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Par Cruella le 19 Décembre 2021 à 09:10
La France est une colonie juive, sans insurrection possible sans discussion, ni murmure... Il faudrait pour nous libérer un véritable Sinn-Finn... un instinct de race implacable... Mais nous n'avons pas la "classe" des Sinn Finners!... Beaucoup trop enfiotés déjà avinés, avilis, efféminés, enjuivés, maçonnisés, mufflisés de toutes les manières. Des chancres pourris d'alcool et toujours plus avides rongeurs rongés. Atroce! ... des petites fistules bien honteuses!... Pour vaincre, s'affranchir du Juif, il faudrait pouvoir, avant tout lui annoncer en plein pif: "Toi, ton puant, pourri pognon, tu [312] peux te le filer dans la fente, et puis maintenant trisse! infect! ou je te bute!..." Qui c'est qui peut causer comme ça?... c'est pas notre cheptel... Ivrogne, mégotier, resquilleur, vénal, imbécile, et survendu! ... Aucune chance! Toutes les chouanneries d'ailleurs en France échouent piteusement!... Grand malheur!... Toute malédiction à celui que l'envie peut prendre de s'occuper des Français!... relisez, relisez donc, un petit peu les plus effarantes histoires des Dupleix... des La Salle... des Montcalm... vous serez pour toujours édifiés!... Quel Peuple porte, à sa honte, d'aussi prodigieuses pages de vertigineuse muflerie?... Rien à dire, le sort en est jeté! Et puis la guerre viendra toute seule, justicière, à l'heure de "l'Intelligence Service"... et puis nous aurons trois fronts à garnir... et puis tous les Juifs planqués à l'arrière... chez les généraux francs-maçons... à la présidence du Conseil... Je vais te dire, tiens, moi, Ferdinand, le secret des astres. La Diplomatie c'est jamais, en somme, à l'abri des mots spécieux, des petites ristournes de formules, que l'Art, la Manière de préparer le partage, le démembrement, le hachis de l'Etat le plus pourri d'une époque, d'un continent... pour la curée générale... la pâtée des plus voraces... Après la Pologne, la Turquie, l'Autriche... C'est à présent notre tour... C'est simple... c'est normal... Les Juifs décidément, faut qu'on y passe!... Pourquoi tous ces pauvres chichis?... Veaux vous êtes?... Veaux?... oui ou flûte?... Résister qui?... Résister quoi?... On a jamais vu des veaux "objecteurs de conscience"?... Veux-tu te faire bien buter salope? ... Toi le premier! toi tout d'abord!... Tu vas voir un peu les martyrs! Comment ils vont se mettre en quart... comment ils vont rappliquer!... T'as chié à présent sur tout le monde! tu vas payer! bulleux crabe!... Tu peux plus compter sur personne... T'es tout seul!... C'est méchant, tu sais, les martyrs... Tu vas te faire drôlement étendre... Et puis t'iras même pas au ciel... parce que j'aime mieux te prévenir tout de suite, le Bon Dieu est juif. T'excèdes tout le monde... tu vas gagner quoi?... Dans ce grand latin pays, tout, parfaitement tout est à vendre, retiens ceci, et d'ailleurs parfaitement vendu... La bourgeoisie tout en gueuletons, cupide, crétine et cancaneuse, est à foutre en avant, derrière!... Elle sait plus où tendre ses vieilles miches pour se faire enculer quand même!... toujours!... davantage!... se faire fourrer en sauvette par la première bite qui régale!... la plus offrante... Elle est propice comme un vieux fiacre, elle a fourgué tout aux youtres, tout ce qu'elle savait, toutes les [313] clefs de la ville et des champs... Ses fils... ses filles... ses fausses dents... au plus offrant!... La noblesse, cette vieille imposture, se roule et quémande des sursis... Sous tous les lits de Juifs on en trouve... La noblesse c'est un lupanar pour youtres... une basse tribu sous-juive, quelque chose comme des Ouednails toujours à la traîne des Bat d'Af. Les nobles ils suivent les Juifs de même pour manger... pour tenir... La noblesse c'est la vraie capote des youtres à travers les âges, tellement les youtres s'en sont filé des vierges de nobles sur le panais. La noblesse française a sucé plus de foutre nègre qu'il n'en faut pour noyer la plaine d'Azincourt... Ce sont les gloutons du prépuce. Quant aux Rois de France, pour tout bien dire, je trouve qu',ils ont des drôles de nez... Ferdinand! ... des vraiment drôles de nez "bourbons "... Vers le Trois ou Quatrième siècle, maman la Reine, quelque part... a bien dû se faire régaler, un tout petit peu... par quelque joli Commissaire... Judéo-chrétien... bolchévique d'alors. Crépu... ne trouves-tu pas Ferdinand?... qu'ils ont vraiment des drôles de nez?... qu'ils ont un peu l'air abyssin, nos grand rois de France? Qu'ils sont tous un peu Tafaresques?... Regarde Henri IV
"Bagatelles pour un massacre" *
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Par Cruella le 5 Décembre 2021 à 18:00
Admirez à présent, le Juif honnête homme, en train de nous travailler à "l'estime réciproque", voyez comme il est insidieux, patelin, pseudoscrupuleux, inoffensif et philosophique (Extrait du Forum, grand périodique américain, octobre 1937.)
Enfants de la race martyre par Maurice M. Feuerlicht
"J'ai appris très tôt dans ma vie que j'étais Juif et qu'il y avait une "question juive". Par la suite, je devais apprendre en plus que les Juifs, en tant que groupe, ne se conduisent pas comme dés gens normaux, c'est-à-dire pas comme la majorité des citoyens.
"Fils de rabbin, issu d'une famille israélite typique, je ne saurais guère nourrir de préjugés contre les Juifs et je n'ai pas du tout envie de me cacher d'en être un. Mais que personne ait jamais eu le sentiment inné de sa qualité de juif, je ne le crois pas. C'est là, un sentiment qu'on inculque aux petits Juifs à peu près en même temps qu'on leur apprend à parler et tout enseignement religieux tendra par la suite, à ne pas leur laisser oublier qu'ils sont différents des Gentils. Mon plus ancien souvenir a trait à la célébration de la "Fête des Lumières" (Chanukah). Assis aux pieds de mon père, comme ce fut le cas d'innombrables autres petits Juifs, je l'écoute raconter la palpitante histoire [256] de Judas Macchabée et de ses vaillants soldats qui risquèrent leurs vies pour leur religion. J'allume des bougies, je chante:
"Enfants de la race martyre,
Libres ou dans les fers,
Eveillez l'écho de vos chants,
Où que vous soyez dispersés sur terre "Ce thème des "enfants de la race martyre", on m'en a si fort battu et rebattu les oreilles que ma sensibilité en a été très vite et très profondément pénétrée. "Peuple opprimé", "martyre", "préjugé", "persécution": voici presque les premiers mots dont j'ai compris le sens. Si les petits Gentils m'appelaient Juif, on avait grand soin de m'expliquer à la maison qu'ils avaient voulu m'insulter et que le monde n'aime pas les Juifs. L'instruction que je recevais chez moi ne me permettait jamais d'oublier le passé. Chaque petit Juif, doit passer à son tour par toutes les persécutions qu'a pu subir son peuple depuis 3.000 ans.
"Après la "Fête des Lumières", je célébrai la Pâque et détestai de toute la force de mon coeur d'enfant le pharaon qui avait persécuté les Juifs. De crainte que j'oublie la fuite précipitée à travers la Mer Rouge, on me fit manger du pain sans levain — évocateur d'épreuves vieilles de 2.000 ans A l'école du dimanche, chez moi, là où les autres enfants écoutaient des contes de fées, ou jouaient avec les soldats de plomb, j'apprenais les atrocités de l'inquisition espagnole, l'emprisonnement des Juifs dans les enceintes réservées et des ghettos."Il en résulta pour moi, comme pour les autres enfants juifs un complexe de persécuté qui s'accusa à mesure que je grandissais. Je n'avais pas appris grand'chose des principes religieux du judaïsme, mais je n'ignorais rien de l'affaire Dreyfus, du Ku-Klux-Klan, de l'exclusivisme de tels clubs, de tels hôtels, des "quotas" universitaires. C'est un tel ensemble de connaissances qui, plus que tout autre chose, donne à un Juif d'aujourd'hui le sentiment d'être juif, car nous avons beaucoup plus conscience des torts qu'on nous a fait subir que de notre religion. Notre maladie de la persécution pervertit nos rapports avec notre entourage. Le Juif qui rate un examen ou une affaire, qui tente en vain de trouver une situation ou d'entrer dans un club s'écriera: "C'est de la prévention, c'est parce que je suis juif!"Il ne s'en trouvera pas beaucoup parmi nous pour avoir le courage de reconnaître qu'il pourrait bien y avoir là-dessous d'autres raisons et toutes personnelles. Certes l'homme qui échoue cherche partout la cause de son échec excepté chez lui. C'est un trait général de la nature humaine. Mais nous nous éloignons de la norme, nous autres Juifs, sur ce point aussi parce que nous avons fait de ce penchant une habitude d'esprit à laquelle nous avons constamment recours pour nous consoler de tous les déboires.
"Dans l'important établissement universitaire où j'ai achevé mes études, 15% des étudiants étaient des Juifs, plusieurs membres distingués du corps enseignant l'étaient aussi. On rien reprochait pas moins à ce collège d'écarter systématiquement les Juifs, et un nombre incroyable de parents criaient non moins incroyablement à l'antisémitisme parce que leurs fils n'avaient pas réussi à faire partie d'une association, d'une équipe, avaient été refusés à un examen, n'avaient pas obtenu une distinction. Moi qui avais affaire à eux tous les jours, je savais qu'il s'agissait de garçons mal élevés, gâtés, paresseux, perpétuellement dressés sur leurs ergots, qu'on eût tenus pour tout aussi indésirables s'ils avaient été protestants ou bouddhistes.
"On pourrait citer un nombre infini d'exemples de ce genre s'appliquant à tous les âges, à tous les types d'Israélites. Car si, en de nombreux cas, l'antisémitisme entre réellement enjeu, il rien demeure pas moins que, trop souvent, le prétendu préjugé raciste est, en fait, un légitime réflexe de défense dirigé contre un individu. Bon nombre de Gentils sont équitables, enclins à juger les gens selon leurs mérites personnels. C'est le Juif qui provoque les malentendus avec sa susceptibilité toujours en éveil. "Une personne affligée de la maladie de la persécution est toujours habitée par l'aveugle désir de rendre coup pour coup. La présence d'un Gentil à une cérémonie juive est sévèrement critiquée par les Juifs qui brûlent le plus d'être reçus chez les Gentils. Qu'un Juif commette le crime entre tous haïssable de prendre femme chez les Gentils, et il sentira toute la force du préjugé que les Juifs ont eux-mêmes élevé autour d'eux
"Certaines conséquences de ce complexe de martyrisé sont à longue portée et causent, en tout cas, un préjudice irrémédiable à l'individu juif. Elles entament jusqu'aux mieux disposés des Gentils. Juif se montrant en effet d'une sensibilité morbide au sujet de son judaïsme, les Gentils se retiennent de faire une critique éclairée de la question, de peur d'être accusés de donner dans le travers antisémite. Et ainsi le Juif se voit privé du bénéfice qu'il retirerait d'un examen loyal de différences et de préjugés qui existent réellement."Le côté tout à fait tragique de cette situation naît de l'attitude inconséquente du Juif — lequel se plaint amèrement qu'on voie en lui en premier lieu le Juif et non l'individu. Il oublie que son premier mouvement à lui est toujours d'un Juif. Les journaux publient-ils qu'Isaac Rubens, 26 ans, a cambriolé la nuit dernière l'épicerie Smith ? Tous les Juifs de la ville se dressent et crient à la diffamation. Mais qu'Albert Einstein révolutionne le monde des sciences par ses théories, et les mêmes Juifs rayonnent de satisfaction en lisant un article sur "le grand savant israélite». Il faudrait pourtant que nous nous décidions à choisir ce que nous attendons du monde ?
Qu'il nous tienne pour des individus ou pour des Juifs ?
"Je crois que nous ne serons jamais des individus normaux tant que nous resterons en proie à notre complexe de martyrisés, tant que nous nous déroberons à la tâche de notre perfectionnement individuel, tant que nous trouverons plus commode de blâmer les autres de nos propres défauts."
Voyez-vous ce bénin! Cette petite ficelle! Il écrit comme Mr. Duhamel, il pense comme Mr. Duhamel.
Après l'eau de Rose, les avertissements..."Bagatelles pour un massacre" *
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Par Cruella le 19 Novembre 2021 à 09:20
Un Juif est composé de 85% de culot et de 15 % de vide !... L'Aryen n'a aucun culot... Il n'est brave qu'à la guerre... timide dans la vie... mouton... On lui fait honte ? il a honte ! immédiatement!... Il a honte de sa propre race !... On lui fait croire tout ce qu'on veut... C'est-à-dire tout ce que le Juif veut... Les Juifs, eux, n'ont pas honte du tout de leur race juive, tout au contraire, nom de Dieu ! ... ni de la circoncision ! S'ils avaient éprouvé la moindre honte d'être Juif, Il y a belle lurette, au cours des siècles, qu'ils se seraient fondus dans la masse... qu'ils n'existeraient plus du tout en tant que Juifs et racistes juifs... Leur juiverie n'est plus leur tare, c'est tout leur orgueil au contraire, leur culot suprêmissime, leur hystérie.,. leur religion, leur bagout, leur raison d'être, leur tyrannie, tout l'arsenal des fantastiques privilèges juifs... Seigneurs du monde juif, ils entendent bien demeurer seigneurs du monde juif et puis despotes, de plus en plus... Le Mythe des Races », c'est pour nous le mensonge préjudicieux ! pour nous le foutre dans le cul ! que ça nous ouvre bien grandes les fesses ! pendant qu'ils nous mettent et se régalent. Il faut être cul comme un Aryen pour ne pas avoir pigé ces caractéristiques pourtant extrêmement évidentes, de la juiverie qui nous possède, qui nous cerne, nous écrase, et nous saigne de toutes les façons possibles, inimaginables... Le Juif possède le goye jusqu'à la racine des entrailles, jusqu'aux vertèbres, immanquablement, sans effort, par la vanité, par la muflerie... Il gagne à tous les coups. L'Aryen, si simple, si fruste, le Juif l'a rendu snob, et soi-disant critique, dressé au dénigrement, à la méfiance envers ses frères de race, à a destruction de ses frères de race automatiquement et jamais à la Critique » de la fantasmagorie juive. L'Aryen n'est plus que le singe du Juif. Il fait des grimaces sur commande. De nos jours, le goye le plus obtus, se cabre, se révolte, s'il pressent qu'il pourrait peut-être conserver au fond de sa musette quelques petits préjugés de race... Il s'inquiète, il s'angoisse de n'être pas suffisamment à la page, moderne, libéral, international, cosy-corner, démocratique, smoking, politiquement affranchi, c'est-à-dire pratiquement parlant. assez bien orienté assez profondément, tenacement, par les youtres possédé, tétaré, loti, fourgué, transpiré, négrifié dans chaque poil des sourcils chaque goutte de sperme, chaque morpion, de la tunique de chaque viscère à la granule de son pain... de la coiffe de son calot à la douille qui va le transpercer... jamais assez glué, conchié par les Juifs... pour les Juifs... S'il se montre un petit peu curieux, un petit peu soupçonneux, on le rappelle vite à l'ordre, on lui enseigne promptement, on lui fait tout de suite comprendre, rabâcher, pour qu'il aille répéter partout (bon jobard perroquet d'Aryen) la bonne leçon : Qu'on ne peut rêver plus élevé, plus éminent, plus parfait au monde qu'un savant juif ! un ministre juif une vedette juive ! une chanson juive ! un peintre juif ! un metteur en scène juif ! une couturière juive ! un financier juif ! un architecte juif ! un médecin juif etc. ! ... Qu'ils surpassent tout ces Juifs... Ronflements de tambours ! Race élue ! suprêmement douée ! suppriment, que dis-je ? effacent ! surclassent au delà de toute comparaison ! réciproque ou conteste ! laissent à l'infini derrière eux, pitoyables, mineux, la broutille, le rebut des castes indigènes ! ces quarterons de bafouilleurs, d'écervelés aigris, moisis prétentieux, racaille puérile... embarrassants même à regarder ! tellement ils sont moches à voir, honteux ces ignares rivaux, prétendant grotesques hi ! hi ! h ! cannibales, cancaniers, baladins, pitres morveux et tristes, engeances salement dégénérées, rebut d-âme, caste soumise à laquelle il ne faut plus jamais se vanter d'avoir appartenu... Honte des Hontes ! Souillure ! ne pas avoir quelques gouttes de sang juif c'est être de nos jours intouchable » plus ou moins. Ceux qui exercent encore par-ci par-là, leur petite malice, qui gardent encore un semblant d'existence, ne doivent ce sursis d'extinction qu'à la grande mansuétude des pouvoirs juifs, sursis d'ailleurs à tout instant révocable... S'il se tient peinard, bien soumis, s'il ne sort pas de ses bleds, du fond de ses campagnes, ce "minimisé", fragile rebut, "spécimen intellectuel blanc", on ne lui dira pas grand'chose : maître d'école, rebouteux, garde champêtre, garde mobile, barbouilleur, tâcheron... On le laissera peut-être encore un peu respirer... Mais s'il devient prétentieux, s'il parle de se rendre en ville, alors Tudieu ! malheur à lui ! ... Tant pis pour lui ! ... L'écrasement ! ... Larve ! ... Dans un monde juif, le "blanc" ne peut être que manuel ou soldat, rien de plus... L'intellectuel, l'artiste, le "chef doit être Juif, toujours. La sélection est bien faite, le barrage fonctionne admirablement, impitoyablement... Tous les journaux de droite, ou de gauche, sont tous si parfaitement enjuivés, tellement tributaires des juifs, que s'ils pipaient d'un traître mot sur ce qui se passe véritablement dans les commandes de notre pays colonial, dans le fond de nos affaires, il ne leur resterait pas une syllabe, pas un caractère pour la mise en page, du jour au lendemain.
"Bagatelles pour un massacre" *
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Par Cruella le 17 Janvier 2021 à 12:56
Question de "littérature" je ne me donne donc pas pour modèle, nenni ! On m'a énormément copié, certes, sans rien dire ! Rien divulguer, c'était fatal... Ici et là, un peu partout et dans bien d'autres pays... Ceux qui me copient m'abominent forcément, m'éreintent dès qu'ils peuvent, plus que tous les autres à la fois. Je suis le papa de bien des petits enfants, à maigres couillettes, qui font à mes frais les petites farauds, les petits inspirés, les petits fiévreux prophètes, d'une petite "sauterie" dans une autre à droite, au centre et surtout à gauche. Je ne veux pas les déranger, je suis discret par nature, les papas savent bien qu'il faut s'effacer, que c'est le plaisir des enfants de faire leurs petits crâneurs... Je veux pas les déranger, m'amener en trouble-fête... J'ai même pour eux, je l'avoue, une petite tendresse bien compréhensible... Je voudrais pouvoir leur passer un petit peu de glycérophosphate, qu'ils se renforcent un peu les os... une armature plus solide... En général, ils sont mous, ils puent le lycée, le babillage, la branlette, le cœur leur manque. Ils me font de la peine à regarder... Pour un peu je les renierais. C'est malheureux, en fait, en somme, qu'ils aient pas plutôt continué à écrire poli "goncourtien"...
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Par Cruella le 3 Janvier 2021 à 11:28
« N'importe quel trou du cul peut devenir, bien enculé de publicité, un immense n'importe quoi, l'objet d'un culte, une suprêmissime vedette, un criminel horriblissime, une léviathane catastrophe, un film dantesque, une pâte à rasoir cosmique, un transatlantique qui fait déborder la mer, un apéritif qui fait tourner la terre, le plus grand Lépidaure des Âges, le Président du conseil qui bouffe les casquettes vivantes. Plus c'est cul et creux, mieux ça porte. »
Louis-Ferdinand Céline - Bagatelles pour un massacre (1937) *
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