c'est le retour à son rythme émotif propre. Les Juifs circoncis sont en train de châtrer l'Aryen de son rythme émotif naturel. Le nègre juif est en train de faire dégringoler l'Aryen dans le communisme et l'art robot, à la mentalité objectiviste de parfaits esclaves pour Juifs. (Le Juif est un nègre, la race sémite n'existe pas, c'est une invention de franc-maçon le Juif n'est que [192] le produit d'un croisement de nègres et de barbares asiates.) Les Juifs sont les ennemis nés de l'émotivité aryenne, ils ne peuvent pas la souffrir. Les Juifs ne sent pas émotifs, à notre sens, ce sont les fils du Soleil du désert, des dattes et du tam-tam... Ils ne peuvent que nous haïr à fond... de toute leur âme de nègres, toutes nos émotions instinctives, ils les abhorrent. Etablis, émigrés, pillants, imposteurs, sous nos cieux, dépaysés, désaxés, ils singent nos réactions, gesticulent, ratiocinent, enculent mille fois et mille fois la mouche avant de commencer à vaguement comprendre, ce
qu'un Aryen pas trop abruti, pas trop alcoolique, pas trop vinassier, saisit au vol, une fois pour toutes en vingt secondes... émotivement, silencieusement, directement, impeccablement. Le Juif ne s'assimile jamais il singe salope et déteste. Il ne peut se livrer qu'à un mimétisme grossier, sans prolongements possibles. Le Juif dont les nerfs africains sont toujours plus ou moins de "zinc", ne possède qu'un réseau de sensibilité fort vulgaire, nullement relevé dans la série humaine, comme tout ce qui provient des pays chauds, il est précoce, il est bâclé. Il n'est pas fait pour s'élever beaucoup spirituellement, pour aller très loin... L'extrême rareté des poètes juifs, tous d'ailleurs resuceurs de lyrisme aryen... Le Juif, né rusé, n'est pas sensible. Il ne sauve les apparences qu'à coup de perpétuelles pitreries, simulacres, grimaces, imitations, parodies, poses, "cinégéisme", photographies, bluff, arrogance. Dans sa viande même pour l'émouvoir il ne possède qu'un système nerveux de nègre des plus rudimentaires, c'est-à-dire un équilibre de rustre. Le Juif nègre, métissé, dégénéré, en s'efforçant à l'art européen, mutile, massacre et n'ajoute rien. Il est forcé un jour ou l'autre de revenir à l'art nègre, ne l'oublions jamais. L'infériorité biologique du nègre ou du demi-nègre dans nos climats est évidente. Système nerveux "expédié", rançon de la précocité, il ne peut aller bien loin... L'adolescence nègre est extrêmement brève. Un nègre est fini à quatre ans. Le Juif est anxieux de raffinement; une obsession, s'entourer d'or et d'objets précieux, "faire raffiné". Or il n'est jamais intimement raffiné, somatiquement raffiné, impossible. J'ai vécu longtemps chez les nègres, je les connais. Grimaces. Il faut au nègre comme au Juif de la dorure, beaucoup de dorures de tambour, de tam-tam, de publicité pour qu'il se réveille... Il ne comprend que la grosse caisse, ou la seringante trompette arabe, au mieux. Il passe à travers toutes les nuances, il bondit, galope, s'écroule, chie sur les violettes dès qu'on le lance sur les jardins, [193] comme un chien mal dressé... Et dire que nous sommes devenus les esclaves soumis de ces sous-brutes dépaysées! Le Juif demeure, en dépit de tant de contorsions au bout de toutes ces pitreries, beaucoup plus bûche que violon... désastreusement impénétrable à toutes les ondes de l'intuition, aux enthousiasmes impersonnels, une buse avide, follement prétentieuse et vaine. Et puis, au comble du culot, il se fait critique.
Je veux avoir à mon enterrement la Fanfare de Tel-Aviv et les "Cadets" de la rue Triangle.
Dieu sait si le Juif essaye de se polir, de s'affiner "aryennement", pour mieux nous tromper, nous engluer, nous étrangler. En dépit de ce gigantesque labeur, il demeure après tant de siècles, l'insurpassable gaffeur des cinq continents."Bagatelles pour un massacre" *
Tags : juif, negre, emotif, aryen, tam
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