• Des histoires des pin-up!

    Parfois il est préférable de recevoir une « barde » directement dans la « gueule » que de se faire rattraper par un lapsus survenu du tréfonds de l’inconscient.
    Et J.M Trogneux, la première tarlouze de France connue sous le pseudonyme de Brigitte macron, l’a apprit à ses dépens au cours de cet entretien qu’elle à eue avec Anne Hidalgo.
    Au profil tout d’abord...il est tout à fait clair que l’une ne rattrape pas l’autre, et que l’une est aussi moche que l’autre, mais Hidalgo à quand même un gros avantage sur JM Trogneux alias Brigitte c’est que c’est une vraie femme .
    Elle n’a pas de queue ni un sac de couilles entre les jambes, qui baloche aux rythmes de ses pas...
    Donc ses pensées seront toujours plus féminines que celle de sa « voisine » recomposée.
    Au cours de cet entretien Anne Hidalgo que l’on ne peut pas présenter comme « lumière » intellectuelle, commis deux gros lapsus dont un fut, passé sous silence par tous les médias sous peine de représailles .
    En effet lorsqu’elles se rencontrèrent dans les coursives qui menait sur le podium, Anne Hidalgo ne put s’empêcher de s’exclamer à haute voix le sourire aux lèvres en voyant JMT alias Brigitte…
    -« comment tu es joli ma couille ! Tu fais de plus en plus de nana chaque jour ! Tu vas me rendre jalouse ! »
    Évidemment les propose éructés par Anne le gros âne, avant leur entrée en scène étaient censés être de flatteurs compliments et, c’est donc toute joyeuse qu’elle s’approchât de JM Trogneux alias Brigitte, pour l’enlacer et lui faire l’accolade amicale et le bisou que l’ont fait toujours dans ces circonstances, ignorant la surprise qui l'attendait.
    Elle ne la découvrit que lorsque JMT lui planta son genou osseux dans son intimité en criant …
    « Tiens gros boudin à l’avenir tu pèseras tes mots ! »
    Bref des témoins les séparèrent et démontrèrent qu’en fait qu’il ne s’était agi que d’un vulgaire malentendu et qu’il serait préférable qu’elles se réconcilie avant le passage à l’antenne. Qu’elles devaient dissimuler leurs dissensions face au public surtout en période électorale !
    Ce qu’elles firent.
    JM Trogneux alias Brigitte réajusta sa moumoute blonde sur son crâne chauve, crachat vivement sur le sol oubliant qu’il n’était plus au volant de son camion, mais qu’il était devenu la première bitte nationale, et asséna un coup de poing qui se voulait amical dans l’épaule d’Anne qui virevolta sur elle-même à deux reprises…
    «  tu n’as rien dans les couilles lui dit JM trogneux alias Brigitte… tu es une chochotte ! Aller, on y va ! »

    Elles partirent joyeuses et souriantes vers le podium sans savoir que JM trogneux alias Brigitte allait prendre en pleine poire, un second lapsus révélateur sur ses mœurs dissolues ,et en public cette fois.
    Les voici maintenant sur le podium face au public couvrant de congratulations hypocrites les notables locaux et les dirigeants qui ont organisé la rencontre.
    JM trogneux alias Brigitte brillait dans toute sa gloire.
    Le botox qui plastifiait son visage le rendait étincelant comme un chrome de pare-chocs amoureusement lustré et exposé au soleil.
    Elle brillait à en éblouir la salle. Dieu merci sa perruque en forme de champignon de paris, bien blanc ,la protégeait d’un retour de rayon , de fait elle était la seule y voir clair.
    Sa rivale était moins pimpante.
    En effet « chez » Anne le gros âne, ont distinguait en revanche avec une netteté suffisante, de multiples méchants bourrelets qui refusait de rester emprisonné dans sa gaine qu’elle avait pris soin cependant de remonter jusqu’aux épaules et de la nouer solidement dans le dos à l’aide de gros arceaux métalliques.
    Mais hélas, en vain ! La mauvaise graisse provocante ne voulait pas se plier à la torture et se libérait comme elle pouvait derrière l’armature métallique du Zeppelin .
    Ça faisait peine à voir ! Toutes ses hernies sur cette chambre à air qui sortait tels de gros kystes sur un corps malade.
    Évidemment le public compatissant ne vit rien. Plutôt fit comme s’il ne voyait rien.
    Surtout les journalistes qui peinait sur la description de ces deux créatures tant il y avait de chose à dire !
    Les pauvres ne savaient pas par où commencer !
    Y’en avait autant a dire sur l’un que sur l’autre !
    Par courtoisie ils se limitèrent au débat.
    C’est donc en professionnels passionnés qu’ils posèrent à l’un et à l’autre de nombreuses questions. Jusqu’à ce qu’Anne le gros âne refit malencontreusement un nouveau lapsus qui lui fit dire :
    « Je ne sais pas comment tu as fait pour y arriver , mais moi je n’aurai pas su coucher avec un gosse boutonneux et squelettique ...Chaud l’affaire ! »
    Aïe ! Aïe ! Aïe ! Que n’avait-elle dit là, innocemment et bien naïvement !
    Elle n’eut pas fini sa phrase, que de la fumée noire et bleue ce dégageait du champignon de paris qui servait de perruque à JM Trogneux alias Brigitte, et que celle-ci se mit a bougé dans l’air comme si elle était soudainement animée de vie.
    La colère retenue était si intense que son champignon de paris vibrait sur sa tête comme un couvercle de cocotte minute sous la pression de la vapeur.
    C’en était pitoyable et triste à la fois !
    Car non seulement la vérité sexuelle de JMT venait de se faire jour accidentellement, mais qui plus est la vérité sur son physique y faisait cortège !
    Double trahison en un jour !
    C’était le mea culpa de l’inconscient plus fort que le désir cachotier que nourrissait JMT alias Brigitte qui là, sur le moment faisait sa loi !
    En un instant tout le mythe du mensonge s’effondrait , sous la pression d’Anne le gros âne et de l’émoi rageur de JMT alias Brigitte, qui fit s’agiter son couvercle de marmite comme une feuille d’arbre sous la brise…
    Les journalistes embarrassés se dirent…
    « Ce n’est pas son jour à Marius », mais ils se retinrent d’en faire état dans leur article…
    JMT alias brigite, ce vieux cadavre est quand même la première dame de France ( à grosse bitte toutefois!)…
    C’est ainsi qu’ils résumèrent au mieux de leur droit, car le petit Pd de macron aurait pu intervenir de façon à les faire déchoir de leurs fonctions, la mésaventure que vécu JMT par la « mignonne petite phrase » que vous pouvez lire en légende sous la photo…
    « comment as-tu fait pour violer un ado ! »
    Moralité ne cherche jamais à cacher la vérité au trot, car toujours elle te rattrapera au grand galop !

    P.D.

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