"Un rapport de la fondation Rockefeller en 2010 [24] envisage une épidémie permettant aux gouvernants une prise de contrôle autoritaire
L’un des scénarios du rapport est titré :
« LOCK STEP [confinement] : Un monde où le contrôle gouvernemental est plus strict et le leadership plus autoritaire, où l’innovation est limitée et où les citoyens sont de plus en plus réprimés ».
Le scénario décrit un effondrement économique, puis l’instauration de pouvoirs autoritaires, qui se maintiennent après la fin de la pandémie :
« Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont [...] imposé des règles et des restrictions hermétiques, allant du port obligatoire de masques faciaux à la vérification de la température corporelle à l’entrée des espaces communs [...].
Même après l’atténuation de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités se sont maintenus et même intensifiés. [...]
Les dirigeants du monde entier ont pris une main plus ferme sur le pouvoir. »
« D’abord, la notion d’un monde plus surveillé fut mieux acceptée et approuvée par le public.
Les citoyens abandonnèrent volontairement une part de leur souveraineté, et de leur vie privée, à des États plus paternalistes en échange d’une plus grande sécurité, de plus de stabilité.
Les citoyens acceptèrent plus volontiers d’être surveillés et soumis à un pouvoir exercé de haut en bas, ils le souhaitèrent même, et les dirigeants nationaux eurent les coudées franches pour imposer un ordre qui les arrangeait. »
Dix ans plus tard, le 22 avril 2020, la Fondation Rockefeller propose un « Plan d’action national » sur le Covid-19 incluant la constitution d’un Conseil sur la pandémie, doté d’une autorité analogue à celle du président des États-Unis en temps de guerre [25].
Ce pouvoir inclut le test et le traçage de la population :
« Les personnes dépistées doivent recevoir un numéro d'identification de patient unique qui serait lié à l'information sur le statut viral, des anticorps et éventuellement vaccinal d'un patient dans le cadre d'un système qui pourrait facilement être connecté avec d'autres systèmes [...].
Les écoles pourraient établir un lien de ce système avec les listes de présence, les grands immeubles de bureaux avec les cartes d'identification des employés, TSA [26] avec les listes de passagers, les salles de concert et de sport avec les acheteurs de billets.
Ces connexions doivent être établies de manière à protéger les informations d'identification personnelle dans la mesure du possible. »
Un schéma du rapport est évocateur :
aller à l’école,
au bureau,
au concert,
au sport,
voyager ou acheter un ticket,
pourra être soumis au contrôle de l’identité médicale de la personne, y compris la vaccination !
On comprend dès lors comment M. Macron peut dire le 24 novembre 2020 aux français qu’il ne rendra pas le vaccin obligatoire.
Il y a d’autres moyens « administratifs » d’imposer ce vaccin, par des règles scolaires, professionnelles, sociales.
https://www.afs.ovh/actualites/224-analyse-politique-..