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Par Cruella le 18 Novembre 2024 à 09:40
Quant aux principes généraux ils sont intangibles. Observez que tous les films français, anglais, américains, c'est-à-dire juifs, sont infiniment tendancieux, toujours, des plus bénins aux plus amoureux!...
des plus historiques aux plus idéalistes... Ils n'existent et ne se propagent que pour la plus grande gloire d'lsraël... sous divers masques: démocratie, l'égalité des races, la haine des "préjugés nationaux", l'abolition des privilèges, la marche du progrès, etc... l'armée des bobards démocratiques en somme... leur but strict est d'abrutir le goye toujours davantage... de l'amener le plus tôt possible à renier toutes ses traditions, ses malheureux tabous, ses "superstitions", ses religions, à lui faire abjurer en somme tout son passé, sa race, son propre rythme au profit de l'idéal juif. De faire naître en lui, par le film, le goût bientôt irrésistible pour toutes les choses juives qui s'achètent, de la matière, du luxe, qu'il se fabrique ainsi lui-même, l'Aryen, les verges pour se battre et les chaînes pour s'enferrer, qu'il paye pour comble, chemin faisant, avec quel exorbitant "surplus" tout l'appareil de son servage et de tout son abrutissement. \bus noterez que, dans les films, le Juif, en tant que "personnage juif"' n'apparaît jamais à vos yeux qu'en "persécuté", touchant personnage, écrasé par ta malignité des choses, la malchance... et surtout par la brutalité des Aryens... (\byez Chaplin)... "Pleurnicher nourrit" admirablement! L'humour juif est toujours unilatéral, toujours dirigé contre les institutions aryennes; on ne nous montre jamais le Juif avide, vorace, larvaire et vautour, arrogant ou limande, tel qu'il se transforme, se frégolinise inlassablement, dans la vie de tous les jours, selon les besoin de la conquête. Quel champ prodigieux pourtant offert à la verve des humoristes! analystes, satiristes, redresseurs virulents de tous les torts, fanatiques justiciers, fins scalpels de l'iniquité! Quelle manne! quel matériel abracadabrant d'imprévus! d'inouis imbroglios cette ruée gigantesque des rats youtres sur l'univers, inassouvibles voraces en délire, insatiables, enragés d'un virus dont le Monde s'anéantit... sous nos yeux, avec eux, sous eux, quel cyclone universel!... Du grotesque en cataclysme aux plus déchirantes grandes guignoleries... de tout!... De la Russie subcarpatique aux déserts américains... aux petits "cafés lapidaires". Le monde en torture!
Drôle! Au moment d'aborder ces infernaux parages, le Juif, le djibouk des arts, de toucher a son propre problème, son propre destin, l'enjuivé se résorbe, s'évapore, élude... Plus personne!... Au moment d'affronter la réelle, la seule question humaine du moment, la ritournelle typique de la terre, de débrider un peu cet anthrax: la Conjuration juive... son infiltration, l'accaparement par la youtrerie de tous les ressorts, de tous les leviers et commandes du monde... La trame en somme de la Démiurgie, l'apostolique hébraique... Plus rien!... Plus un Juif!... Ces mêmes foudres d'humour, ces impitoyables scalpels, ces dramaturges supervibrants, s'attendrissent... tous ces extra-lucides s'embrouillent... ces effarants super-analystes se mettent à badiner, toute la clique superartiste youtre, biaise, ondoie, évite, triche, se glace et revient, girouette, au galop, piquer, piper encore, morfondre davantage, si possible, abolir, remariner, dilacérer la bonne vieille charogne bourgeoise (toujours nationale), la vieille carne bien dissolue, bien fétide, fatiguée de pourrir... à ne plus savoir comment... L'on nous sert encore un coup, les "privilèges de la naissance"... les "préjugés nobiliaires", les "jalousies criminelles", les "amours" contrariées... les suramours de la cinquantaine... les scrupules désastreux, les traditions désuètes, les perversions de l'héritage, la sottise des industriels aryens... les ménopauses du Génie..., etc..., etc..., enfin tout le théâtre Bernstein... international... l'antique friperie surmenée, la foire des fantômes abusifs, délavés, écheveaux de nouilles dramatulantes... Tout cela creux absolument, grossièrement inactuel, fictif, tricherie hurlante... Toujours autour des "200 familles" plus ou moins!... Mais qui vient nous raconter les saloperies foncièrement juives des 500.000 familles effrénément juives, campées sur notre sol?... La progression effroyable de la horde juive mondiale? Personne!... Notre étranglement progressif? \bici pourtant le véritable drame! Aucun autre drame n'existe en comparaison... Du petit au grand, de l'individu au tout...
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Par Cruella le 10 Novembre 2024 à 09:20
Autre trafic parallèle, pour les apprenties vedettes, entre l'Europe et Hollywood. Trafic des plus belles, des plus désirables petites Aryennes bien suceuses, bien dociles, bien sélectionnées, par les khédives négrites juifs d'Hollywood "Metteurs en scène" (!) écrivains (?) gouines de pachas. machinistes... banquiers assortis... Tous nos vizirs de l'Univers juif!... Ce n'est plus la route de Buenos... c'est la route de Californie et de "haut luxe" et vice versa. Les petits culs d'Aryennes, les plus tendres, bien junéviles, et mignons, tout ce qu'il y a de mieux dans le cheptel, absolument tout premier choix, pour les gros vielloques, négrifiants... les plus fermentées pourritures concentrées youtres du suprême cinéma!... Juif partout! au cul! de tout! et dans la pipe!... le bon foutre juif! ... Tu les boufferas les hémorroïdes du gros paneux, suiffeux fameux youtre, haineux pacha, petite soeur de race!... reine de beauté!... Ils en raffolent des chichis fourrés! Tu n'as pas seize ans pour les prunes! Tu veux faire carrière ?... Minois ? Tu veux être adulée! dis-moi ?... Tu veux être Reine de l'Univers juif! Minute!... Attends un petit peu d'abord... frémissante! A la pipe enfant!... Tu crois qu'il suffit d'être belle ?... Ouvre d'abord ton gentil ventre... Tu crois les journaux de cinéma ?... Tu n'as pas fini! Tu veux passer souveraine, petite garce?... Mondiale favorite? Très bien! Alors descends un petit peu d'abord à l'anus de M. Lévy-Lévy, dit Samuel l'Abyssin, dit Kalkeinstein, dit Ben Cinéma, lui amuser sa procidence... suce tout doucement le lourd paquet... qu'il t'éprouve!... Assez de phrases! là!... Ne crève rien de tes quenottes!.. La gloire c'est un trou du cul! bien compliqué, fragilement boursouflé, de suiffeux juif... doucement!... N'abîme rien, ma charmante, surtout! Ne fais pas saigner M. Kalkeinstein... Il t'attend!... Dépêche-toi chérie. Tout doux!... A présent une autre! raffole des "blondes" par-dessus tout, M. Kalkeinstein, Ben Cinéma... comme tous les nègres... Il possède, chères postulantes! toutes les photographies déjà bien en place, sur son grand bureau directorial... Il mouille. Le Parc aux Cerfs Abdul-Hamid? Rio-Janeiro? Primitives bordelleries! Hollywood fait lui bien mieux... une sélection bien plus fine... bien plus astucieuse, plus rationnelle... Préface de [224] la grande Réserve des plus belles blanches pour les Juifs exclusivement. Razzia tous les dimanches. La sélection française des petits tendrons de beauté se trouve particulièrement guettée par les grands chacals juifs de Californie. Une magnifique réputation de suceuses, de très mignoteuses putains précède les Françaises partout... Le nabab judéo-canaque d'Hollywood, tard sorti de son ghetto... veut, c'est naturel, il est le roi... se rendre compte... J'ai connu l'un de ces pachas, il était splendide dans son genre. Il est mort d'ailleurs à la tâche... Au moment où il débarquait il arrêtait pas de se réjouir jusqu'à son départ... Il éprouvait en personne à longueur de bite et de nuit, toutes les aspirantes vedettes... C'était pas possible d'imaginer la consommation de cet homme... Le nombre de mignonnes qui se présentent pour se faire calcer rien qu'à la furtive perspective d'un engagement pour Hollywood ...ou même un petit rôle d'essai aux environs de Paris... Complètement affriolées! C'est par douzaines que ça radine! plus mignonnes les unes que les autres pour sucer la bite du monsieur... et sa chaude-pisse et sa vérole... Et pas des blèches, je vous assure! rien que des tendrons.!... toutes présentées par leurs familles, et même des pucelles. Rien que des Aryennes et des petites bourgeoises pas faméliques. Rien au-dessus de la "majorité" ... L'ambition!... Et l'Abyssin horrible en plus! laid, vieux et sale, lourdingue et con, une vraie ordure, en tout et partout... une vraie dégueulure de ghetto. Jamais il avait de résistance... Il se les farcissait toutes... à l'espérance, au mirage juif, au bon mot! Ah! Don Juan! quel causeur!
Les mères auraient fait l'impossible peur qu'ils les enculent davantage, leurs jolies fillettes! si douées pour les Arts... Il en pouvait plus... Elles le léchaient sur toutes les faces... ses vieilles burnes flasques... Hollywood! Plus elles étaient "fiancées" plus ça plaisait... Il tenait un petit carnet pour numéroter les pucelages... parfois 25 dans un mois... Il était sadique comme 36 chats de Perse... De temps en temps ca tournait mal, y avait du tabac, des pères, des frères de familles qui se montraient... des petits chantages en perspective... Mais les pachas sont protégés... il avait même, celui-là, tout spécialement, pour son service, un vrai commissaire de police attaché à sa personne pour le dépêtrer.. quand ça fumait un peu fort... La police intervenait. On réveillait même la nuit le Préfet dans sa Préfecture pour qu'il donne des ordres... pour qu'on lui ramène ses mignonnes, quand elles se faisaient la valise... absolument comme sous Louis XV.. quand sa queue l'empêchait de dormir... Ça. sert à quelque chose nos impôts. Seulement faudrait pas que je vous gâte, que vous alliez vous croire Pacha... Il y a l'énorme différence!... Le "Bon Plaisir" ça subsiste... c'est plus les mêmes qui en profitent, voilà tout... Faut pas confondre!... Vbus petite cloche, vous cave d'Aryen, vous vous feriez drôlement sonner s'il vous prenait la fantaisie de jouer comme ça les petits satyres! même le quart! même le dixième! on vous ferait passer vite le goût... Vbus auriez même pas le coup de Bastille! Vbus auriez droit aux "castagnettes"... Pfoui! la raclure d'indigène! qui pisse à présent partout! Le sale coyote! La débranlure! à la niche! infect... couché!... Ce ne sont là, je vous l'affirme, que tout autant de gamineries... Délassements de conquérants! distractions de khédives. Bagatelles! L'_uvre sérieuse n'en pâtit pas! Au contraire!... Le programme talmudique ne souffre aucun retard d'exécution. L'érotisme polluant fait partie du programme. C'est tout. Chapitre intime.
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Par Cruella le 2 Novembre 2024 à 09:50
Qu'est-ce qui rentre dur et sort mou?" Voici une bonne devinette...
Ceux qui savent répondent: le biscuit!... Les films c'est pareil... Ils commencent durs et finissent mous... guimauve à la merde!... au jus "sentiment". Les foules se régalent, c'est leur bonheur, leur ivresse, il leur faut leur merde, leur bonne merde juive, merde-radio, merde-sport (tous les combats de boxe, toutes les compétitions de la route et du vélodrome sont truqués), merde-alcool, merde-crime, merde-politique, merde-cinéma, ils s'en font crever!... Jamais trop! Jamais trop d'étrons! Jamais trop coûteux! La littérature d'ailleurs les prépare à bien apprécier cette jolie fiente. La littérature se met au niveau, il faut bien, des plus accablants scénarios, des plus surbranlés. Elle ne végète plus qu'à ce prix, ne sait plus comment s'enjuiver davantage, plaire par conséquent, s'envaser encore un peu plus, renchérir dans la sentimentalerie... Tout en étrons!... Plus près toujours! Plus près du peuple! plus politique! plus démagogue! L'esprit "banquiste" en somme... L'esprit du pitre Tabarin (1630 est déjà youtre)... Au prochain acte la puce savante! Messieurs, Mesdames, le peuple vous renverra aux gogs un de ces trois matins!... Alors tous en prison!... et Robots Nom de Dieu!... et en avant le surréalisme!.. Le truc d'art moderne est encore plus simple!... je vais vous l'indiquer pour rien... Vous photographiez un objet, n'importe quel objet, chaise, parapluie, télescope, autobus, et puis vous le découpez en "puzzle"... Vous éparpillez les miettes, ces lambeaux, tout à travers une immense feuille de papier, vert, crème orange. Poésie!... \bus avez compris ?... Quand le robot veut de la poésie on le régale... Nous n'en sommes encore qu'au dernier stade de la décrépitude naturaliste, maniérée, cosmétiquée, napolitanisée, persuasive, flagornante, hurleuse. Vous attendrez quelques mois!... Vous l'aurez l'art robot! On pourrit l'esclave aryen, on le prépare de toutes les manières: et tant qu'il peut s'en goinfrer!... Si quelque petit Juif s'amène, d'aventure détenteur d'une nouvelle façon de miner, d'ahurir encore mieux l'Aryen, plus intimement... Son avenir est assuré... Et quel avenir!... Quel contrat fulgurant! Il ne faut à Hollywood que trois semaines de publicité mondiale intensive pour transmuter le plus grêle, frelaté, en train de surir normalement, rance ulcéromateux petit fifre de youtre en épatantissime Phénix, le réincarner Michel Ange! plus Rembrandt, plus Mirandole! \byez-vous d'ici! Vous n'existez pas!... Le Juif est à l'origine de tout le cinéma... aux commandes, Hollywood, Moscou, Billancourt... Meyers sur Meyers... Korda, Hayes, Zukor Chaplin, Paramount... Fairbank... Ulmann... Cantor..., etc..., etc. Il est au milieu dans les salles "circuits", dans les rédactions... les critiques. Il est au bout... à la caisse... Il est partout... Ce qui vient du Juif retourne aux Juifs! automatique!... inexorablement. Ayant drainé au passage, repassage sur toutes les routes du monde, toute la subsistance spirituelle et tout le flouze des cons d'Aryens, abrutis, cocus, avinés, fanatisés par ces merdes! pour ces merdes! dans la merde!... Comme ils ont bien appris aux foules, les youtres de la pellicule, l'obscénité sentimentale! toutes les "caresses et les aveux"!... le dépotoir des longs baisers... l'indignité... l'énorme dégueulis "d'Amour!"...
Le théâtre va culbuter, un soir, bientôt, tout entier, sans faire un gros plouf dans le cinéma!... étron tortilleur! dans la fosse commune, dans la gigantesque vidange! dans l'Attraction Universelle! l'art mondial juif. Vous observerez que le courant de vedettes (tous grands génies évidemment, théâtreux et cinéatiques), se fait de plus en plus animé, intensif, ces derniers mois entre Hollywood, Moscou et les capitales d'Europe... Ces "artistes" ne voyagent qu'en service commandé... Ils participent tous à la grande colonisation mondiale par le cinéma juif... Chacun apportant à Hollywood tour à tour, sa petite trahison personnelle, ses petits renseignements intimes, ses petites félonies, infiniment anxieux de plaire encore aux Ben Mayer, Ben Zuckor... frémissant de leur rapporter encore une autre ficelle émotive, volée aux arts autochtones, aux arts aryens, pour faire mieux encore passer la marchandise filmée juive pourrissante. Un petit secret de pénétration... Tout cela soigneusement rétribué, trafic abject je vous assure... spirituellement... Juifs de toutes les grimaces unissez-vous!... C'est fait!...
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Par Cruella le 27 Octobre 2024 à 09:50
Plus rien à craindre de vos élans!... VOus ne serez jamais découvert, le monde, si bourbeux, si porc, tellement irrémédiablement bas du cul, ses "chiots" toujours si près des talons, ne se torche que de papillottes, pasteurisées... Toute sa distinction!... La seule à vrai dire. Pour cette raison et nulle autre, vous observerez que les dames s'effarent et se déconcertent, interpellées en durs propos, tressaillent des moindres grossièretés. Elles toujours si près du balai, toujours si boniches par nature, dès qu'elles écrivent, c'est au plus précieux, au plus raffiné, aux orchidées qu'elles s'accordent... Elles n'empruntent qu'à Musset, Marivaux, Noailles, ou Racine leurs séductions, leurs travestis. Supposons qu'elles se laissent aller... quel déballage! une minute! Jugement de Dieu!... Ce serait alors vraiment la fin du monde! Écrire pourtant de cul de bite, de merde, en soi n'est rien d'obscene, ni vulgaire. La vulgarité commence, Messieurs, Mesdames, au sentiment, toute la vulgarité, toute l'obscénité! au sentiment! Les écrivains, comme les écrivaines, pareillement enfiotés de nos jours, enjuivés domestiqués jusqu'aux ventricules depuis la Renaissance, n'ont de cesse, s'évertuent, frénétiques au "délicat", au "sensible", à "l'humain"... [219] comme ils disent... Dans ce but, rien ne leur paraît plus convaincant, plus décisif, que le récit des épreuves d'amour... de l'Amour... pour l'Amour... par l'Amour... tout le "bidet lyrique" en somme... Ils en ont plein les babines ces croulants dégénérés maniéreux cochons de leur "Amour I!» ...
C'est en écrivant d'Amour à perte d'âme, en vocabulant sur mille tons d'Amour, qu'ils s'estiment sauvés... Mais voici précisément, canailles! le mot d'infamie! le rance des étables, le vocable le plus lourd d'abjection qu'il soit!. . l'immondice maléfique! le mot le plus puant, obscène, glaireux, du dictionnaire! avec "coeur!". Je l'oubliais cet autre renvoi visqueux! La marque d'une bassesse intime, d'une impudeur, d'une insensibilité de vache vautrée, irrévocable, pour litières artistico-merdeuses extraordinairement infamantes... Chaque lettre de chacun de ces mots suaves pèse sa bonne demi-tonne de chiasse exquise... Tous les jurys Feminas s'en dégustent, ne respirent que par ces étrons, à longueur de pâmoison, s'en ravissent intimement, festoyeusement "tout à la merde", s'en affriolent en sonnets, pellicules, conférences, mille tartines et téléphones et doux billets...
Racine? Quel emberlificoté tremblotant exhibitionniste! Quel obscène, farfouilleux pâmoisant chiot! Au demi-quart juif d'ailleurs!... Regardez les bêtes sauvages un petit peu, toujours nobles, toujours pudiques... Mais les lapins en clapiers, les chiens en chenils, les porcs dans leurs bauges, en voilà des êtres qui parlent, rêvent, pensent, agissent pour l'Amour! Toute la pourriture, la servitude des races commence, s'achève par l'amour, les "tournois", les émois, les sussurages de l'Amour!... Un bon coup d'alcool par là-dessus et c'est l'écroulement! Les voici bien abâtardis, bien mûrs pour tous les esclavages, pourvu qu'ils s'enculent encore et toujours plus et plus toujours... dans tous les chenils, les clapiers qu'on leur présente... vautrés dans leurs arguties, dans leurs arabesques d'Amour, ils exultent!... C'est leur paille!... Il n'existe à parler franc qu'une seule obscénité. Mais celle-ci élémentaire, inexorable, biologique infiniment corruptrice, c'est le "Parlez-moi d'amour" putréfiant. Rien ne lui résiste. Tout s'en trouve, en très peu de temps, corrompu, vermoulu, "muflisé" à jamais... C'est la vraie "débauche"... L'effrénée putasserie des sentiments et des mots doit se payer en définitive très cher, se solder par de très cruels supplices. Aux hordes avachies, "amorosées", les infinies servitudes!... Toutes les prostitutions du cul ne sont que [220] vétilles auprès de ce "niagaresque" dégueulé de "doux murmures" de "sentiments brûlants", "d'ineffables ivresses"... tout ce déluge d'enfioteries dont on nous submerge pour notre décadence. La veulasserie des choses de l'âme nous confectionne plus d'abrutis, de serfs et de fous ennuyeux, de maniaques obtus et sourds que toutes les véroles d'un siècle renforcées ensemble.
Le Juif qui viole ou corrompt une femme non juive et même la tue doit être absous en justice, parce qu'il n'a fait de mal qu'à une jument.
Le Talmud.
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Par Cruella le 19 Octobre 2024 à 09:40
Dabit de la "Villa Oasis" si peu remarquée.. Morand (quand il essaye pas de faire du roman, de l'émotion) me paraît être le modèle de tout vigoureux écrivain du genre. Et Mac Orlan! Il avait tout prévu, tout mis en musique, trente ans d'avance. J'aurais chez moi, si je pouvais, tous les "Dessins animés". C'est vous dire que je suis bignolle, pas délicat pour un rond... Je veux bien (voyez-vous ça) de tous les genres, aucun ne me semble inférieur, à condition que la matière soit organique et organisée, que le sang circule, partout, autour et dedans à partir du coeur, respire avec les poumons, tienne debout, en somme, que le truc tourne avec un point de catalyse bien vivant, le plus vivant possible, insupportable! au centre bien caché. bien scellé, au tréfonds de la viande, qu'on ne me trompe pas que cela palpite qu'on ne me vante pas tel pauvre cadavre en froufrous babillards... Tous ces tricheurs pourris, ces velléitaires genre "génie", ces inorganiques me font rendre. Je donnerais tous les Proust de la terre et d'une autre encore pour "Brigadier vous avez raison", pour deux chansons d'Aristide. Si l'on se met à délirer il faut vraiment avoir la fièvre... faut pas faire semblant!... J'aime encore mieux Claude Farrère que douze ou treize faux-monnayeurs. Pour mon petit personnel je dois beaucoup à Barbusse, à Daudet du "Rêve éveillé". Vlaminck me semble parmi les peintres celui qui se rapproche le plus de mon idéal avec Gen Paul et Mahé... Il ne faut pas imaginer que tous ces gens-là sont des potes ou le furent... Ce serait une erreur fatale! Peut-être sans doute qu'ils me détestent ou me détestaient de leur garce vivant. La plupart, je les ai jamais vus. Je tiens pas du tout à les voir, ni à leur plaire, au contraire, ce sont les coiffeurs de la vie, qui tiennent toujours beaucoup à plaire, les putains. Plus on est haï, je trouve, plus on est tranquille... Ça simplifie beaucoup les choses, c'est plus la peine d'être poli, je ne tiens pas du tout à être aimé... Je n'ai pas besoin de "tendresse"... C'est toujours les pires saloperies de l'existence que j'ai entendu soupirer après les "tendraîsses"... C'est ainsi qu'ils se rassurent. C'est comme l'honnêteté, la probité, la vertu... Quels sont les murs au monde qui entendent le plus parler de ces choses-là?... Ce sont les murs d'un cabinet de Juge d'instruction... Quelles sont les arènes où l'on vocifère maximum au nom de toutes les Libertés? de la France aux Français? de l'abolition des injustices et des privilèges?... Dans les arènes du Communisme pleines à craquer de Juifs délirants de racisme et de voracité. C'est pesé! Chers fauves, arrivez donc me déchirer tous ces veaux!... Revenons à nos gais moutons... Je digresse comme une vieille chaisière. Question de "littérature" je ne me donne donc pas pour modèle, nenni! On m'a énormément copié, certes, sans rien dire! rien divulguer, c'était fatal... Ici et là, un peu partout et dans bien d'autres pays... Ceux qui me copient m'abominent forcément, m'éreintent dès qu'ils peuvent, plus que tous les autres à la fois. Je suis le papa de bien des petits enfants, à maigres couillettes, qui font à mes frais les petits farauds, les petits inspirés, les petits fiévreux prophètes, d'une petite "sauterie" dans une autre à droite, au centre et surtout à gauche. Je ne veux pas les déranger, je suis discret par nature, les papas savent bien qu'il faut s'effacer, que c'est le plaisir des enfants de faire leurs petits crâneurs... Je veux pas les déranger, m'amener en trouble-fête... J'ai même pour eux, je l'avoue, une petite tendresse bien compréhensible... Je voudrais pouvoir leur passer un petit peu de glycéro-phosphate, qu'ils se renforcent un peu les os... une armature plus solide... En général, ils sont mous, ils puent le lycée, le babillage, la branlette, le c_ur leur manque. Ils me font de là peine à regarder... Pour un peu je les renierais. C'est malheureux, en fait, en somme, qu'ils aient pas plutôt continué à écrire poli "goncourtien"... Ça vient tout seul chez les mufles, ce genre goncourtien. Tous les gens polis sont des mufles. Pas plus poli qu'un bourreau... Quand on a pris le temps d'étudier si bien l'adjectif convenable, au moment qu'il monte à la plume, c'est qu'on est sec comme un coup de trique. Croyez-moi j'ai fait souvent l'expérience. Notre belle littérature néo-classique, goncourtienne et proustophile n'est qu'un immense parterre de mufleries desséchées, une dune infinie d'osselets frétillants. Pour bien réussir dans le franc grossier, l'émotion directe, il ne suffit pas, ce serait trop facile, d'invoquer la merde chaque fois qu'on se trouve à court. Tels romantiques et classiques dès qu'ils se sentaient bafouilleux, fourvoyés un petit peu en traître terrain, prenaient à rescousse Dieu le père! l'imposaient aussitôt. Ficelles! silence! et vénération! Pour bien donner au "vulgaire" il est tout à fait impérieux que tout d'instinct vous en retienne, que tout vous éloigne... et c'est le paradoxe, des vautreries ordurières... des abandons lâches du commun... de la matière morte en somme... de tout le rebut en un mot... Que tout vous rappelle au contraire despotiquement à la vie, au fluide, à la danse.
La grossièreté n'est supportable qu'en langage parlé, vivant, et rien n'est plus difficile que de diriger, dominer, transposer la langue parlée, le langage émotif, le seul sincère, le langage usuel, en langue écrite, de le fixer sans le tuer.. Essayez... Vbici la terrible "technique" où la plupart des écrivains s'effondrent, mille fois plus ardue que l'écriture dite "artiste" ou "dépouillée", "standard" moulée, maniérée, que l'on apprend branleux en grammaire de l'école. Rictus, que l'on cite toujours, n'y réussissait pas toujours, loin de là! Force lui était de recourir aux élisions, abréviations, apostrophes Tricheries! Le maître du genre, c'est Villon, sans conteste. Montaigne, plein de prétentions à cet égard, écrit tout juste à l'opposé, en juif, semeur d'arabesques, presque du "France" avant la lettre, du Pré-Proust...
Dès qu'on se sent un peu "commun" dans la fibre et l'intimité, le mieux, de beaucoup, sans conteste, c'est de se vouer aux bonnes manières, de faire carrière en "dépouillerie " en élégante concision, sobriété délicate, finement tremblotante, colettisme. Tous les "parfaits styles" dès lors vous appartiennent avec plus ou moins de petit doigt, lon-laire I
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