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Par Cruella dans Journal 1959-1971 le 18 Juillet 2024 à 10:00...dormir. Je suis aveugle à la réalité et aux autres. Voici la conclusion définitive. Je sais que Dieu n'existe pas (c'est un problème qui n'existe pas), il n'y a pas de vie future, il n'y a rien, je ne m'interdis rien, pourtant je ne fais rien. C'est ma seule possibilité de vivre. Une fois,...
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Par Cruella dans Pour le plaisir des yeux, mais pas seulement... le 31 Août 2022 à 12:00
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Par Cruella dans Citation du jour le 29 Septembre 2021 à 11:00Nous voudrions faire observer que tout ce qui porte un nom existe: on peut prononcer des paroles en vain, mais ces paroles en elles-mêmes ne sauraient être vaines, et le langage a toujours un sens. Levi
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Par Cruella dans Citation du jour le 21 Septembre 2021 à 09:35A notre époque, où l'on professe que pour toutes les destinations il existe un raccourci, la plus grande leçon à apprendre c'est que la route la plus malaisée est en fin de compte la plus facile. Henry Miller *
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Par Cruella dans La tendresse, c'est seulement de la cruauté qui se repose le 14 Août 2021 à 10:20...elle a fondu sur moi, elle se coule en moi, j'en suis plein. - Ce n'est rien: la Chose, c'est moi. L'existence, libérée, dégagée, reflue sur moi. J'existe. J'existe. C'est doux, si doux, si lent. Et léger: on dirait que ça tient en l'air tout seul. Ça remue. Ce sont des effleurements...
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...tuer son âme... ..... MAIS ..... Elle est faite en dentelle et en plomb ... Héritière d'un trésor qui n'existe pas encore Elle ne craint pas les ténèbres ... Sa nature est faite pour brûler et renaitre Son coeur est incandescent Il dépassera toutes les haines dont il est l'objet parce...
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Par Cruella dans Citation du jour le 11 Mars 2014 à 18:36Théoriquement, il existe une possibilité de bonheur parfait : croire à ce qu’il y a d’indestructible en soi et ne pas s’efforcer de l’atteindre. Franz Kafka
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Par Cruella dans Citation du jour le 16 Août 2012 à 21:13Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et non plus s'il existe une différence entre rêver et vivre. Jorge Luis Borges *