• II - LE SWING DES CHOSES (5) 3/3

    S’ils savaient ce que je pense des singes…
     L’Afrique est pleine de ces sales nègres qui ne sont pas deux mille à avoir saisi qu’un seul accord d’harpe fourchue nous baise bien plus la gueule que toute l’assimilation bâtarde des plus néfastes chapitres de notre culture ; que la faute repose entière sur ces présidents qui font des alexandrins, tous ces culpabilisateurs qui finalement désamorcent sourdement toute révolte efficace et légitime et tuent la tradition nègre… Tous ces Noirs mal blanchis me font penser à ces travelos hermaphrodites horribles, ces transsexuels immondes qui, après « l’Opération », se retrouvent ni homme ni femme, ni bête ni rien : ils n’existent plus… Connards archicons, dans la ville, racketteurs minables, étudiants revenus d’une quelconque fac française dans cette Négrie post-sous-développée, aigris de l’échec torride et des brimades marmoréennes, chercheurs de noises, agressifs à contretemps, bourgeois onctueux, singeant le blancot pessuguet, sortes de traîtres ou de susceptibles « squaros » vaguement pouilles ou homme d’affaires, affichant au milieu de leurs indigestions diverses une vulgarité calquée sur celle des plus atroces débiles européens, bref, de faux Noirs jouant à la « Vieille France » avec des arguments de cannibales.
     Il faut certainement percer vers les petits villages aux ethnies tribales et vers les autres États désunis de la Sombre Afrique pour trouver encore des nègres qui ne savent même pas qu’on peut l’être en en ayant honte, des nègres qui nous disent merde parce qu’ils sont fiers de la différence, pas parce qu’ils veulent la supprimer. Des nègres contre la fusion et des nègres qui ne nous pardonnent pas.
     C’est bien compréhensible : les Occidentaux ont inventé l’Art nègre, car ils avaient la flemme de remettre en question leur vieille esthétique pourrie, par impuissance pure à concevoir un autre sentiment du beau, avec toute leur terminologie moderne, leur œil gluant d’artiste civilisé. Le nègre est persuadé que l’homme blanc a voulu se faire pardonner au XXe siècle toutes ses horreurs passées, qu’il ne savait plus où se mettre d’avoir effondré tous les empires, morcelé l’Afrique n’importe comment, en un terrible partage du Butin ! Mais c’est bien à un nouveau pillage que se sont prêtés ces nouveaux missionnaires de l’art moderne. Le XXe siècle n’a pas plus à se foutre de la Négrie que ses prédécesseurs. Aucun progrès dans l’aversion congénitale du Blanc pour l’odeur insupportable du Noir qu’il faut embrasser sur la joue. Il n’est pas question d’un échange de culture bâtard, car le sale Blanc savait que l’abruti de Noir ne pourrait jamais rattraper le retard, qu’il serait trop con pour saisir toute sa blanchâtrerie millénaire : ça ne lui coûte rien de déverser ses tombereaux de richesses occidentales. En revanche, il lui a suffi d’un seul peintre espagnol de génie pour récupérer à son compte et au compte du monde entier, en quelques toiles, tout le trésor noir.
     Il n’y a pas de race inférieure ou supérieure, mais des races en retard et d’autres à l’heure, comme les montres. Les Noirs ont, par rapport à la technologie et à la science du « novecento », vingt siècles de retard au moins. Pourquoi d’un côté comme de l’autre veut-on les mettre à la page, une page qui a fait les preuves de sa décadente et néfaste débilité ? Maintenant qu’on a abandonné de leur faire rattraper le temps en les obligeant à s’asseoir sur la seule machine qui remonte deux mille ans d’un coup : c’est-à-dire Jésus-Christ, on les fait chier à contre-complexe avec une tyrannie sociale, une carotte friquée de consommation et les ricochets d’une culture en pleine décomposition. Les Africains sont des gosses préhistoriques, des singes qui ne peuvent progresser que très maladroitement et très lentement en perdant en route tout leur génie. Ils ne s’aperçoivent même pas que les Blancs rigolent toujours autant d’eux, mais sous cape : ils ne prennent pas au sérieux les efforts noirs, que ce soit sous forme de poèmes ou de dictatures ! Un jour, ils auront la Bombe atomique, mais il y aura longtemps que les Blancs ne s’en serviront plus. C’est en gardant leur simiesque génie cosmique que les nègres peuvent se défendre et nous ENCULER, car moi, je ne rêve qu’à ça : l’Enculage, l’Extermination totale des Blancs un jour ou l’autre ! Car les Noirs ne sont pas aussi cons que les Indiens d’Amérique ou les Juifs d’Hitler qui se sont laissé tuer, génocider… D’abord, ils sont beaucoup plus, et puis surtout, leur nature immense, leur religiosité et leur culture sont d’une cohérence imparable, ancestrale, localisée, sédentaire, précieuse et lourde de sens : rien à voir avec la pathologique brutalité d’un Sioux ou la larmicheuse fatalité hébraïque de l’hagarde errance des Crucifiés. Les nègres n’ont pas l’âme martyre à se laisser baiser comme ça : dans moins de cinquante ans ils n’auront plus à le prouver…
     L’Occident est encore le grand gagnant. En apportant l’hygiène et la médicalisation dans ces pays de l’âge de pierre, il a apporté bien d’autres choses. Non seulement, il a massacré des millénaires de rituels mais il a inoculé des germes ignobles tout en rénovant pour soi son stock de forme pour cent ans, et en encourageant salopement tant de complexes, il a récupéré des centaines de milliers de Noirs blanchisés, inoffensifs et bien serviles. Fasse qu’un prochain jour, le nègre nous montre, le couteau dans la gorge, tout ce qui nous a échappé dans nos odieux délits, toute la sensualité et l’impératif sacré de cet élan barbare et somptueux que l’Occident avait cherché partout depuis des siècles.
     Mais ça ne durera pas toujours ! De bon grands leaders exaltés et fanatiques vont monter aux tribunes, en Russie, en Arabie, en Afrique aussi. L’Occident va payer cher un jour son insurrection idéologique, et le Blanc, l’abject Blanc qui, sous prétexte d’aller porter sa culture chez les nègres, n’a fait que les voler de la leur, paye déjà en larbinage dans la clairvoyance de son incompétence, l’apport universel du Jazz, apanage et vengeance suprême de la race, bien plus forte que toutes les bombes du monde, car inventer une nouvelle façon de vivre et révolutionner l’art sacré hyper-occidental de la musique en l’espace de cinquante ans sur les ruines de l’humiliation, de la misère, du métissage, est la revanche raciste la plus fantastique que je connaisse, beaucoup plus efficace que tous les génocides et autres solutions finales. Les Juifs avec leurs infiltrations dans les milieux financiers, sociaux, scientifiques, philosophiques et esthétiques du monde entier, et l’élaboration de la Jérusalem Terrestre, ou bien les Arabes avec leur pétrole pourri sont bien gentils près de cette violence-là qui fait du Noir le seul créateur de beauté possible au XXe siècle et pour tous les autres à venir, mettant plus bas que terre n’importe quel Blanc raffiné et bien-pensant, se servant de lui comme un larbin, sur son propre terrain, dans son point faible le plus vulnérable à mort : l’Art ! Son Cher Art niqué pour toujours !…
     Que les Noirs laissent aux sales Blancs les soucis glorieux de la Science et des sinistres formalités techniciennes. Qu’ils s’occupent des domaines géniaux de leur force, dans leur régal, maîtres absolus des larbineux blanchâtres ! Boxe, musique, sport, religion, amour, sculpture… Ce sont les plus forts ! Les corvées, c’est pour les autres ! Quelle est la place d’un splendide nègre bien baraqué, chargé des prières millénaires de sa tribu et qui vient dans un bureau s’occuper de statistiques, d’informatique, de médecine ?… Ils me font trop penser aux femmes qui veulent absolument s’occuper des sordides soucis masculins, pour prouver quoi ? Le Noir est la femme du Blanc ! C’est-à-dire faite pour jouir et napper le monde de magie et de santé ! Le Mari : un blancot au bureau bossant pour la nourrir et la gâter ! Voilà comment je vois les choses ! Mais il ne faut pas que les nègres se laissent baiser comme les femmes aujourd’hui qui, en renversant les fonctions, se chargent peu à peu de tout le chiant, laissant aux hommes les délices de l’existence ! J’espère du reste que ce seront les Noirs qui remettront les femmes dans le bon chemin, c’est-à-dire le mauvais, en les enculant aux Blancs !
     Ah ! ce que je peux être négrophile ! C’est à frissonner ! Si Fou panafricain que je me refuse à moi-même le métissage. Je veux dire que je n’irai pas me fondre chez les nègres, sous prétexte que je les adore et leur dois tout. Je les respecte trop pour ça et puis, surtout, j’ai trop conscience de l’impossibilité des fusions, des alliages de races et de cultures, je suis trop persuadé de l’authenticité de la race. On ne peut pas mélanger les races. Tout en étant très proches d’eux, je n’ai pas envie (car je n’ai pas le droit) de vivre avec des Noirs ou des Arabes. Toute tentative de transvasement est vaine. On peut se trouver des affinités à droite à gauche, mais on ne peut pas changer de race. On reste tous dans nos compartiments et c’est normal, même si c’est dommage.
     C’est de là qu’on peut bien parler. C’est la nature qui veut ça. La Nature, c’est l’apartheid suprême.
     Heureusement que je suis blanc. Si j’avais été noir, je n’aurais pas pu cracher aussi facilement, on m’aurait accusé de racisme ! C’est comme pour le catholicisme : étant baptisé, j’ai le droit de m’occuper de cette affaire-là.

    « Les villages de gauche haïssent "la France du repli" mais repoussent les nouveaux-venusGood Morning Glory »
    Partager via Gmail

    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :