• Admirable truc

     

    Admirable truc juif !... Kif la critique juive !... D'un seul coup au-dessus de tous les jugements !... de tous les repères !... de tous les textes humains... Et plus il est châtré, impuissant, stérile, prétentieux et farceur, pis imposteur, plus emmerdant, et plus il aura de culot forcément, et plus il aura de génie et de fantastique succès... (publicité juive "aux ordres", bien entendu). Admirablement simple ! miracle !...
    La Renaissance avait splendidement préparé, par son fanatisme enjuivé, son culte pré-scientifique cette évolution puante vers toutes les bassesses. Cette promotion catastrophique de tous les châtrés du monde à la royauté des Arts... Le naturalisme, ce manifeste culturel de
    "garçons de laboratoires francs-maçons", foutaise encore plus ligotée, plus enferrée de Positivisme, que la Renaissance a porté la même
    gigantesque sottise, le même calamiteux préjugé à l'ultime puissance en fariboles. Le truc n'est pas tombé dans l'oreille d'un Juif sourd...
    Les Juifs, stériles, fats, ravageurs, monstrueusement mégalomaniaques, pourceaux, achèvent à présent, en pleine forme, sous le même
    étendard, leur conquête du monde l'écrasement monstrueux, l'avilissement, annihilement systématique et total, de nos plus naturelles émotions de tous nos arts essentiels, intinctifs, musique, peinture, poésie, théâtre... "Remplacer l'émotion aryenne par le tam-tam nègre."
    Le sur-réatisme, prolongement du naturalisme, art pour robots haineux, instrument du despotisme, d'escroquerie, d'imposture juive... Le sur-
    réalisme, prolongement du naturalisme imbécile, sécateur, férule des eunuques juifs, c'est le cadastre de notre déchéance émotive... l'arpent
    de notre charnier, de notre fosse commune de crétins idolâtres Aryens, cosmiques, jobards et cocus... Et puis c'est entièrement tapé!
    admirablement... pour nos gueules!... A la porte du sur-réalisme, frémissants depuis longtemps d'impatience, d'objectivisme, à tous les degrés, de dépouillerie, tous nos écrivains, ou à peu près, n'arrétent plus de se dépouiller infiniment à perte de "grelot", de toute leur ultime substance. S'ils se malmènent encore un peu, s'ils s'évertuent au fantastique, s'ils se portent à l'idéalisme, à la poésie, les voici alors tout de suite fatalement si dépouillés qu'ils se trouvent après tant d'analyses, en train de surréaliser... C'est-à-dire lancés, embusqués, délirants d'impunité, dans la plus abracadabrante imposture de ce siècle, pour l'époustoufflement du peuple et des bourgeois... par l'accumulation des frénésies creuses, des simulacres parasymboliques, le frénétique branlochage frauduleux... Des grelots tous!... des grelots!... même pas des bourdons! de vils petits grelots! pour petites bêtes rageuses!
    Chaque fois, qu'ils s'agitent un peu ou beaucoup ça remue... ca bouge... il en sort des petits bruits insolites, des grêles tintements, des petites
    fausses notes. Et puis c'est marre, et puis c'est tout... L'invasion surréaliste, je la trouve absolument prête, elle peut déferler sans hésitation, par l'effet de la loi du nombre... Il ne reste pour ainsi dire plus rien devant l'art Robot, prêt a fondre. Les tenants de la grande culture, les continuateurs des classiques, sont à tel point avachis, parvenus à force de constipation styliforme, à un tel degré d'affaiblissement par grattage, branlette, pitrerie oiseuse, transmutations de fausses vessies, effilochage des symboles tombés en un tel degré de marasme, boursouflés de tels anasarques en fadeurs, insignifiances bullomateuses, qu'ils se ressemblent maintenant tous horriblement, gisants sur toutes les paillasses, dans toutes les soupentes du lupanar juif officiel!... Ils sortent tous de la même vaisselle, de la même rincette infinie... de l'insignifiance goncourtisane, du Zolasime putassier recrépit, le la même lessive surmenée, de la même plonge des choses molles, opaques, sournoises et médusoïdes!...
    J'ai peut-être le goût mal formé, mais enfin pour mon humble part, je trouve que Monsieur Duhamel prolonge admirablement M. Theuriet dans ses oeuvres pies... son pouvoir édificateur, que la maison Bordeaux, Bazin, Bourget cousin, Mauriac fils, peut se substituer admirablement à M. Gide pour l'enfilage des cocons. Les "bébés compliqués Goncourt", peuvent tenir encore parfaitement toutes les notes et tous les concours, il suffit qu'on les "freudise" avec un peu de soin... M. Giraudoux, c'est un fait bien pertinent, fignolise quand il s'y donne, tout aussi bien que Prout-Proust. M. Paul des Cimetières Valéry mousse, picore, disparaît dans les vagues, beadekerinne, unanimise, surréalise s'il le faut comme un Romain... reparaît au bord comme Maurras, revient en Barrès, se perd encore, bergsonise, entesté, nous nargue de petits riens... Et finalement
    M. Maurois qui n'est par tout à fait du Gard, mais quand même sérieusement Vautel nous les ferait bien oublier tous... En s'entraînant quelques mois, les effacerait complètement... pourrait suffire à lui tout seul à tout l'avenir juif. Pourquoi pas ?...

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