Pendant la révolution, on dit que la liberté, l'égalité et la fraternité arrivent enfin en Bretagne. Cependant, les bretons restent attachés à leurs convictions religieuses, au régime monarchique et aux libertés et privilèges de leur pays.
Ceux qui sont alors nommés Chouans (dans ce que les républicains nomment maintenant Loire inférieur) vont subir un déferlement de violences destinées à leur inculquer les valeurs uniformalistes de "notre" belle république.
La mission sera confiée notamment au sinistre Carrier.
Lors de cette campagne civilisatrice, des hommes sont emasculés, d'autres sont découpés en morceaux, d'autres jetés dans des fours, ou dans des chaudrons d'huile bouillante.
Intelligemment, la graisse humaine est récupérée pour lubrifier les canons, les charrettes, les fusils. Tout est bon dans le breton. Ceux qui cherchent à s'enfuir ont les jambes coupées.
Plus spectaculaire : des charges explosive sont introduites dans le fondement d'individus, puis on y met le feu.
Les femmes sont violées en série, collectivement, devant leur famille. On les embroche avec des fourches encore vivantes.
Mieux, pour les empêcher de se reproduire, on éclate avec des fusils leurs organes génitaux. Des femmes enceintes sont écrasées dans des pressoirs. Le ventre d'autres femmes enceintes est ouvert, on y met de l'avoine et on y fait manger des chevaux.
Les enfants sont tués devant leur mère, parfois en les écrasant sous les sabots des chevaux. On rapporte le cas d'un enfant au sein transpercé par la même baïonnette que sa mère.
Attention on monte d'un cran.
La peau des hommes est utilisée comme celle des animaux. Après dépeçage des brigands (aujourd'hui on dirait terroristes), on tanne, on traite et on fabrique des pantalons pour les officiers français. Un exemplaire est conservé au musée d'Aubrée, à Nantes (photo jointe). Il y était exposé jusqu'en 2014.
Aussi horrible que ça soit. Tout ceci est artisanal et peu efficace.
Place à la mort industrielle.
A Nantes,
On met en place une technique spéciale de noyade adaptée à la vermine bretonne :
On enferme une centaine de malheureux dans un bateau qu'on coule. Puis on perfectionne en créant des barges à fond ouvrable réutilisables.
Des femmes et des hommes sont liés ensemble avant d'être jetés à l'eau. Dans des positions souvent impudiques. Le père avec la fille, la mère avec le fils. Des hommes d'église ensemble etc etc.
La Loire est renommée baignoire nationale.
Carrier dira, "Ah ! La Loire ! Quel beau fleuve révolutionnaire ! ".
Encore une déclaration, celle du général Westermann, commandant des armées françaises à Savenay : "je n'ai pas un prisonnier à me reprocher. J'ai tout exterminé. Les routes sont semées de cadavres, il y en a tant qu'en plusieurs endroits ils forment des pyramides"
Voilà, pensez y cet été quand vous vous rendrez au feu d'artifice pour le 14 juillet.
Vous ne m'y trouverez pas.
Bevet Breizh.
Sources, le livre bleu de la Bretagne / Louis Mélennec