• Quand les Juifs auront passé

    Revenons à nos moutons, quand les Juifs auront passé, je disais, à travers mes petits ouvrages, qu'ils auront prélevé, soutiré tout ce qui peut leur porter profit je serai complètement démarqué, maquillé, revendu, vulgarisé sous leurs plumes, tout enjuivé malgré moi sous leurs noms, l'étiquette, de mille autres petits Juifs internationaux. encore plus pillards si possible, de plus en plus culottés, tous plus sournois, plus talentueux, plus géniaux les uns que les autres... Mon compte sera bon à moi personnellement, on me fera le coup de l'oubli total, de l'humiliation à outrance, de l'étouffement, de la minimisation par tous les moyens en vigueur, de l'effacement, de la négation, de l'extraction si possible...
    Le processus bouliphagique juif complet... D'ailleurs, il faut bien l'avouer... mes frères de race, dans l'occasion, se montreront, c'est certain, cent mille fois plus abjects que n'importe quels youtres... Ils n'ont pas je crois leurs pareils, dans le monde entier, pour dégueuler à plein fiel sur l'honnête travail. Le Français en particulier, se détache nettement de l'ensemble aryen, par sa haine irrémissible, inexpiable, pour tout ce qui, même de loin, lui rappelle quelque lyrisme. Alors, il ne se contient plus de fureur obscure ! le sang lui vient aux yeux... Quelle faillite... Quel abêtissement ! depuis les cavernes... Quelle déroute ! Quelle ignoble involution dans l'inertie et dans la chiasse... S'il nous voyaient les Cromagnons, ces graveurs sublimes ! quelle honte ! Rien n'est plus odieux de nos jours, humainement plus odieux, plus humiliant que de regarder un Français moderne dit lettré, dépiauter narquoisement un texte, un ouvrage... n'importe quelle bête à côté possède une allure noble, pathétique et profondément touchante. Mais regardez ce bravache grelot si indécent de suffisance, obscène de muflerie fanfaronne, d'outrecuidance butée, comme il est accablant... Que lui expliquer encore ? lui répondre ?... Il sait tout !... Il est incurable ! S'il a obtenu son bachot alors il n'est même plus approchable. Le paon n'est plus son cousin. Tout ce qui peut ressembler même vaguement à quelque intention poétique, lui devient une insulte personnelle... Ah ! mais ! Ah mais ! on se fout de lui ?... De ce bachot malheureux il sort mille fois plus sauvage, plus irrémédiable qu'un cafre... Il ne retrouve tout son entrain, toutes ses boutades, ses brosses à reluire, son figarotisme, toute sa tradition de
    pirouettes, sa frivolité piquante, toutes ses contorsions mignardes de cul surbouché qu'au moment de flatter le Juif, son sourcilleux maître.
    Du coup alors il se rend, il se donne, il se surpasse. Tout ce qui mijote de mielleux au fond de sa carcasse trouillotière lui jaillit sous la plume, d'un coup... Je suis tombé l'autre jour, dans le cours d'une revue d'art, sur les propos d'un de ces immondes. Il s'agissait de peinture, je cite à peu près, de mémoire :
    " Ah ! qu'il s'écriait ce fainéant, il y a belle lurette déjà, qu'en France tout au moins, nos critiques les plus éminents ne font plus aucune distinction dans leurs appréciations entre le artistes français nés sur notre sol, et nos chers artistes d'origine étrangère ! (lisez les Juifs) Paris leur doit tant et tant ! Le Rayonnement de Paris ! (juif). Puisqu'ils nous ont adoptés, eh bien nous les adoptons ! Ils deviennent également français ! (tu parles ! pas à Verdun !) au même titre que les autres ! Fraternité artistique d'abord ! par-dessus toutes les frontières !.,. Dans les Beaux-Arts plus de patrie ! Un seul coeur unanime pour tous ! Plus de préjugés raciaux ! Fraternité culturelle ! Qui songerait..., etc., etc. " Bien sûr ! Bien sûr ! Durandin ! Quand tes maîtres juifs, la prochaine fois, te donneront l'ordre de leur passer une fière languetouse dans le creux des miches... de bien mastiquer la fondante, de ne pas te faire mal à l'estomac, sûrement que tu trouveras encore d'autres élans plus fougueux si possible pour communiquer ton ivresse... Je t'entends d'ici... "Mais la merde juive mes chers frères, pour un palais bien français, mais c'est une dégustation sans pareille ! Un nectar inouï ! véritable ! une montée au ciel ! Ah ! le triste sire ! Ah ! plaignez le pauvre cafard ! Celui qui boude à l'écart ! Celui qui se retient ! Celui qui ne fonce pas d'autor ! dévorer l'adorable étron... l'exquis caca juif génial ! Mais c'est un retardé de l'esprit !... La divine fiente "deux fois française" ! adoptée ! Celle que l'on doit préférer toujours précieusement, dévotieusement à n'importe quel autre délice à
    n'importe quel céleste séjour ! "

    "Bagatelles pour un massacre"*

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