INFORMATION IMPORTANTE !
L'UE a donné l'autorisation, à partir du 24 janvier 2023, de mélanger des insectes dans les produits alimentaires !
Il n'y a qu'une seule obligation d'étiquetage signalant que le produit contient :
1/ ver de farine
2/ tenebrio molitor
3/ locusta migratoria.
4/ acheta domesticus.
*DIFFUSEZ L'INFORMATION*

Les consommateurs devront savoir ce que signifient les 3 derniers noms et vérifier par eux-mêmes s'ils pourraient avoir une réaction allergique ( encore que ne pas en avoir n’est pas une indication d’innocuité…).
La Commission européenne considère qu'il n'y a pas besoin de réglementation d'étiquetage spécifique pour les réactions allergiques possibles !

Responsable de l'autorisation :
Ursula VON DER LEYEN

Le site internet de la représentation en France de la Commission européenne précise que le grillon domestique est le troisième insecte autorisé à être introduit dans notre alimentation, après le ver de farine et le criquet migrateur

Voici une liste de produits pouvant désormais être commercialisés avec les « Acheta domesticus » :
- Pain à grains multiples
- rouleaux multi céréales
- crackers et gressins
- Serrures de céréales
- Prémélanges secs pour produits de boulangerie
- Biscuits
- produits de pâte secs fourrés et non fourrés
- Sauces
- produits transformés à base de pommes de terre
- Plats à base de légumineuses et de légumes
- Pizza
- Produits généraux de pâtes et lait en poudre
- Substituts de viande (alternatives végétariennes à la viande, comme si les insectes n’étaient pas des animaux !)
-Soupes et concentré de soupe, soupe en poudre
- snacks à base de farine de maïs
- Boissons comme la bière
- Produits chocolatés, noix et graines oléagineuses
- Snacks (hors chips) & préparations de viande etc…
Combien de temps allons-nous encore subir la corruption de l'UE ?

Attention : les insectes sont consommés par de nombreux mammifères, et bien que certaines parties ne soient pas digestibles, cela ne démontre pas forcément leur dangerosité pour les humains, soulignent des experts à l'AFP.
Mareike Janiak, auteure d'un article scientifique sur les gènes des chitinases (les enzymes dégradant la chitine) publié en 2018 dans Molecular Biology and Evolution, a expliqué à l'AFP que même si la chitine n'était pas intégralement digestible, cela ne la rendait pas pour autant dangereuse pour la santé.
"Les humains, comme de nombreux autres primates, possèdent un gène fonctionnel pour cette enzyme, il est donc possible que nous puissions réellement traiter la chitine dans nos intestins. Ceci dit, même si nous ne le pouvions pas, la chitine passerait simplement à travers notre organisme, tout comme la cellulose du céleri et d'autres légumes", a-t-elle assuré en Août 2022…

Une étude publiée en 2020 dans le NFS Journal au sujet des insectes comestibles conclut :
"La littérature scientifique sur les aspects sanitaires des insectes comestibles est limitée. Il est donc nécessaire de mener davantage de recherches visant à comprendre les risques liés à leur consommation afin de préserver la santé des consommateurs"…