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Par Cruella le 5 Avril 2024 à 09:10
A hundred years before Mozart was born, Heinrich Biber was a court musician in Salzburg, and was considered the leading violin virtuoso of his day. Biber wrote his Battalia à 10 in 1673. It is a programmatic suite for string orchestra, depicting an army preparing for war, getting drunk, marching, and fighting a battle. It ends with a 'lament for wounded musketeers'. The second movement is a quodlibet, a type of 17th century drinking song, during which different singers would bring different folk songs and sing them simultaneously and raucously. Biber titled his second movement, Die liederliche gesellschaft von allerley Humor (“The lusty society of all types of humor”) and, in it, he mixed together Slovak, Bohemian, Austrian and German tunes. In the second violin part, Biber noted, in Latin, “hic dissonat ubique nam ebrii sic diversis Cantilenis clamare solent.” (“Here it is dissonant everywhere, for thus are drunkards accustomed to bellow with different songs.”) Biber creates, for about a minute, an astonishingly dissonant tangle of musical lines, that seem to prefigure 20th century polytonality. Interestingly, the melody in the third violin part is the German folk song, Kraut und Rüben haben mich vertrieben (“cabbages and turnips have driven me away”), a melody which J.S.Bach later used in his own quodlibet, which is the final contrapuntal display in his Goldberg Variations of 1741. In Bach’s quodlibet, the melody is presented, along with a second folk song, Ice bin so lang night bey dir g’west (“I haven’t been with you for such a long time”) in richly harmonised 4-part counterpoint. *
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"On demande pourquoi le même homme qui aura vu d'un oeil sec les événements les plus atroces, qui même aura commis des crimes de sang-froid, pleurera, au théâtre, à la représentation de ces événements et de ces crimes"
On compare parfois la cruauté de l’homme à celle des fauves, c’est faire injure à ces derniers.
Fiodor Dostoïevski -
"La vérité est ce qui brûle. La vérité est moins dans la parole que dans les yeux, les mains et le silence. La vérité, ce sont des yeux qui brûlent en silence."
"L'oeil appartient à l'âme plus qu'aucun autre organe ; il semble y toucher et participer à tous ses mouvements, il en exprime les passions les plus vives et les émotions les plus tumultueuses comme les mouvements les plus doux et les sentiments les plus délicats" -
Appeler les femmes « le sexe faible » est une diffamation; c'est l'injustice de l'homme envers la femme. Si la non-violence est la loi de l'humanité, l'avenir appartient aux femmes.
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