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L'espéranto
Par Cruella dans La tendresse, c'est seulement de la cruauté qui se repose le 17 Décembre 2020 à 13:27Zamenhof (Lejzer Ludwik), médecin et linguiste polonais, né à Bialystok (1850-1917). On lui doit l'invention de l'espéranto. Tout le monde s'en fout et c'est dommage. Quand on sait qu'à la base de tous les conflits, de toutes les haines, de toutes les guerres, de tous les racismes, il y a la peur de l'Autre, c'est-à-dire de celui qui ne s'habille pas comme moi, qui ne chante pas comme moi, qui ne danse pas comme moi, qui ne prie pas comme moi, qui ne parle pas comme moi ; quand on sait ces choses, dis-je, on est en droit de se demander si, par-dessus les têtes couronnées des potentats abscons qui nous poussent au massacre tous les quatre printemps, l'usage d'une langue universelle ne saurait pas nous aider à résoudre nos litiges et à tolérer nos différences avant l'heure imbécile du fusil qu'on décroche et du clairon qui pouète. Enfin. Bon. Utopie.
Dictionnaire superflu à l'usage de l'élite et des bien nantis de Pierre Desproges *
« Blanche Gardin - L’ADN de l'humour - Engagé (2017) - humourChristian Perronne au Défi de la vérité : ses premiers mots après sa mise à l'écart »
Tags : moi, esperanto, usage, racismes, celui
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