Il fait un temps superbe… Poisson d’avril ! Le ciel est blanc, triste, inintelligent et vide. Je sors de mon livre d’économie pour mettre deux mots sur ce journal, comme on descend quelques minutes d’un train, dans une gare, pour jeter une lettre à la poste.
Et encore… ce n’est même pas un message, il n’y a pas de destinataire, il n’y a pas d’expéditeur. Mais il fallait écrire quelques lignes, pour Pâques. Si banales fussent-elles, si vides ; Pâques méritait bien quelques petites lignes. Mon train part. Je remonte.
Hélas… *