• Quant aux principes généraux

     

    Quant aux principes généraux ils sont intangibles. Observez que tous les films français, anglais, américains, c'est-à-dire juifs, sont infiniment tendancieux, toujours, des plus bénins aux plus amoureux!...
     des plus historiques aux plus idéalistes... Ils n'existent et ne se propagent que pour la plus grande gloire d'lsraël... sous divers masques: démocratie, l'égalité des races, la haine des "préjugés nationaux", l'abolition des privilèges, la marche du progrès, etc... l'armée des bobards démocratiques en somme... leur but strict est d'abrutir le goye toujours davantage... de l'amener le plus tôt possible à renier toutes ses traditions, ses malheureux tabous, ses "superstitions", ses religions, à lui faire abjurer en somme tout son passé, sa race, son propre rythme au profit de l'idéal juif. De faire naître en lui, par le film, le goût bientôt irrésistible pour toutes les choses juives qui s'achètent, de la matière, du luxe, qu'il se fabrique ainsi lui-même, l'Aryen, les verges pour se battre et les chaînes pour s'enferrer, qu'il paye pour comble, chemin faisant, avec quel exorbitant "surplus" tout l'appareil de son servage et de tout son abrutissement. \bus noterez que, dans les films, le Juif, en tant que "personnage juif"' n'apparaît jamais à vos yeux qu'en "persécuté", touchant personnage, écrasé par ta malignité des choses, la malchance... et surtout par la brutalité des Aryens... (\byez Chaplin)... "Pleurnicher nourrit" admirablement! L'humour juif est toujours unilatéral, toujours dirigé contre les institutions aryennes; on ne nous montre jamais le Juif avide, vorace, larvaire et vautour, arrogant ou limande, tel qu'il se transforme, se frégolinise inlassablement, dans la vie de tous les jours, selon les besoin de la conquête. Quel champ prodigieux pourtant offert à la verve des humoristes! analystes, satiristes, redresseurs virulents de tous les torts, fanatiques justiciers, fins scalpels de l'iniquité! Quelle manne! quel matériel abracadabrant d'imprévus! d'inouis imbroglios cette ruée gigantesque des rats youtres sur l'univers, inassouvibles voraces en délire, insatiables, enragés d'un virus dont le Monde s'anéantit... sous nos yeux, avec eux, sous eux, quel cyclone universel!... Du grotesque en cataclysme aux plus déchirantes grandes guignoleries... de tout!... De la Russie subcarpatique aux déserts américains... aux petits "cafés lapidaires". Le monde en torture!
     Drôle! Au moment d'aborder ces infernaux parages, le Juif, le djibouk des arts, de toucher a son propre problème, son propre destin, l'enjuivé se résorbe, s'évapore, élude... Plus personne!... Au moment d'affronter la réelle, la seule question humaine du moment, la ritournelle typique de la terre, de débrider un peu cet anthrax: la Conjuration juive... son infiltration, l'accaparement par la youtrerie de tous les ressorts, de tous les leviers et commandes du monde... La trame en somme de la Démiurgie, l'apostolique hébraique... Plus rien!... Plus un Juif!... Ces mêmes foudres d'humour, ces impitoyables scalpels, ces dramaturges supervibrants, s'attendrissent... tous ces extra-lucides s'embrouillent... ces effarants super-analystes se mettent à badiner, toute la clique superartiste youtre, biaise, ondoie, évite, triche, se glace et revient, girouette, au galop, piquer, piper encore, morfondre davantage, si possible, abolir, remariner, dilacérer la bonne vieille charogne bourgeoise (toujours nationale), la vieille carne bien dissolue, bien fétide, fatiguée de pourrir... à ne plus savoir comment... L'on nous sert encore un coup, les "privilèges de la naissance"... les "préjugés nobiliaires", les "jalousies criminelles", les "amours" contrariées... les suramours de la cinquantaine... les scrupules désastreux, les traditions désuètes, les perversions de l'héritage, la sottise des industriels aryens... les ménopauses du Génie..., etc..., etc..., enfin tout le théâtre Bernstein... international... l'antique friperie surmenée, la foire des fantômes abusifs, délavés, écheveaux de nouilles dramatulantes... Tout cela creux absolument, grossièrement inactuel, fictif, tricherie hurlante... Toujours autour des "200 familles" plus ou moins!... Mais qui vient nous raconter les saloperies foncièrement juives des 500.000 familles effrénément juives, campées sur notre sol?... La progression effroyable de la horde juive mondiale? Personne!... Notre étranglement progressif? \bici pourtant le véritable drame! Aucun autre drame n'existe en comparaison... Du petit au grand, de l'individu au tout...

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