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Hermann Hesse, l'intériorité à pas de loup
"Le sens secret de la terre se révélait / Dans sa respiration, / Le cœur se donnait de bonne grâce, / Et le temps tout entier était le présent." Hermann Hesse
« Je sens brûler en moi une soif sauvage de sensations violentes, une fureur contre cette existence neutre, plate, réglée et stérilisée, un désir forcené de saccager quelque chose, un grand magasin ou une cathédrale ou moi-même de faire des sottises enragées, d'arracher leurs perruques à quelques idoles respectées. Comment ne serais-je pas un loup des steppes ? » (Hermann Hesse)
Deux invités, un traité, un roman, 70 ans de poèmes et comme un arrière-pays, celui des steppes traversées par le loup. Aujourd'hui, à la recherche d'Hermann Hesse (1877-1962) avec Pierre Cendors qui cale son roman "Silens Moon" (ED. Tripode) dans l'obscurité du "Loup des steppes" et l'évoque aussi dans Tractatus solitarius : le retour du Loup des steppes (Editions l’atelier contemporain), un carnet de poésie complété d'aphorismes poétiques et philosophiques sur la relation de l'homme au monde ; et François Mathieu qui traduit C’en est trop : poèmes 1892-1962 (Ed. Bruno Doucey) une anthologie de poèmes de l'écrivain suisse d'origine allemande.
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Tags : loup, hermann, hesse, steppes, poemes
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