• Les temps sont durs pour les rêveurs



    J’ai aimé des endroits
    où secrètement
    le soleil se laissait caresser.

    Où étaient passées des lèvres,
    où les mains avaient couru innocentes,
    le soleil brûle.

    J’ai aimé comme on brise la pierre,
    comme on se perd
    dans l’insensible floraison de l’air.

     

    Eugénio de Andrade

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