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Par Cruella le 29 Mai 2024 à 10:00
Mais non! saloperies! mais non!... Et vous le savez bien! mieux que tout autre!... Le peuple il exige du loisir et de la vinasse! avant tout. Il s'achète dans une famille ouvrière en France beaucoup plus de vin que de lait ou de pain... L 'alcool et le tabac coûtent au peuple beaucoup plus cher que sa nourriture. Avouez-le donc pourris!... Wendel! Wendel! Wendel! Tartuferies! Pouffantes offusqueries! Je connais cent distillateurs, cent fois plus criminels que Wendel!... qui tuent bon an, mal an, cent fois plus de monde que tous les Wendel de la terre... Et leurs affaires en sont beaucoup plus solides, beaucoup moins menacées que celles de Wendel!... Mais, ceux-là tiennent, vous le savez bien, tous vos électeurs toutes les listes en mains, et vous fermez tous vos sales gueules puantes de cabotins torves, parce que vous avez peur, une trouille infernale des distillateurs vos maîtres ?...
Regardez un peu leurs "actions" ?... Leurs augmentations de capital!... Les avez-vous même effleurés d'un commencement de rigueur ?... Pas
si sots!... Ce sont les chouchous du régime, de tous les régimes et de celui que vous préparez. Ils peuvent toujours, ces prétoriens du poison, attendre, comme les Juifs, sous l'orme, avec leurs "permanences bistrots" en toute sérénité, la fin de vos pitreries, mascarades. bouleversements fariboles,.. ils savent ce que vaut l'aune de toute Révolution... Ils les ont pesées toutes en muids, en barriques, toutes, ils savent que sans eux, toute autorité en France s'effondrera, sans recours, sans appel... Ils savent qu'on ne se passera jamais d'eux... Ce sont eux qui font ramper vos électeurs aux urnes, ce sont eux qui font bouillir le sang de vos soldats. Sans bistrots, vous n'êtes rien, avec les bistrots vous êtes tout. Demain, la révolution faite, la "communiste", plus de bistrots que jamais sur le territoire... "La France libre, titubante, dégueulasse et heureuse!..."
Aussi vains, bornés et frivoles que vous puissiez être... il est des leçons de l'Histoire que l'on retient... Vous avez sûrement retenu que le
Tzar a payé durement pour ses derniers "Ukases", ses rescrits contre la Vodka. Ce sont ses propres édits qui l'ont fait basculer le Tzar, dégringoler du trône, et finalement étriper dans la cave de Sibérie... bien mieux que tous les bavardages du juif Oulianov-Lenine. Staline lui, n'est pas si fou... Il laissera toujours malgré tout, quelques roubles à ses moujiks pour qu'ils puissent, n'importe comment se noircir, en dépit de toutes leurs misères, bien profondément la gueule. Celui d'abord, qui n'est pas de tout temps, plus ou moins saoul, "entre deux vins", ne sera jamais ici, ou là-bas, qu'un pâle citoyen, pointilleux con, vilain camarade et douteux soldat. C'est un homme équivoque, tout bouffi de défiance, un anarchiste plein d'eau, qu'il convient de trouer. Avec la rançon que vous versez aux Juifs, à vos maîtres, banquiers internationaux, demain grands commissaires du Peuple, vous auriez de quoi vivre à rien faire deux jours sur trois.
Encore un effronté mensonge, un credo pour gueules vinasseuses, une culottée d'infamie, "l'Internationale prolétaire"! Il n'existe en tout au
monde qu'une seule vraie internationale, c'est la raciale tyrannie juive, bancaire, politique absolue... Celle-là, est internationale! on peut le dire! sans interruption, sans une défaillance, totale, d'Hollywood, de Wall-Street la youtre, de Washington (Roosevelt n'est que l'instrument
cabotin des grands Juifs Morgenthau, Loeb Schiff, Hayes, Barush et consorts) à Moscou, de Vancouver à Milan... Une véritable internationale, bien intégrale, bien intriquée, bien inflexible, bien sinueuse, aurifiée, racleuse, soupçonneuse, criminelle, angoissée, insatiable. toujours en conquête, jamais assouvie, jamais lassée, jamais somnolente... L'"Internationale" des Aryens, des ouvriers, c'est qu'une chanson... exactement! rien qu'une chanson pour esclaves, rien de plus... Il faudrait que le peuple s'arrache un jour violemment, furieusement, la mite des cils pour se rendre compte que son "Internationale" de gueule, sa fameuse tonitruelle, c'est encore qu'un autre bidon, un autre disque bien tordu, bien gondolé, l'énorme fantastique fumisterie de ses meneurs attitrés... Encore une escroquerie de youtres!... pas plus d' "Internationale" pour les "damnés de la Terre" que de beurre au balcon!... L'Internationale ouvrière c'est la prestidigitation, l'imposture socio-gigantesque du très grand ancêtre "Marx Brother" le premier de nom... l'Hirsute, pour arnaquer les cons d'Aryens. Il a joliment réussi! Aux Juifs les ors et les beefsteaks, aux cons d'Aryens trique et chansons... chacun son genre... sa destinée.
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Par Cruella le 25 Mai 2024 à 09:20
Dans un pays, notons-le. où 50 % des conscrits sont éliminés, à chaque année pour diverses causes rachitiques, "ajournés" tout à fait minables, par le Conseil de Révision, de plus en plus indulgent, très soucieux de maintenir les effectifs et de retenir le plus de monde possible sous les drapeaux... 50 % de la population française, grâce au pinard, est donc ainsi tombé très nettement au rang de rebut physiologique. Cette imbibition, ce massacre alcoolique de la race entière n'est d'ailleurs pas l'une des moindres causes à ce fléchissement général... à cette très grande anémie, stérilité, banalité, ennui, à cette carence de toute inspiration, efféminisation, rabâchage, ragotage vétilleux, mesquinement vindicatif, ensemble de tares bien fâcheuses, mais fort remarquables, dont semble grevée depuis bientôt cent ans, toute la production intellectuelle française... Les intellectuels, après le peuple, ont perdu peu à peu toute signification, toute puissance, toute entreprise, toute véritable musique... Velléitaires enfermés dans une viande profondément, fatalement alcoolisée, diluée dans la vinasse... Le drame habituel de la dégénérescence mentale et physique des races alcooliques, condamnées. Les grands juifs du front populaire parfaitement avertis, ne s'y trompent pas... Ils établissent tout naturellement leurs quartiers généraux dans les grands département viticulteurs... Ils savent bien qu'une dictature en France ne
peut tenir, ne peut durer que dans l'énorme imbibition, la trempette, le colossal ahurissement vinassier de tous les individus, enfants compris,
héréditaire... Le Français est actuellement le seul être vivant sous la calotte des cieux, animal ou homme, qui ne boive jamais d'eau pure...
Il est tellement inverti dans ses goûts, que l'eau lui paraît à présent toxique... Il s'en détourne, comme d'un poison. De quelle manière les Chinois, je vous le demande, furent-ils, en définitive, absolument détroussés, conquis annihilés, dissous, affalés ? Par l'opium!... Et les Peaux-Rouges ? eux qui dérouillaient si splendidement tout d'abord les Yankees partout où ils les rencontraient, par qui furent-ils, ces vaillants, finalement réduits en esclavage ?... par le brandy!... et tous les nègres ?... tous les colonisables en général ? par le tafia!... par le poison le plus populaire à l'époque de la conquête... Rien de plus malin...
Les Français subiront leur sort, ils seront mis, un jour, à la sauce vinasse... Ils le sont déjà. Pas d'erreur!... Le conquérant doit être sûr de ses esclaves en tous lieux, toujours en mains, sordidement soumis, il doit être certain de pouvoir les lancer, au jour choisi. parfaitement hébétés... dociles... jusqu' aux os... gâteux de servitude, dans les plus ronflants, rugissants fours à viande... sans que jamais ils regimbent, sans qu'un seul poil de ce troupeau ne se dresse d'hésitation, sans qu'il s'échappe de cette horde le plus furtif soupçon de plainte... Le cheptel gravit d'ailleurs admirablement, il faut le dire, tous les calvaires qu'on lui présente, il monte au crématoire fort bien, tout seul, simplement stimulé par les exhortations, les hurlements de la galerie c'est entendu. Ce miracle est devenu banal, il a lieu chaque jour depuis le commencement des siècles, des tyrannies et des guerres... mais tout se passe encore bien mieux, bien plus admirablement, plus spontanément, vertigineusement pour tout dire quand les organisateurs peuvent amorcer, préparer, bercer le grand sacrifice dans les buées de quelques philtres, de quelque magie pourriture chimique bien tassée, quelque solide, constant, indéfectible, économique poison nervin, pour nous Français, notre vinasse... Alors, c'est du plein billard! du Paradis de charnier sur terre, on gagne en tout, sur tout, en surface comme en profondeur... D'un côté l'abattoir, on le pomponne et l'apprête... de l'autre côté l'on distille à pleins tuyaux, muids, péniches... Les banques sont heureuses, on presse, on filtre, on souque, à tout cabestan!... L'instinct fait le reste... Toujours là, présent, tapi, l'instinct, immanquable, intrompable, l'instinct de Mort, au fond des hommes. au fond des races qui vont disparaître, l'instinct dont on ne parle jamais, qui ne parle jamais, le plus tenace, le plus solide, impeccable,
l'instinct muet... Lui qui n'est jamais ivre, attend, entend... Que d'affiches! que de promesses! que d'euphories!... la démagogie nectarde, tonitrue, explose!... C'est la foire! le grand carnaval du verbe mentir... Ecoutez ces valets de torture ce qu'ils hurlent à pleins mensonges devant leurs victimes... Ils ont des mensonges plein la gueule:
"Que veut le peuple ?... Qu'exige le peuple ?...
" Du travail. Et du pain!..."
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Par Cruella le 19 Mai 2024 à 10:00
Qu'ont-ils entrepris ? qu'ont-ils même tenté nos immenses humanitaires? nos grands frères douloureux ? Ces "infinis participants" à toutes les souffrances du peuple, pour affranchir le peuple de son plus intime, son plus implacable, son plus insatiable bourreau, l'alcool ?... Absolument rien du tout!... Au contraire! Ainsi que Jamais les spéculateurs en Bourse, agioteurs de tous poils, en matières premières, juifs ou enjuivés n'avaient connu de période semblable aussi magnifiquement fructueuse, que celle que nous traversons depuis le triomphe du Front des masses, de même les "grands vinicoles et distillateurs", doivent la plus merveilleuse des chandelles au gouvernement "Boom Bloum" pour les miraculeuses quarante heures et l'accroissement inouï des pouvoirs vinassiers des foules.
Qu'ont-ils fait, nos frémissants dissipateurs, dispersateurs de ténèbres, pour disperser un petit peu tout cet alcool dont nous crevons ?... Ah!
ils seraient eux-mêmes dispersés bien vite par le plus vrombissant orage qui souffla jamais dans les porcheries de Lucifer!... s'ils risquaient un traître mot! Qu'ont-ils tenté nos grands révoltés de la grande gueule, nos mirifiques pourfendeurs de toutes les iniquités pour assainir un peu la rue ?... Pour secouer même un petit peu, la plus écoeurante, la plus vile et la plus lâche de toutes les dictatures connues, celle des 350.000 bistrots ? tout éblouissants, miroitants en pleine gloire et fortune... drainant, décimant, putréfiant, avec la pleine protection de tous les pouvoirs publics, à pleins goulots tous les fameux loisirs ? Toute l'étendue de ce territoire n'est plus qu'une formidable entreprise d'abrutissement, un gigantesque cloaque de Juifs et de vinasse... Personne n'est au courant ?... Personne ne moufte ?... Pas un simple boeuf mais un Himalaya sur la langue des grands Juifs! "Commodo et incommodo "... Quelle faribole ?... Le Français est livré pieds et poings liés aux grands industriels de la vinasse, juifs ou pas... La Limonade est reine, si le Juif est roi... On s'en va tracasser, croisade! deux ou trois malheureux bordels en province, au nom de l'hygiène générale, de la moralité publique, de telles ou telles calembredaines, mais impunément à côté, on vous file de la folie, du
crime, du gâtisme à plein comptoir, sur la longueur de quatre cent mille zincs et personne ne tique! et tout le monde est bien content!...
Quelles saloperies d'hypocrites fumiers!
D'ailleurs tous nos youtres du grand socialisme (eux qui ne trinquent guère), se montrent dans la pratique, dans la cuisine politique, solidaires à fond de toutes les vinasses, ils vont ramper naturellement vers l'empereur Bibine, pour se faire avaliser, voter, introniser. Précautions, hommages, et reconnaissance... Leur seconde circoncision. Le Midi bavard, resquilleur et vaniteux est un excellent bled pour les Juifs, absolument accueillant. L'opium du peuple ce n'est plus la religion, pauvre légende aux abois, mais bien la vinasse en
plein triomphe. La religion se discute, se réfute, offre mille prises au ridicule mais pas la vinasse... Entre lui et le néant, le Français n'a plus que le juif et la vinasse... Juifs et vinasse triomphent ensemble... n'oublions jamais que 80 pour cent de l'énorme quantité d'alcool consommé en France provient du vin "Le long vaing de nos pères!"...
Nos pères qui ne buvaient eux, en vérité, ces simples, que d'innocentes "petites bières " familiales et de naïves piquettes. Jamais ils n'ont
soupçonné l'existence même, ces aïeux, de nos terribles casse-poitrine, de nos poisons farcis, de ces vitriols d'étiquettes, de nos Elixirs d'Asile, dont on garnit, surplombe, inonde aujourd'hui comme s'il en pleuvait les guéridons et les zincs du peuple souverain, sous l'_il ravi de ses grands apôtres! La Bastille ?... Rigolade!... Mais regardez donc tout autour sur l'emplacement même de la Bastille... tous les bistrots étalés. . Mais ils valent à eux tous cent mille Bastilles!... pour la férule et l'exploitation. Le peuple souverain?...
Mais depuis 93 il souveraine dans un alambic! Il en est jamais sorti! Il n'en sortira jamais!... Pas une mesure, un Edit, un simple arrêt, depuis ce fameux souverain jour, qui n'ait été médité, promulgué, conçu à la gloire, pour la gloire, pour l'impunité, l'insolence, pour la parfaite prospérité du proliférant bistrot! Nous avons tout vu, le comble! Nous avons vu un ministre, et de l'Instruction Publique, pousser par circulaires formelles à la consommation du vin dans toutes les écoles de France!... Peur que l'on y pense un peu moins... Presser les instituteurs, par très vives exhortations, à se donner entièrement dans leur classe à l'éloge de la vinasse, la fabrication de plus nombreux épileptiques en somme par ordre souverain.
O le gouvernement du peuple pour le peuple, par la vinasse!
O l'Hydre de l'ignorance!...
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Par Cruella le 15 Mai 2024 à 09:50
Le Juif, quand on lui demande de voir un petit peu ses papiers, se déclare instantanément vieil auvergnat laborieux, bigouden fidèle, corse loyal, tourangeau, landais, etc... Le picrate lui aussi ne possède que des vertus, des références unanimement, suprêmement favorables une bonne fois pour toutes, c'est entendu! promulgué à milliards annuels... Le pinard n'est jamais autre chose qu'inoffensif, anti-rachitique, hygiénique, gaulois, digestif, antiseptique, fortifiant, carburant de l'Intelligence (le peuple le plus spirituel du monde) et panacée au surplus de "longue vie". Mais la mortalité française demeure malgré tout l'une des plus élevées du monde...
France, 15.7 (pour 100), Angleterre, 11.7, Allemagne; 11.8, Belgique, 12, Espagne, 15.6, Irlande, 14.4, Grèce, 15.5, Suède, 11.2, Suisse,12.1, Norvège, 10.2, Australie, 9.5, Nouvelle-Zélande, 8.2 .
A cet égard, comme à tous les égards ou presque, en dépit des lourds tombereaux d'écoeurantes flagorneries que nous déverse à pleines colonnes poubelles et chaque matin notre jolie presse démagogique, la France demeure un des pays les plus arriérés du monde... Chiffres en
mains. Rendons cependant justice au pinard. Rien ne saurait le remplacer pour pousser les masses au crime et à la guerre, les abrutir au degré voulu. L'anesthésique moral le plus complet, le plus économique qu'on connaisse, c est le vin! et de première force... "Un coup de clairon! et ils voleront tous aux frontières! " prétend Gutman. Il a raison Gutman, il voit juste. "Ayant bu! " ajoutons! Le clairon ne suffit pas. Le coeur au ventre c'est " vin à discrétion "... Le clairon cocoricant c est la musique, l'âme même du vin...
Les élections de la gauche je trouve se font encore plus au bistrot que les élections de la droite, sans parti pris. Jamais les bistrots n'ont
connu d'affluences comparables à celle que leur vaut "les 40 heures ". Le peuple ? Jamais tant de loisirs, Jamais tant picolé... Jamais les
affaires de la limonade n'ont été si encourageantes, jamais les grands apéritifs n'ont connu pareille prospérité. Regardez un peu leur matériel
?... Quel luxe!... Un perpétuel 14 juillet... La démocratie déborde... Jamais la publicité du vin (et dérivés vins cuits etc.) ne fut tellement effrontée, tellement insolente... L'outrecuidance des grands nectars est à son comble... Que risquent-ils ?... Rien!... Les 350.000 bistrots de France ont tout remplacé dans la vie des masses... l'église, les chants, les danses populaires, les légendes, etc... Le petit peuple, la foule la plus pauvre, est amenée, drainée au zinc comme le veau à l'abreuvoir, machinalement, la première station avant l'abattoir. Le peuple ne ressent plus le besoin d'autres choses que de nouveaux bistrots, "plus de loisirs et plus de bistrots " .
Les bibliothèques ?... Demandez un peu, si davantage on les fréquente depuis les 40 heures... On lui a ôté même jusqu'à l'idée, au peuple,
l'imagination, qu'il pourrait peut-être s'évader, se "transposer" d'une autre manière qu'en se saoûlant... chroniquement... Le centre spirituel,
le foyer d'esprit, d'attraction, la puissance, la "catalyse" du village n'est plus l'église, ni le château ni la mairie même... C'est le bistrot, bel et bien... Quel gain spirituel!... et dans les villes le bistrot plus le cinéma... le " complet " de ahurissement moderne. Les 350.000 bistrots de France, garde-chiourmes flatteurs et mielleux du petit peuple ouvrier sont 350.000 fois plus redoutables, inamovibles, méticuleux que tous les autres tyrans évidents, précédents, patrons, châtelains, curés, bourriques... Aucune comparaison... Ils saignent et sonnent le peuple à la base... Ils le livrent aux Juifs, aux généraux le peuple, moulu. roteur, titubant, dégueulasse, parfaitement consentant à toutes les galères, à tous les massacres...
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Par Cruella le 11 Mai 2024 à 10:00
Voyez qu'en France, on sait encore se distraire... Sur la question du casse-poitrine, il est donc absolument officiel, tangible, palpable, que le Français ne craint personne... Il se démontre au chronomètre à plein comptoir, à la bonbonne, à la péniche, aux litres, au récipient qu'on
désire, l'universel champion de vinasse!... foudroyant, imbattable et de très loin!... Lecteur piteux, c'est possible, mais insurpassable
alcoolique! Il n'est même pas question de rivaliser... Qui veut le verre ? Même l'Anglais qu'on cite parfois comme un fier ivrogne, à l'épreuve, n'existe pas. Quel bluff! quelle prétention! C'est bien simple, aucun nordique, aucun nègre, aucun sauvage, aucun civilisé non plus n'approche et de très loin le Français, pour la rapidité, la capacité de pompage vinassier. Seule la France pourrait battre ses propres records de vinasse, ses descentes de picton. Ce sont d'ailleurs à peu près les seuls records qu'elle puisse battre. Mais dans cette épreuve "Hors Concours", "Prima Classa". Aux autres sports, de muscles, de souffle, le Français se ménage, il se réserve... Il ne se montre jamais très ardent, très en train. Lui si brillant dans la vie, sur les stades il ne brille plus... Que le Français haïsse la lecture ? Cela peut fort bien se comprendre, se défendre et même devenir à tout prendre une aimable originalité... Qu'il préfère le bavardage aux textes, la rhétorique labiale aux déchiffrages de paragraphes... Et
pourquoi pas ?. . Où est le mal ? Mais qu'il se démontre, sans faiblir jamais, en toute occasion, où on le met en ligne, et depuis 50 ans bientôt, aussi platement, infailliblement galette, infantile, en n'importe quel sport, la rigolade des stades de l'univers à vrai dire, ceci pour être une originalité aussi, n'est pas moins tenacement humiliant. Cette énorme, infinie quantité de vestes sportives trouble un peu l'assurance, la naturelle jactance du peuple français. Pour une fois devant toutes ces défaites aussi régulières qu'imposantes, qu'immanquables, ses maîtres ergotent un petit peu, les masses se méfient... se troublent... méditent... Mais pourquoi méditer ?... La réponse est là, tout à fait éclatante, elle coule à pleins bords, si j'ose dire: Vinasse!...
Ce préambule n'est pas vain, il nous met en présence d'un autre petit roi de France, monarque à son tour, secondaire, suzerain, vizir fidèle du grand roi juif... vieux preux lui-même, chevronné, de l'abrutissement des masses, par le zinc, le bavardage et le jus de grappe à la chimie... Le Roi Bistrot, possède, lui aussi, tous les droits, par accord politique absolument intangible, à l'immunité complète, au silence total, à tous les encouragements, pour l'exercice de son formidable trafic d'empoisonneur et d'assassin... Rien ne peut le troubler: la presse, la radio, les Préfets, l'Etat entier lui sont, pour son négoce, entièrement soumis, à ses ordres, empressés, effrénés à mieux e servir... Les deux lions rugissants de la publicité contemporaine au-dessus de tous les autres fifres, sont Cinéma l'abrutisseur et Vinico l'empoisonneur. Effleurer les abracadabrants privilèges de la vinasse, voici le seul crime en France rapidement châtié... La France est entièrement vendue, foie, nerfs, cerveau, rognons aux grands intérêts vinicoles. Le vin poison national!... Le bistrot souille, endort, assassine, putréfie aussi sûrement la race française que l'opium a
pourri, liquidé complètement la race chinoise... le haschisch les Perses, la coca les Aztèques...
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