• RAPPEL POUR LES RETARDATAIRES

    23-04-2021 Comment et pourquoi, les vaccinés vont quitter ce monde
    Pour ceux qui ont été vacciné avec Pfizer ou Modena...
    Voici des explications claires du Dr Teppenny, sur les vaccins à ARN messager.

    LES VACCINS A ARN MESSAGER SONT DES BOMBES A RETARDEMENT

    Il existe environ 72 vaccins d'usage courant, tels que la DPT (diphtérie, tétanos) varicelle, MMR (rougeole, oreillons, rubéole), etc. Jamais auparavant, la technologie à ARN messager n’a été utilisée.

    Quelques vaccins, comme celui contre la rougeole ou la polio utilisent une technologie ARN, mais la différence est que le virus faisant partie du vaccin est entièrement intact.
    Donc, quand le corps crée un anticorps, il cible l'enveloppe protéinique externe de ce virus.

    Le nouveau vaccin à ARN messager repose sur une technologie entièrement nouvelle.
    Il s’agit d’un plan de montage d’un morceau caractéristique du virus nommé protéine "Spike".
    Lorsqu’il est injecté dans le corps, il crée ce qu'on appelle un anticorps non neutralisant qui, au lieu de prendre le messager ARN pour l'engloutir et l'éliminer (comme c'est le cas pour le vaccin contre la rougeole qui engloutit le virus de la rougeole et le fait disparaître), crée ce que l'on nomme "une facilitation de l'infection" par des anticorps auxquels on se réfère par l'acronyme ADE (antibody-dependant-enhancement).

    Un ADE permet au messager ARN de commencer à se répliquer de lui-même.
    Il fabrique ainsi indéfiniment des morceaux de protéine "spike" à l'intérieur de notre corps afin que celles-ci puissent créer des anticorps.

    Voilà pourquoi Bill Gates a déclaré : "Demain, les êtres humains pourront devenir leur propre usine à fabriquer des vaccins !".

    On peut noter 3 mécanismes inquiétants sur 7 probables pour lesquels le vaccin pose problème :

    Le 1er mécanisme est appelé “cheval de Troie”
    Les anticorps créés pour contrer la protéine "spike" sont représentés dans la littérature médicale par un "Y" ; les deux branches du haut du "Y" sont appelées " fragments FAB" (Fragment-Antigen-Binding) ; la branche du bas est appelée "FC" (Fragment Crystallysable).
    Les FAB attrapent les virus et, en règle générale, les neutralisent. Le messager ARN s'associe au virus mais la liaison reste instable. Et, lorsque ce fragment FC s'accroche au macrophage qui est supposé l'éliminer et le prendre à l'intérieur de lui, le messager ARN est libéré… et c'est là qu'il commence à se répliquer d'une manière continue, comme un bouton de mise en marche sans bouton d'arrêt. Il permet à ce morceau de virus de pénétrer à l'intérieur des cellules, de commencer sa réplication, puis de s'insérer dans d'autres parties de votre ADN, tel un cheval de Troie.

    Le 2ème mécanisme se produit lorsque vous créez des anticorps non neutralisants vers le messager ARN.
    Cette branche de fragment FC ayant la protéine "spike" peut pénétrer dans les poumons, s'accrocher au tissu pulmonaire, et commencer à développer une hémorragie alvéolaire diffuse (Diffuse Alveolar Damage) qui provoque des lésions cellulaires (pus et saignements) à l'intérieur des poumons, là où se fait la respiration.
    La vaccination par messager ARN crée des anticorps, puis les véhicule à l'intérieur de la cellule avec un mécanisme de cheval de Troie. L'anticorps commence alors de lui-même à attaquer les poumons.

    -Le 3ème mécanisme : les anticorps contenant la protéine "spike" attaquent les macrophages.
    Il en existe deux sortes : M1 etM2.

    Les macrophages sont des cellules de globules blancs qui phagocytent (éliminent) les bactéries et les virus qui ne sont pas censés être là. Ils veillent sur nous de manière à éliminer les agressions bactériologiques subies toute au long d'une journée (que ce soit par la nourriture, le brossage des dents, le fait d'aller à la salle de bains, d'avoir des relations sexuelles, de se couper les ongles, etc). Lorsque l’on attrape une pneumonie ou une tout autre infection sérieuse, les macrophages M1 qui sont pro-inflammatoires débarquent là où est l'infection et commencent à créer des cytokines qui sonnent l'alarme et se mettent en action pour éliminer l'infection. C'est une réaction agressive et hautement inflammatoire, ce qui est une bonne chose (dans ce contexte).

    Les macrophages M2, eux, sont anti-inflammatoires et interviennent dans un second temps pour dire aux M1 d'arrêter. Ils nettoient ensuite les débris de tissus, de globules blancs, etc. M1 et M2 travaillent de concert : M1 éliminent l'infection, M2 guérit.

    Le problème avec les anticorps produits par la protéine "spike" est qu’ils s'attachent aux macrophages M2 et les désactivent. Sur les cobayes d'animaux morts d'infections et d'inflammations pulmonaires, il a été observé que leurs poumons étaient remplis de macrophages M1 hautement inflammatoires mais il n'y avait aucune présence de macrophages M2.

    Par contre, Sur les animaux sacrifiés non vaccinés, mais qui étaient malades, on a découvert que les macrophages M2 étaient présents là et commençaient à nettoyer et à guérir. Mais dès qu’il y avait la présence de la protéine "spike" dans l'anticorps, cela tuait les macrophages M2, empêchant le travail de se faire.

    L'anticorps avec la protéine "spike" détruit les poumons.
    Il empêche la réaction anti-inflammatoire de guérison naturelle en éliminant les macrophages M2.
    Il s'associe avec le messager ARN et le traîne à l'intérieur de l’organisme, utilisant le procédé du cheval de Troie pour commencer une réplication impossible à arrêter, comme un bouton de mise en marche sans bouton d'arrêt.

    Il y 36 différents coronavirus dans l'environnement. Ils sont là depuis une soixantaine d'années bien avant que le covid 19 ne soit apparu. Sept d'entre eux sont reconnus comme pouvant infecter l’homme. L’organisme humain a les moyens de s’auto-guérir selon une certaine hygiène de vie.

    La vaccination peut provoquer des morts par conséquences directes : chocs anaphylactiques, maladies cardiovasculaires...

    Mais surtout, entre 42 jours et 1 an, beaucoup de personnes commenceront à souffrir de maladies auto-immunes.

    La facilitation à l’infection (ADE) créera une réexposition permanente. Ils seront à nouveau malades et on dira qu’il y a de nouveaux variants et qu’il faut donner des doses supplémentaires de vaccins.

    Dr Sherri Tenpenny

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