• L'ÉCOLE DES CADAVRES (8ème et dernière partie)

    Il se passera en Italie, en France, pour les youtres, exactement ce qui s’est passé pour la pseudo-antisepsie désastreuse. C’est facile à prévoir. Ces semblants de déjudaïsations, ces antisémitismes mitigés, mesurés, littéraires, à mots couverts, feutrés, ne donneront rien du tout.Si vous voulez dératiser un navire, dépunaiser votre maison, vous n’allez pas dératiser à demi, dépunaiser seulement votre premier étage ? Vous seriez certains d’être envahi dans un mois, par dix fois plus de rats, vingt fois plus de punaises. Les déjudaïsations à l’italienne, à la Maurras, à la circonlocution, ne me disent rien qui vaille. Ce ne sont que désinfections littéraires, non efficaces, irréelles. Je suis même persuadéqu’elles font aux Juifs beaucoup plus de bien que de mal. Toute l’histoire ancienne et contemporaine nous prouve que ces simulacres, ces semblantsd’action contre les Juifs réussissent admirablement ! Voyez les résultats ! Deux qui sortent par la porte, trente-six mille rentrent par la fenêtre. Et les demi-juifs ? Pourquoi par les demi-microbes ? les quarts de microbes ? Il faut savoir ce que vous voulez. Vous voulez vous débarrasser des Juifs ou vous voulez qu’ils demeurent ? Si vous voulez vraiment vous débarrasser des Juifs, alors pas trente-six mille moyens, trente-six mille grimaces ! Le Racisme ! Les Juifs n’ont peur que du racisme. L’antisémitisme, ils s’en foutent.Ils peuvent toujours s’arranger avec l’antisémitisme. Le nationalisme est là pour un coup ! et le baptême donc ! Racisme ! Racisme ! Racisme ! Et pas qu’un petit peu, du bout des lèvres, mais intégralement ! absolument ! inexorablement ! comme la stérilisation Pasteur parfaite. Si vous voulez faire seulement joujou, lancez-vous tout de suite dans les “équitables dosages”, les judicieuses mesures, les nuances, l’antipersécutionnisme par exemple. Du coup vous pouvez être tranquilles, vous les garderez tous vos Juifs, mieux encore, tous leurs cousins, leurs connaissances, leurs relations, (et Dieu sait qu’ils en ont !) ne manqueront pas de vous rappliquer des quatre coins de l’Univers attirés par votre renommée libérale, viendront se blottir sous vos ailes, pour vous admirer de plus près, vous et votre si fine, lumineuse compréhension de la dialectique culturelle, des hauts devoirs humanitariens, de la fraternité pro-juive, de l’identité de tous les hommes dans le malheur. Vous serez gâtés ! Ah ! Vous ne serez pas l’ordure totale ! La brute indicible comme Hitler ! Pourquoi Maurras, je me demande, a-t-il peur du racisme ? Il a rien à craindre dans sesorigines ? Peut-être qu’il veut pas faire peur aux Juifs souscripteurs, aux “bons Juifs” ?Conclusion : Par les morales les plus rigides, les mesures les plus terrifiantes on n’arrive pas à grand’chose avec les hommes, mais par les demi faux-semblants, les demi-teintes, les faux-fuyants, qu’est-ce qu’on espère ? Autant bien mieux avouer tout de suite qu’on a rien envie de faire du tout, qu’on s’en fout. Ça serait plus simple, plus honnête. Et puis Amen nom de Dieu ! Et vive l’enfer du Talmud !

    Rien de plus juif que la Pape actuel. De son véritable nom Isaac Ratisch. Le Vatican est unGhetto. Le Secrétaire d’État Pacelli, aussi Juif que le pape. L’Église est toujours prête à rebrûler Jeanne d’Arc. Trop heureuse ! L’Église, notre vieille sorcière judaïque, marchande de cierges…

    Qui mange du Pape en meurt !

     Alexandre BORGIA

    Le monde dans toute sa folie, suit malgré tout, d’assez près, les prédictions juives. Ça peut pas beaucoup nous surprendre puisque les Juifs sont les auteurs de toutes nos musiques, de toutes les danses dont la futile humanité trémousse, s’écartèle. C’est la moindre des chosesqu’ils s’y retrouvent dans les ritournelles du destin. Presque tout est advenu à peu près selon les présages depuis l’Égypte… Rien à dire, l’un dans l’autre, dans l’ensemble, ça colle. Jusqu’en 1940, c’est bien comme ils avaient prévu. Mais où ça ne va plus du tout, où la machine à prédire déglingue, cafouille, foire, déconne horriblement, où les Mages les plus déliés, les plus diserts, les plus surhumains pataugent, louvoyent, se noyent en furieux pataquès, c’est quand ils arrivent aux abords de l’année 1940. Alors, ça va plus du tout. On les comprend plus. Leur charabia s’épaissit, c’est la nuit. C’est plus qu’un ergotage horrible dans les rangs magiques. Ils nous laissent en panne devant les abîmes. Même Nostradamus, le prodige des Vaticinants, le youtre que pas grand’chose démonte (il avait prédit les Saturnales 93, jour pour jour, 300 ans d’avance) s’interrompt, chipote, esquive, désiste, bouffe sa chique. Les plus suprêmes superconscients du bout des siècles se débalonnent aux abords 1940. Rien ne va plus dans [245] l’extra-lucide. Tous les prémoniteurs s’étranglent. 1940 leur coupe le sifflet. L’au-delà 1940 pue les cataclysmes. Ça va trop mal pour qu’on en cause. Tous les voyants louchent ailleurs. Ils préfèrent. La mite les poisse… leur obstrue la divination… Ils se touchent… Ils tortillent… Ils refusent de remettre leurs besicles. La fête est finie. Pour moi, c’est la honte, c’est la chiasse qui les étreint, qui les poigne, qui les interdit… Ils gafent les Mages, (Ils sont tous aux Juifs), dans les horoscopes, les tarots, les marcs, salamandres, que ça sera un grand règlement 1940 ! Ils savent de quoi elle retourne l’Histoire, c’est eux qui l’ont engendrée, que c’est pitié infernale, démoniaque pitrerie, comme les Goyesse sont fait poirer, trucider, spolier, bénarer, hacher, foutriquer toujours et toujours par les Youtres, depuis le commencement des Âges ! La grande escroquerie masochisto-chrétienne, ils la connaissent dans tous les détours, tous les déclics, toutes les ficelles, tous les tréfonds des catacombes, depuis Moïse, depuis Pierre jusqu’à Belisha, de ghettos en ghettos… de cathédrales en Comitern… Tralala ! Je vous l’affirme ! (Des vents ? Des phrases ? Despauvres paroles ?) Boyaux vous-mêmes. Piteux ! Silence ! N’émettez plus ! Émissionscraintives ! Vents du bas ! Je vais vous les conclure moi les Mages ! Vous la remettre la clefdes mystères. Vous en ferez ce que vous voudrez !

    « Pulsate et aperietur vobis ! » (Frappez et il vous sera ouvert ! Évangile St. Luc) Je peux pas me compromettre davantage. Je vais tout vous révéler ! Ce que l’on ne vous dit jamais, ne raconte jamais aux enfants. Ce n’est pas depuis hier, c’est bien depuis Charlemagne que tout va si mal en Europe. Depuis Charlemagne, nos carottes sont cuites, recuites, revenues, remises à bouillir au sang goye ! Depuis son fils, le Débonnaire, le débile, l’enviandé fameux, l’illuminé fait chrétien de foi la plus vive, celui des confessions publiques, le comprimé de contrition, de pieuserie, l’empereur bouleversé de remords, l’empereur  mortifié, confesseur de toutes ses indignités sur tous les parvis de l’empire. Un cadeau ! L’empereur dévotieux époux, servi ou éperdu de remords mystiques, fondant au possible… servi mollet, servi poreux, servi friable, servi cocu à sa terrible garce, Judith deBavière, l’épouse du démembrement, la fauve judaïque ! Louis le Débonnaire le pâlot ! Louis le Pénitent ! Louis l’Aryen ! tout du confesseux ! Et puis toute sa lignée des envoûtéspusillanimes, toute la kyrielle carolingienne, de plus en plus dévotieux, pâlots, superpénitents, mortifiés, humiliophiles… épongeogènes… torchecuteux… Charles le Chauve… Louis le Bègue… les rejetons de plus en plus gris… les rejetons verdâtres… de plus en plus confesseux… désastreux, délirants d’indignité, de torts, de fictions mortifiantes, de pénitences… de cilices, de manque de couilles… de couillettes… de plus en plus éplorés, déplorés, contrits, capitulants, scrupuleusement angoissés, trifouillants insatiables,inconsolables, de croquemitaineries ratichonnes, branleux excommuniants, mea culpins infinis de plus en plus chevrotants, affolés, de plus en plus éperdus, de plus en plus chauves, de plus en plus bègues. Ah ! Nous avons été soignés ! fignolés… Ah ! Nous fûmes joyeusement lancés dès les premiers siècles dans la belle carrière enculière des abnégations ! soumissions ! repliements ! holocaustes ! détachements ! docilités sublimes ! châtiments !châtiments ! abélardises ! joies sacrificielles ! massacres expiatoires ! Ah ! Nous avons été gâtés dès nos origines pour la pénitence ! la rage des pénitences ! Masochistes attendris pour tous aveux chrétiens ! Nous avons de qui tenir ! La joue ! deux joues ! Trente-six joues ! Tout le buffet ! Trente-six mille chandelles ! Vessies ! Vessies !Toutes les étoiles du ciel ne sont que les lanternes du Temple de notre connerie. La foi ! La foi ! Quelle foi de la merde ! Nous avons de qui tenir pour l’hébétude crédule ! Quel dressage ! La frénésie de souffrir ! Les descendants carolingiens n’ont su tout de suite comment dégénérer, crouler, renoncer davantage, s’émasculer encore un peu mieux, ramper encore un peu plus grotesquement sous tous les bénitiers du Pape, se rendre [247] encore un peu plus dégueulasses par nouvelles renonciations, macérations bêlantes. Le plus éhonté brelan dechristianeux enfifrés qui soit jamais tombé sous la férule des youtres. Quand je dis les youtrescomprenez les évêques aussi, c’est pareil. Tout un empire à genoux ! Quel beurre ! Suppliant ! Implorant les absolutions ! Tout un empire de confesseux ! De l’empereur au dernier des serfs ! Tous à genoux ! Ah ! la savoureuse pharamineuse chariboterie ! Toute la horde aryenne en esclavage volontaire ! Le Masochisme fanatique pour tous ! La religion christianique ? La judéo-talmudo-communiste ? Un gang ! Les Apôtres ? TousJuifs ! Tous gangsters ! Le premier rang ? L’Église ! La première racket ? Le premier commissariat du peuple ? L’Église ! Pierre ? Un Al Capone du Cantique ! Un Trotzky pour moujiks romains ! L’Évangile ? Un code de racket… L’Église catholique ? Un arnaquage auxbonnes paroles consolantes, la plus splendide des rackets qui ait jamais été montée en n’importe quelle époque pour l’embéroutage des Aryens. On ne fera jamais mieux ! Depuis Sésostris c’est le grand jeu ! C’est le nougat miraculeux ! Toujours les Goyes qui sont marrons ! À tous les coups ! à tous les détours ! Des Catacombes en Tartarie ! De Babylone chez Citroën ! De Catalogne à Chicago ! Immanquable ! Le Goye chocolat partout ! Àgenoux ! La nouvelle variété du genre, le stratagème “communiste”, c’est de “l’à genoux” aussi pour tout le monde, bien sûr, forcément, mais ça vaudra jamais l’autre, l’évangélique ! Ça sera jamais si fameux ! Si assuré, si peinard ! Y a plein de “paillons” dans le communisme, des statistiques qui empoisonnent, des mirages de jambonneaux qu’il faut toujours dissiper. Ça sera jamais aussi splendide comme fonctionnement, comme rapport. L’autre, la “Légende catholique” ça se déroulait dans les nuages, jamais de contrôle ! jamais de risques ! Aucun frais ! Tout en rêves ! Ce qui tue le juif  dans le communisme, c’est que l’incrédule peut y aller voir, se rendre compte, en Russie, et revenir dire que c’est pas vrai !... Que rien du Paradis [248] n’existe… Que les jambons tombent pas du ciel. Ça fait mal. Christianisme, foi liquéfiante pour éternels agenouillés transis, prostrés terrifiés, angoisseux empaffés, voués, offerts, évertués à toutes lespriaperies juives, à toutes les foutriqueries judaïques, goulus de tous les foutres, de toutes les ruées d’Abyssins, les miches toujours en bataille, toujours en souffrance ! Résignation ! Lareligion des Soumis ! La croyance faite pot ! Pénitence ! Aveux ! Tendres aveux ! Confidences ! Re-Pénitence ! Macérations ! Abnégations ! Plus d’épreuves ! Sacrées ! Tortures ! Bénies ! Adoration des chères souffrances ! Pleurnichons ! Bas les frocs ! Encore plus de contrition ! Déchirements ! Désolation ! Méticulisation de l’Indignité souffreteuse ! Purgatoire ! Purgations ! Vaticinations confessières ! Douleurs ! Douleurs ! Plus de douleurs ! Flagellations ! Crucifix ! Encore ! Remords éternels ! Larmes ! Larmes ! Deuils ! Mortifications laminantes ! Agoniques ! Merci ! Amen ! Amen ! Quelle mirifique aubaine pour le juif que cette planète surpeuplée d’esclaves éperdument contrits, auto-analyseurs introspecteurs farfouilleur submergés exorbités pour des fantômes en pines de mouches à longueur de cauchemar terrestre. Quelle manne mille fois plus juteuse,délectable, profitable, régalante, que les pauvres sucs candis du Désert d’Horeb ! Cette mirobolante incroyable pullulation des serfs aryens fanatiques en ratiocinages dénigrants ! tout étouffés ! abrutis de haines mutuelles, fébrilement, farouchement ragoteux, scrupuleux de toutes conneries décervelantes, toujours passionnément fiers de se faire mieux englander, saloper toujours davantage par leurs satrapes juifs, plus cruellement si possible, sefaire éventrer de bas en haut pour la jubilance, l’irradiance du Moloch crépu. Jamais assez ! Jamais trop ! Voilà le miracle ! Peut-il exiger davantage de la Terre et du Ciel le juif ? Dieu-Juif partout ! Les Aryens sont immédiatement mordus pour tout ce qui peut les avilir, les asservir davantage, les dégueulasser un peu plus. Ils se feront mettre en charpies pour n’importe quel youtre, encore un peu plus crapule, plus charlatan que les autres… Pierre, Marx, Trotzky, Roosevelt, etc… Constipés en tout, bouchés de partout les Aryens, sauf pour la ravagière bite du juif, toujours admirablement aspirée, sucée, folichonnée, réchauffée, régalée, réjouite adorablement. C’est plus de la rage, c’est de la communion du fondement. La connivence judéo-chrétienne, prélude à la grande curée judéo-maçonnique a toute son origine dans le traité de Verdun (843). Le Traité de Dépiautage, de Démembrement. L’Empirecarolingien tronçonné. Sabotage de l’Empire, découpage de l’Empire en trois lopins idiots : France-Allemagne-Italie. Sabotage de l’Europe. Fagotage de l’Europe en cinquante frontières absurdes. Création de l’Europe impossible. Création de l’éternel conflit franco-germanique, de l’éternelle boucherie franco-gemanique, de l’inépuisable tuerie d’Aryens français contre Aryens allemands. L’Apocalypse en famille, pour la plus grande prospérité, gloire, dévergonderie, rigolade, bacchanale d’Israël.

    Le gouvernement du Reich a inauguré hier le canal Rhin-Danube commencé par Charlemagne. Les Journaux, 31 octobre 1938. Caltez avec vos parchemins ! Arrière ! Troubadours ! Luth ! Sornettes ! Oh ! Là ! Là ! Pirette ! Néfaste ! Au musée ! La honte ! L’attirail ! Pauvre peau de lapin ! Fripe ! Défroque ! Cervelle romancière ! Entendez-vous l’Ostrogoth ! 843 ! Pourquoi pas Mathusalem ! C’est à se la dévorer vivante ! ! Quel bouffon ! Pouffons ! Il est trop drôle ! En vérité ! Ferdinand Luminal ! Scandale ! Vendu ! Le vampire d’Aix-la-Chapelle ! Douche ! Douche ! Charlemagne ! Oh ! Oh ! Oh ! Il est impayable ! Véritablement ! Aspersion ! Immersion !... C’est curieux, moi, je ris pas du tout… Je la trouve crépitante, embrasante d’actualité mapetite histoire du Débonnaire. C’est le Tour de France, moi, qui me fait chier, avec ses étapes en mélos, ses apérosdithyrambiques. Je le trouve morne, ampoulé, rampant le Tour, poudreux, fadasse, archaïque, à côté des vicissitudes du Traité de Verdun 843. C’est pas de la réclame, c’est sincère. Il mepossède, moi, âme et substance, le Traité de Verdun 843. Je suis pas seul d’ailleurs, vous mêmes qui gloussez, petits marles espiègles, vous en crèverez bientôt du Traité de Verdun 843. Il a pas fini de vous ébahir, de vous éblouir le Traité de Verdun 843. Vous en baverez des grenades par extraordinaire émotion. C’est autre chose que les Rois de la Jante ! que les [251] duels Byrrh, Suze, Bartali, Pernod, dans tous les cols de la Faucille ! Ah ! Pardon ! jamais rien ne vous fut offert aux “Actualités”, de plus merveilleusement actuel que les fastes du Traité de Verdun 843. C’est Paris-Soir qui nous excède avec ses rabâcheux topos, ses vieilleries d’y a deux heures qui pèsent déjà soixante siècles, les petits détritus de la veille servis pomponnés, judaïques, foisonnants, d’éloquence merdeuse. C’est pas l’écran, c’est pas vos canards vendus qui vont vous mettre à la page. Personne ne vous parlera jamais du Traité de Verdun 843, de nos maudites origines. C’est sûrement pasl’Humanité qui va se mettre à table, Gabriel Péri juif de service, ni la radio, juif de serviceBen Azet, ni la synagogue Populaire, ni le Gallus-Latzarus, ni le reste de la presse française,composite de larbins aux ordres des Grads-Prêtres Bollack-Stern-Havas les Juifs aux sources des Nouvelles ! C’est pas Romier, c’est pas Mauriac, c’est pas Buré, etc… tous hommes de la conjuration, sous-juifs synthétiques. Ça ferait pourtant des beaux chapitres pour leur “Allemagne, bête enragée, nation de Proie” et leur “Conscience Universelle”… Ils nous expliqueraient bien des choses chemin faisant… Ils nous amuseraient certainement… Ils nous émouveraient [sic] peut-être… La catastrophe de Verdun 843, c’est la catastrophe permanente, elle outrepasse toutes les autres, question de sensation, par la violence spectaculaire… Ils en rempliraient les journaux s’ils voulaient rien qu’avec qu’elle, en photos-montages gigantesques, en panoramas hallucinants. On verrait tous les Aryens éclater, tantôt sous les tanks, tantôt sous les barricades, sous les charges de cavalerie, sous les hoplites, sous les marmites de poix bouillante, sous les barbacanes, ça dépendrait des époques, du genre de la croisade en cours. On verrait comme ça toute l’histoire, notre Histoire d’Aryens, en gros plans fondus charniers. Toujours, toujours y en aurait d’autres des cocus à massacrer, toujours d’autres… Pas besoin de tous ces petits crimes de la première page, ça serait plus qu’un vaste abattoir d’un bout à l’autre du cancan. Du vrai journal pour le peuple, dans le peuple, fait avec le peuple.

    Nous sommes séparés de l’Allemagne depuis 1 100 ans ; 1 100 ans de merde, de conneries furieuses, 1 100 ans de mensonges sans arrêt, de trémolos ignobles, de palliatifs vaseux, de rémissions louches, de revanches toujours plus infectes, de solutions pourries. Nous n’en sortons pas. Nous sommes les enfants d’un cauchemar, d’un monstre dont tout le sang nous dégouline plein la gueule et plein les yeux. Nous ne parlons plus que de sang, dans le sang. Nous ne voyons plus que du sang. Depuis 1 100 ans, veaux traqués, nous ne faisons que chavirer d’un abattoir dans un autre, d’un charnier dans un autre, toujours plus accablés, plus soumis, plus saignants. Il règne sur toute cette Europe un sale fatalisme de boucherie, une dévotion très prostrée devant toutes les tueries possibles, infiniment répugnante, à en dégoûter Dieu le Père, s’il n’était de par lui-même Jean Foutre si dégueulasse. Plus de 1 100 ans d’éventreries bafouilleuses, de balivernes apocalyptiques, de calembredaines massacrières. Ça suffit pas ?Ça fait peut-être tout de même le compte ? Le poids comme rançon ? Comme pénitence d’un foutu calamiteux parchemin confesseux. D’un Traité de honte et de scrupules débilogènes ? Comme expiation des conneries d’une clique d’empédéreux christianeux carolingiens ! Merde !  C’est un véritable enfer comme dommages et intérêts ! Rideau ! N’est-ce point le moment qu’on s’en torche du Traité de 843 ? L’avons-nous suffisammentfumée l’Europe de nos barbaques françaises et allemandes, depuis 1 100 ans ? Pour les bénéfices judaïques ? On va faire les comptes ! Et surtout depuis quatre siècles pour la sorcière britannique, la Sarah-la-Marmelade de son yite ! après on causera ! Jusqu’à preuve du contraire, c’est une ordure Miss Marmelade, l’atroce Angliche, pas fréquentable, bel et bien maquée, reluisante, avec le plus jeton des doubleurs. C’est même unehonte qu’on lui cause à cette bourrique fourreuse de youtres. Pas des paroles qu’on lui devrait ! rien que des glaves ! Et plein la fiole ! Que ça lui dégouline partout ! Plein l’arrogance ! Pour cent mille livres de bien gluants, à chaque fois qu’elle l’ouvrirait ! Voilà du régime pour sa poire ! C’est une donneuse ! Roule the wouèves ! Roule-the-Merde ! L’Albion roule the ouaives de charognes ! Saloperie ! Sarah Marmelade, la donneuse d’Europe !

    De Profundis. Tout le pognon des Français, si paysans, si regardants, il est plus du tout dans leurs poches, il est passé dans les fouilles juives, dans les caves de la Cité. Il a suffi d’un bon petit siècle de triomphale démocratie, de maçonnerie prestigieuse pour accomplir ce miracle, qu’à petit flouze il pousse des ailes, qu’il revienne plus du tout par ici. Question de places, d’emplois, de petites fonctions, de grosses prébendes dans l’industrie, l’artisanat, la presse, les Arts, la médecine, c’est exactement du kif. Y en a plus que pour les Juifs ! Et puis dans les Trusts de même, les fameux trusts vampiriques, dont on arrête pas de nous causer (les deux cents familles…) Il a suffi d’un siècle de Loges pour que tout ça passe aux yites. Les indigènes n’ont plus rien. Ils sont strictement dépouillés, repassés. Le miracle est accompli. Ils ont plus qu’une chose à faire pour se rendre plus utiles encore, c’est s’en aller crever aux guerres, pour défendre l’or de leurs patrons, de leurs youtres, de leurs dieux. À quoi ils serviraient sans ça ? Je vous le demande ? Toutes les viandes françaises indigènes seront demain hachées, grésillées, farcies “petits éclats”, menues grenailles, fondues, revenues “estouffades”, servies chaudes au gaz, sur les champs de bataille des cinq fronts. Ça leur fera faire des Pâques splendides à ces zigotos d’Aryens ! À ces petits émancipateurs ! Prêchez ! Prêchez, [255] mes petits frères ! l’émancipation par les Bases ! Vous allez gagner ! Vousallez tous être régalés dans la Croisade antifasciste ! Personne ne sera oublié dans la distribution des prix. Y en aura pour tous ! Vous avez une chance inouïe ! Ma parole ! Récitez votre “Pater” ! Vos “Dies Irae” ! mot à mot ! Vos propres faire-parts ! Vos “Ave” ! Gâtés ! Pas besoin de retenir vos créneaux ! Vos caveaux ! Tout est prévu ! Organisé ! Au kilo ! Chaque offensive ça pèse tant de viandes ! Tant par fringale expiatrice ! Tant par service rédempteur ! Bien dans vos natures ! Allez-y ! Poitraillez Mordieu ! C’est des vraiscadeaux qui vous tombent du ciel ! Des trépas pareils ! Pour des causes si illuminantes, si pharamineusement humaines ! Des agonies pleines de fusées, des vraies féeries ! Des comaséblouissants ! C’est pas banal ! C’est même suprême ! Tout seuls comment que vousfiniriez ?... Hein ?... Je vous le demande ? De morts naturelles, sans doute… banales… Desagonies de vieillards comme ça… dans des lits ?... lamentablement… Pouah ! Allons ! Deshésitations ? Une offensive qui piétine c’est de la barbaque qui tourne jaune, qui ramollit au péril. Tant de tonnes de plus ! fraîches, c’est gagné ! Le moment critique ! Dare-dare ! Les États-Majorssont guillerets, ne demandent qu’à vous élancer dans les attractions… Et puis d’abord, écoutez-moi, si vraiment ça vous lancine, que vous trouvez que ça traîne de trop, que vous pouvez plus vous retenir d’impatience, vous pouvez toujours rejoindre, sans délai, le Marquis Marty d’Albacete au front gouvernemental. Il a du travail à la main. C’est un vrai père pour les chômeurs le Marquis d’Albacete, lui si mutin de la Mer Noire, si fusilleur en Castille, sifoireux aux gerbes à Toulon mais toujours remarquez-le bien, le Marquis Marty d’Albacete, toujours de l’excellent côté du Conseil de Guerre. C’est à ça qu’on reconnaît la classe, la valeur de l’homme.

    Lorsqu’elle sera terminée la prochaine Croisade, Dieu sait comme ! Le Juif pourra sevanter de nous avoir tous possédés jusqu’au dernier millésime de notre croulant fifrelin, jusqu’à l’ultime grelottante goutte de la suprême hémorragie. Tant pis ! Tant mieux ! Le plus tôt sera le mieux ! Le pire serait encore qu’on vous ressuscite dans une telle horde de férus infects furieux cocus, trépignants pour tous abattoirs, irrésistibles d’être égorgés, inassouvibles aux sacrifices. Les États Aryens : Parcs à bestiaux pour tueries juives. Batailles rituelles pour équarisseurs, beuglements, charrois en tous genres, phénomènes sociaux divers, traite desvaches pendant les entractes. Vous avez l’Europe telle quelle depuis l’année 843, l’année du partage, du démembrement. Ça n’a pas cessé le grand sport depuis ce moment, et c’est pas fini, et ça continue. Comprenez-moi bien.

    Mais alors, dites donc Ferdinand, vous allez pas terminer ce genre prétentieux ? Ces effets captieux ? Ces paradoxes imprécatoires ? Ce phrasouillis vétilleux ? Où que vous partez en zigzag ? Vous allez pas aboutir ? Abrégez un peu vos facondes ? Venez au fait ! Que voulez-vous ? Moi, je veux qu’on fasse une alliance avec l’Allemagne et tout de suite, et pas une petite alliance, précaire, pour rire, fragile, palliative ! quelque pis aller ! Pas du tout ! Mais non ! Mais non !... Une vraie alliance, solide, colossale, à chaux et à sable ! À la vie ! À la mort !Voilà comme je cause ! Je suis pas en train de cacher mes préférences, mes sentiments. Je trouve que sans cette alliance on est rétamés, on est morts, que c’est la seule solution. On est tous les deux des peuples pauvres, mal dotés en matières premières, riches qu’en courage batailleur. Séparés, hostiles, on ne fait que s’assassiner. Séparés, hostiles, côte à côte, on sera toujours misérables, toujours les esclaves des bourriques, des provocateurs maçons, les soldats des Juifs, les bestiaux des Juifs. Ensemble on commandera l’Europe. Ça vaut bien la peine qu’on essaye. On filera une telle trouille aux Yites qu’ils s’évaporeront de la planète. Même pas besoin de les  toucher, on les flambera juste un petit peu… le bout des arpions… On se réveillera comme d’un cauchemar. Ils seront partis !... pour toujours !... On filera Londres en quarantaine, au garde à vous. Ça pourra se faire immédiatement. C’est que des haines artificielles qui existent entre nous et les Boches, ourdies, ranimées, entretenues, propagées par les Traités et les Loges, les journaux, les radios, à la solde du Juif. Ça peut s’arranger en 48 heures. Rien d’irrémédiable. Il faut de la haine aux hommes pour vivre, soit ! c’est indispensable, c’est évident, c’est leur nature. Ils n’ont qu’à l’avoir pour les Juifs, cette haine, pas pour les Allemands. Ça serait une haine normale, salvatrice, défensive, providentielle, comme contre une vérole ravageante, ou les envahissements de la peste, les rats colporteurs de morbus. Ça voudrait dire quelque chose. La haine contre les Allemands, c’est une haine contre nature. C’est une inversion. C’est notre poison, et mortel. On nous l’injecte tous les jours, à doses de plus en plus tragiques.

    La France n’est latine que par hasard, par raccroc, par défaites, en réalité elle est celte,germanique pour les trois-quarts. Le latinisme plaît beaucoup aux méridionaux francs-maçons. Le latinisme c’est tout près de la Grèce. La Grèce c’est déjà de l’Orient. L’Orient c’est enplein de la Loge. La Loge c’est déjà du Juif. Le Juif c’est déjà du nègre. Ainsi soit-il. La bougnoulisation du blanc par persuasion latine, par promiscuités maçonniques. La France est aryenne, pas du tout juive, pas du tout nègre. La partie solide de la France, l’anti-discoureuse, a toujours été la partie celte et germanique. La partie qui se fait tuer, la partie qui produit, la partie qui travaille, la partie qui paye, est celte et germanique. Dix départements du Nord payent autant d’impôts que tout le reste de la France. Les fusiliers bretons ont eu autant  de tués (1 380) en une seule journée à Dixmude que tous les Juifs de France pendant toute la guerre. La partie non celtique en France, cause et pontifie. Elle donne au pays ses Ministres, ses Vénérables, ses Congressistes hyper-sonores. C’est la partie vinasseuse de la République, la méridionale, profiteuse, resquilleuse, politique, éloquente, creuse. Il n’existe aucune haine fondamentale, irrémédiable entre Français et Allemands. Ce qui existe c’est une machination permanente, implacable, judéo-britannique, pour empêcher à toute force que l’Europe se reforme d’un seul bloc, d’un seul tenant franco-allemand comme avant 843. Tout le génie de la Judéo-Britannie consiste à nous mener d’un conflit vers un autre, d’un carnage dans un autre, étripades dont nous sortons régulièrement, toujours, en effroyable condition, Français et Allemands, saignés à blanc, entièrement à la merci des Juifs de la Cité. L’équilibre européen sous la tyrannie anglaise n’est qu’un infini massacre, à répétitions, franco-allemand. Les bêtes du continent doivent toujours être pour la satisfaction anglaise, plus ou moinsvidées, sonnées, incapables de s’arracher au joug britannique… Une Europe toujours délirante, brûlante, toujours au bord du coma, voici la force de l’Angleterre. Le conflit franco-allemand est la condition même, l’industrie suprême de l’Angleterre. C’est de la prospérité anglaise toute cuite. Le conflit franco-allemand repousse rituellement de ses cendres. C’est du Phénix. Elle a pas besoin de se cailler l’Angleterre. Chaque génération franco-allemande repique au massacre dare-dare, toujours plus conne, plus cocue, plus combustible, toujours encore plus impatiente de se faire roustir, anéantir dans les embrasements cataclysmiques juifs.

    Il me semble que c’est assez net. Je suis pas très partisan des allusions voilées, des demi-teintes. Il faut tout dire ou bien se taire. Union franco-allemande. Alliance franco-allemande. Armée franco-allemande. C’est l’armée qui fait les alliances, les alliances solides. Sans armée franco-allemande lesaccords demeurent platoniques, académiques, versatiles, velléitaires… Assez d’abattoirs ! Une armée franco-allemande d’abord ! Le reste viendra tout seul. L’Italie, l’Espagne par-dessus le marché, tout naturellement, rejoindront la Confédération. Confédération des États Aryens d’Europe. Pouvoir exécutif : L’armée franco-allemande. Une alliance franco-allemande à la vie, à la mort. Alors ! et seulement alors, ça sera enfin terminé la plaisanterie judaïque millénaire,l’inépuisable croisade humanitaire, démocratique, l’incessante, l’infatigable, boucherie dite libératrice, humanisatrice, salvatrice, rédemptrice. Le Rhin, fosse commune. Ce sera le glas de l’empire britannique, et ce sera pain béni, de la Tyrannie britannique, l’écroulement de l’Empire ! Tant mieux ! Nom de Dieu tant mieux ! La fin du cauchemar.  Tous nos malheurs viennent de Londres, de la Judéo-Britannie. Tout seuls Français, et même alliés aux Italiens, nous demeurons ce que nous sommes, les esclaves de l’Angleterre, les enchaînés aux comptoirs britanniques. Alliés aux Allemands c’est autre chose. On file en l’air enfin nos chaînes. L’Angleterre on la déculotte, on la fixe une bonne fois pour toutes. Nous sommes les maîtres de l’Europe. Nous sommes les maîtres de notre destin. Ce qui, soit dit en passant, ne nous est encore jamais arrivé. L’alliance franco-allemande, c’est la puissance judéo-britannique réduite à zéro. Le fond même du problème atteint, enfin. La Solution. Une seule force anti-juive en ce monde, une seule force pacifique réelle : L’armée franco-allemande. Tout le reste n’est que fariboles, babillages, diversions, entourloupes de Juifs. L’armée franco-allemande, quatre cents divisions d’infanterie parfaitement dérouilleuse, résolues. Qui dit mieux ? Quoi bronche ? rechigne ? rebiffe ? récalcitre ? Travaille du sourcil ? Ergote ? Récrimine ? S’oppose ? Relève le gant ?On attend. Que se déclarent les fortes têtes, les grognons, les intraitables… les petits méchants…

    Monsieur le Maréchal Pétain, ce n’est pas aux deux quarterons de quadragénaires artérieux combattants, fléchis, perclus, éclopés rhumatoïdes, émergés par miracle de nos sempiternels charniers franco-allemands qu’il faut maintenant stentoriser vos trop bouleversants “garde à vous” ! Mais non ! Mais non ! Monsieur le Maréchal ! Quart à gauche ! C’est de l’autre côté ! Ce sont les Juifs de la Cité ! Les Puissants de Londres ! Les démoniaques démocrates de“l’Intelligence” qu’il faut figer dans la trouille ! Maldonne Monsieur le Maréchal ! Vous faites erreur, Monsieur le Maréchal ! L’ennemi est au Nord ! Ce n’est pas Berlin ! C’est Londres ! La Cité ! Les casemates-tout-en-or ! La Banque d’Angleterre avec ses laquais “framboise” ! Voilà l’ennemi héréditaire ! Je connais bien les abords, Monsieur le Maréchal !Je m’offre à vous éclairer, à vous précéder, si vous me faites l’honneur… Je connais les meilleurs passages… Vous avez peut-être un peu peur, Monsieur le Maréchal ? Vous redoutez les aventures ?... Ah ! Je ne vous vois pas très mordant !... Il vous manque du monde, Monsieur le Maréchal ! Il vous manque de vrais effectifs ! Il vous manque le prin-[263]cipal ! Les 400 parfaites divisions d’infanterie franco-allemandes. Bien sûr ! Bien sûr !... Carence fatale !... Irréparable !... Rien à faire ! Tout est perdu ! Horriblement ! Aucune chance ! C’était pourtant la seule victoire qui pouvait nous intéresser, le sac de la Banque d’Angleterre et des Juifs de Londres, Monsieur le Maréchal ! Notre suprême recours !... Les autres victoires on s’en fout !... Elles peuvent intéresser personne, que les Juifs. C’est des victoires pour les Juifs, jamais que pour les Juifs, de carnages d’Aryens sans malice, des boucheries de plus en plus lourdes pour Aryens de plus en plus cons. Que c’est même pas la peine du tout de leur expliquer rien du tout aux Aryens. « N’importe quoi et vinasse. » C’est devenu le Credo suprême des Aryens de France. C’est même ça qu’est superbe chez eux. C’est leur sublimité même, leur confiance faite masse, leur confiance faite mort.Dites donc alors et l’absorption ? Vous en faites rien ? Luberlu ? Vous y songez pas, belle figure ? Si jamais l’on se rapproche, mais c’est réglé ! Mais c’est tout net ! Ils nous absorbent ! Mais c’est l’abomination ! C’est la flétrissure infernale ! Absorbés tout vifs, comme ça, par les boches ! Vous y pensez pas !... Mais vous en crevez pas de honte ? à l’expectative ? Proférer aux quatre vents des parjures pareils ! Vraiment des paroles de vrai fou ! Dégénérésadique idiot ! C’est un monde ! Une alliance ? Voyez-vous ça ? Damnation ! Si l’on se rapproche… Mais ils nous absorbent ! C’est tout cuit ! Ah ! On aimerait mieux tout de suite périr de trois ou quatre mille morts, en très terrifiques batailles, avec des mouvements de menton splendides, être éventrés à qui mieux-mieux, que de survivre comme ça sous lesboches, ignoblement, que de subir leur absorption ! Tout crus ! Mais c’est impossible ! Et douze siècles d’Histoire héroïque ? qu’est-ce que vous en faites ? Rien ? La France pépinière de héros ? Ventre-Dieu ! Engluée ! Absorbée ! Asservie ! Engloutie ! Alliée ! Pouah ! Vous y pensez pas Obscène ! — Pardon ! Pardon ! Ventre-Dieu ! Mais absorbés, asservis, englués, nous pouvons pas l’être davantage que nous le sommes à présent, sous Bloch, sous Blum, sous Daladier, sousRothschild, éperdument…  Envahis, dépouillés, rançonnés, ravagés, évincés, pourris, ridiculisés, ensoldatés, bougnoulisés, nous ne pourrons jamais l’être davantage qu’en ces beaux jours de 38… Ce franc pays pour tout dire, sans aucune exagération, n’est plus qu’une très basse colonied’exploitation juive, une sous-Palestine, encore beaucoup plus dégradée. Pour tout droit, pour toute liberté que nous demeure-t-il, indigènes ? Le droit (et précaire) de nous échiner sous le Juif, pour les Juifs, dans les plus rebutants emplois, ceux qui les fatiguent, dont ils ne veulent pas, qui esquintent l’homme et payent infime, et puis de crever pour les Juifs, encore, dans les guerres qu’ils nous aménagent. Et puis c’est marre, et puis c’est tout. Voilà le bilan national. La révolte nous sied comme un gant ! Trésor de rigolade ! Nous qui sommes hypothéqués, trafiqués, survendus jusqu’aux fibres, par tous les Juifs de l’univers ! C’est à périr la bite en bouche de convulsions judicoles d’ouïr des salades aussi sorcières ! Il nous va bien d’être offusqués ! Nous ne possédons rien en propre, plus rien, pas même une chanson, à présenttoutes juives.Possédés ? Absorbés ? Nous ne le serons jamais plus, et plus honteusement qu’aujourd’hui. En bref, la question qui se pose est celle-ci, elle est tout simple : Resterons-nous esclavesdes Juifs, ou redeviendrons-nous germaniques ? À choisir. Qu’avons-nous à perdre dans une alliance franco-allemande ? Les Juifs. C’est une catastrophe qui se supporte. On se console. Et puis nous avons de bons exemples, parfaitement éprouvés, valables, de mariages franco-allemands. Nous l’a-t-on assez prônée l’édifiante Confédération Suisse ? Qu’est-ce qu’on attend pour essayer ?Je n’ai jamais entendu dire que les cantons de Zurich opprimaient ceux du Tessin, que les Genévois se faisaient brimer, dépouiller par les gens de Bâle. Jamais. 
    La France, chef-lieu le Vésinet. Mais les Juifs perdent pas leur temps. Ils vous doublent déjà de plus belle auprès des Allemands, des Anglais, des Italiens, depuis l’affaire de Munich. Ils vous donnent pendant que vous bavez, que vous installez encore, que vous posez aux “terreurs”. Cocorico ! Vous terrifiez plus rien du tout. Le sol s’effondre, vous crânouillez à droite, à gauche. L’Europe se forme contre vous. Vous en savez rien. C’est vous maintenant le prochain “tirage”. Bientôt ça sera plus la question de savoir quels seront vos alliés. Y a plus d’alliés pour les grotesques. Ça sera la question de savoir comment se débiteront vos provinces, qui va se taper la Franche-Comté, s’annexer la Normandie, repopuler l’Aquitaine, s’adjoindre la Corse et Marseille, défranciser l’Algérie. C’est tout. Causez toujours.Y a pas besoin de se frapper. La Roue tourne. Elle en écrasera, sûr, encore, des hommes et des hommes. Des millions et puis des millions. Ceux-ci, ceux-là et puis bien d’autres, ça n’enfinira jamais. Ils fonceront toujours aux tueries, par torrents de viandes somnambules, aux charniers, de plus en plus colossaux, plantureux. Y a pas de raison que ça se termine. C’est leur nature. Y a pas besoin de les exciter. Ils se précipitent. Personne peut jamais les retenir. Ils parlent que de leurs “avantages”, ils en comprennent pas le premier mot. Ils veulent rien apprendre du tout. Ils sont fainéants d’âme et de tête. Les événements s’accompliront. Ils iront se faire écrabouiller par races entières, par continents. Ainsi de suite.Puisqu’ils veulent rien comprendre, puisqu’ils veulent rien apprendre, puisqu’ils veulent rabâcher toujours, toujours les mêmes conneries, très bien ! Très bien ! Ils seront gâtés ! Ils passeront l’examen quand même ! à la grande kermesse des Têtus ! C’est un monde ! d’unefaçon toute fantastique, par prodigieux écartèlements, feux grégeois munificents,flamboyantes enrageantes mitrailleries, très extravagantes fournaises, gigantesques bengalades, pyrogénies hallucinantes. L’École mirifique ! Tout le monde sera reçu.Nous sommes au siècle de la suffisance. Il convient de nous prononcer très fatuitement. Je vais couper les ailes d’un canard. Il volera quand même. De tous les côtés l’on m’annonce que j’ai touché des sommes formidables d’Hitler. C’est le canard classique, si j’ose dire. Je m’en fous énormément que l’on m’accuse des pires horreurs. J’ai l’habitude.C’est la bêtise de la supposition qui me blesse. Je me sens tout déprécié. Vous êtes trop cons,suppositeurs, pour inventer autre chose ? Réfléchissez un petit peu que je gagne avec mes livres, mes romans, tout simplement dix fois plus d’argent qu’il ne m’en faut pour vivre. Je connais le monde trop bien, ses façons, je l’ai pratiqué trop longtemps pour ne pas être mithridatisé en long et en large, contre les plus minimes, les plus furtives illusions, les plus fugitives faiblesses. Renoncez. Rien. Aucune prise. J’ai mis de côté un petit paquesson pour les jours périlleux. J’ai planqué suffisamment pour n’avoir plus jamais besoin, devrais-je vivre encore cent ans, des secours de personne. Peau de vache absolue – Est-ce que je suis renseigné sur les conditions humaines ? – Pendant 35 ans j’ai travaillé à la tâche, bouclant ma lourde pour ne pas être viré de partout. À présent, c’est fini, bien fini, je l’ouvre  comme je veux, où je veux, ma grande gueule, quand je veux. Ne vous cassez pas le haricot. Ce que j’écris, je le pense, tout seul, et nul ne me paye pour le penser, ne me stimule. Personne, ou presque personne ne peut se vanter d’en faire autant, de se payer ce luxe. Moi je peux. C’est mon luxe. Mon seul luxe. Et ce n’est pas terminé ! Je n’ai pas fini de travailler. Ma mère, à 71 ans, insiste encore pour ne dépendre de personne. Elle continue à travailler, elle gagne sa vie. Je suis pareil. Je ferai de même. Pas de fainéants dans la famille. À 71 ans j’emmerderai encore les Juifs, et les maçons, et les éditeurs, et Hitler par dessus le marché, s’il me provoque. Qu’on se le dise. Je dois être, je crois bien, l’homme le moins achetable du monde. Orgueilleux comme trente-six paons je ne traverserais pas la rue pour ramasser un million à la traîne dans le ruisseau d’en face. Voilà Ferdinand, au poil. Il faudra le tuer. Je nevois pas d’autre moyen. Le malheur, c’est que les gens vous jugent toujours d’après leurs propres tendances, et qu’ils sont presque tous à vendre, n’importe quel jour, par tous les temps.

    Même les plus riches, les plus superbes. Ils arrêtent pas de s’offrir. En fait, leur vie n’est qu’un putanat perpétuel plus ou moins chichiteux, somptueux, prétentieux. Et puis je vais vous dire encore une bonne chose. Les véritables fructueuses affaires se font à gauche, pas à droite. C’est même curieux, à ce propos, l’Italie, l’Allemagne, voilà les deux seuls pays qui m’envoyent jamais un croc pour mes traductions. Ils traduisent et puis c’est marre. Croyez-vous que ma petite plume ne vaille rien pour les acheteurs du Kremlin, de l’I.S., de la Banque d’Angleterre, ceux-là mêmes qui couvrent constamment d’or les pires tocards ?Et c’est tellement plus facile, plus opulent, plus licite d’en croquer du côté maçonnique !Tous les honneurs !  Je suis assez bien renseigné. Pensez-vous, à tout prendre, que même en France il meserait très ardu de faire tomber un million par mois dans une petite caisse quelconque ? Sous un prétexte ou sous un autre ? Réfléchissez. Cessez de me juger d’après vous-mêmes, à votre mesure. Enfin pour terminer, si la question vous tracasse, malgré toutes mes explications, que ça vous empêche de dormir, vous obsède, venez donc m’interroger, personnellement, bien en face, carrément, l’un de ces jours. Ne vous touchez plus dans les coins.

    DÉJÀ…

    L’influence directe du juif était si puissante à la cour de Louis le Débonnaire que l’évêque de Lyon, saint Agobard, y fut traité avec le plus grossier mépris quand il alla présenter à l’Empereur ses justes doléances contre Israël. Lorsqu’il déclara au Souverain que ses fonctionnaires, à Lyon, étaient aussi terribles pour les chrétiens que doux pour les juifs, ce fut dans cette cour judaïsée un scandaleux tollé contre le grand Évêque.

    Louis DASTÉ

    les Sociétés secrètes et les Juifs.
    DERNIÈRES NOUVELLES
    l’Humanité du 5 novembre 1938. « Hier a été inauguré le dispensaire du Syndicat des Métaux de la région parisienne… Plus que jamais cette organisation mérite le titre que notre journal naguère lui décerna : Le plusbeau Syndicat de France… Au cours du vin d’honneur qui suivit la visite prirent la parole lesdocteurs Kalmanovitch, Oppman, Rouquès, Lecain, Bli, etc… (tous juifs), les principaux artisans de cette réalisation. […] Après eux, M. Dreyfus, directeur du Service Régional des Assurances sociales, exprima sa satisfaction et déclara que l’administration… etc., etc. »

    l’Action Française du 5 novembre 1938. « Le Ministre de notre Éducation Nationale Jean Zay (de son véritable nom Zacharie) va présider effectivement une cérémonie remarquable. « Lundi prochain, à 17 h 30, il se rendra à l’hôtel Salomon Rothschild pour honorer de sa présence une fête assez audacieuse où l’on doit célébrer la transformation en citoyen françaisdu chef d’orchestre Bruno Walter, qui a quitté l’Allemagne, où son manque de titres aryens entravait sa carrière musicale. »


    BOUQUETLe DrLogre, médecin de l’Infirmerie spéciale de la Préfecture de Police, signale que lescas de delirium tremens ont presque doublé depuis l’application des nouvelles lois sociales. L’absinthe est à présent servie dans les grands “démis” jadis réservés à la bière (lePopulaire ; 27 décembre 37) Les aliénistes signalent une aggravation et une augmentation des cas de folie qui placent notre pays au premier rang des statistiques européennes de l’aliénation mentale. La “Bénédictine” dont l’action de capital payée 750 francs vaut aujourd’hui 6 860 francs a élevé régulièrement ses dividendes de 200 francs 80 en 1935 à 355 francs en 1938.
    TOUT EST DIT
    Le Front Populaire, auquel tous les culots réussissent, débusque enfin toutes ses batteries et nous déclare très carrément que nous ne sommes plus désormais qu’une très sale piteuse idiote racaille, très justement asservie par les Juifs. « Le front Populaire de la région parisienne, ému par l’agitation antisémite qui se manifeste dans certains milieux et notamment en Alsace-Lorraine et dans la région parisienne, met en garde la population parisienne contre les agents de Hitler en France. Il demande que les pouvoirs publics interdisent les journaux faisant des appels au meurtre, et déclare que, dans les heures graves que nous traversons, l’union des forces démocratiques est nécessaire pour barrer la route au fascisme international, fauteur de guerre et de misère. Il rappelle que, depuis 1789, la France ne fait aucune différence entre les Français et les Juifs, et qu’il ne laissera pas s’instaurer dans notre pays les mœurs qui déshonorent les pays dits totalitaires…

    " SI LES FRANÇAIS NE SONT PAS CAPABLES DE CONCURRENCER LES JUIFS QUI PRENNENTLEURS PLACES DANS TOUS  LES DOMAINES, DEPUIS L’USINE JUSQU’AU GOUVERNEMENT,C’EST QUE LE JUIF EST MIEUX DOUÉ ET, PAR CONSÉQUENT, IL EST JUSTE QU’IL COMMANDE ET DIRIGE LES FRANÇAIS INFÉRIEURS À LEUR TACHE. » (Motion votée à l’unanimité par le Front Populaire de la Région Parisienne, le 23 septembre 1938).
    À quand nos rouelles ?

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