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    "Tous les peuples de la Terre seront enchaînés au trône d'Israël, à la suite d'une guerre mondiale atroce où les trois quarts des populations seront décimées. Il faudra trois cents ânesses pour porter les clefs du Trésor."
    Le Talmud.


    Mais t'es antisémite ma vache ! C'est vilain ! C'est un préjugé ! --J'ai rien de spécial contre les Juifs en tant que juifs, je veux dire simplement truands comme tout le monde, bipèdes à la quête de leur soupe... Ils me gênent pas du tout. Un Juif ça vaut peut-être un Breton, sur le tas, à égalité, un Auvergnat, un franc-canaque, un "enfant de Marie"... C'est possible... Mais c'est contre le racisme juif que je me révolte, que je suis méchant, que je bouille, ça jusqu'au tréfonds de mon benouze !... Je vocifère ! Je tonitrue ! Ils hurlent bien eux aux racistes ! Ils arrêtent jamais ! aux abominables pogroms ! aux persécutions séculaires ! C'est leur alibi gigantesque ! C'est la grande tarte ! leur crème ! On me retirera pas du tronc qu'ils ont dû drôlement les chercher les persécutions ! foutre bite ! Si j'en crois mes propres carreaux ! S'ils avaient fait moins les zouaves sur toute l'étendue de la planète, s'ils avaient moins fait chier l'homme ils auraient peut-être pas dérouillé !... Ceux qui les ont un peu pendus, ils devaient bien avoir des raisons... On avait dû les mettre en garde ces youtres ! User, lasser bien des patiences... ça vient pas tout seul un pogrom !... C'est un grand succès dans son genre un pogrom, une éclosion de quelque chose... C'est pas bien humainement croyable que les autres ils soient tous uniquement fumiers... Ça serait trop joli...

    Il faut bien observer qu'en France personne leur a jamais fait de mal... Ils ont prospéré tant et mieux, ils tiennent tout le haut du pavé... On a
    été avec eux libéraux, jusqu'au caleçon, regardez pourtant comme ils se tiennent !... Une bande de rats vociféroces, intraitables, implacables
    ennemis... C'est un bidon phénoménal ce grand martyr de la race juive... qu'on agite au-dessus des chrétiens... toujours jobards et
    dindonnants, enthousiastes cocus... deux millions de martyrs rien qu'en France, ça fait une force considérable ! C'est invincible à vrai dire...
    Une fois bien grimpés sur nos os, une fois ramollis nos bons coeurs, une fois bien sûrs qu'ils nous possèdent jusqu'aux derniers
    leucoblastes, alors ils se transforment en despotes, les pires arrogants culottés qu'on a jamais vus dans l'Histoire...
    Napoléon disait toujours : "La neutralité pour moi, c'est le désarmement des autres". Le principe est excellent. Les Juifs ils peuvent dire tout de même : "Le communisme pour nous, c'est l'asservissement de tous les autres"... En fait de victimes regardez donc les Juifs un peu à travers les âges... à travers tant et tant de guerres (une si petite population) ils s'en sont pas trop mal tirés, la preuve, ils ont jamais trop pâti, ils l'ont jamais
    eue si mauvaise que ces billes d'Aryens. Pleurer ça conserve !... Ils volent pas beaucoup aux combats. Ils suivent plutôt ça dans les
    Bourses ! Hécatombes ? Hécatombes ? Reports... Reports...Transferts...

    "Bagatelles pour un massacre" *

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  • Revenons à nos moutons, quand les Juifs auront passé, je disais, à travers mes petits ouvrages, qu'ils auront prélevé, soutiré tout ce qui peut leur porter profit je serai complètement démarqué, maquillé, revendu, vulgarisé sous leurs plumes, tout enjuivé malgré moi sous leurs noms, l'étiquette, de mille autres petits Juifs internationaux. encore plus pillards si possible, de plus en plus culottés, tous plus sournois, plus talentueux, plus géniaux les uns que les autres... Mon compte sera bon à moi personnellement, on me fera le coup de l'oubli total, de l'humiliation à outrance, de l'étouffement, de la minimisation par tous les moyens en vigueur, de l'effacement, de la négation, de l'extraction si possible...
    Le processus bouliphagique juif complet... D'ailleurs, il faut bien l'avouer... mes frères de race, dans l'occasion, se montreront, c'est certain, cent mille fois plus abjects que n'importe quels youtres... Ils n'ont pas je crois leurs pareils, dans le monde entier, pour dégueuler à plein fiel sur l'honnête travail. Le Français en particulier, se détache nettement de l'ensemble aryen, par sa haine irrémissible, inexpiable, pour tout ce qui, même de loin, lui rappelle quelque lyrisme. Alors, il ne se contient plus de fureur obscure ! le sang lui vient aux yeux... Quelle faillite... Quel abêtissement ! depuis les cavernes... Quelle déroute ! Quelle ignoble involution dans l'inertie et dans la chiasse... S'il nous voyaient les Cromagnons, ces graveurs sublimes ! quelle honte ! Rien n'est plus odieux de nos jours, humainement plus odieux, plus humiliant que de regarder un Français moderne dit lettré, dépiauter narquoisement un texte, un ouvrage... n'importe quelle bête à côté possède une allure noble, pathétique et profondément touchante. Mais regardez ce bravache grelot si indécent de suffisance, obscène de muflerie fanfaronne, d'outrecuidance butée, comme il est accablant... Que lui expliquer encore ? lui répondre ?... Il sait tout !... Il est incurable ! S'il a obtenu son bachot alors il n'est même plus approchable. Le paon n'est plus son cousin. Tout ce qui peut ressembler même vaguement à quelque intention poétique, lui devient une insulte personnelle... Ah ! mais ! Ah mais ! on se fout de lui ?... De ce bachot malheureux il sort mille fois plus sauvage, plus irrémédiable qu'un cafre... Il ne retrouve tout son entrain, toutes ses boutades, ses brosses à reluire, son figarotisme, toute sa tradition de
    pirouettes, sa frivolité piquante, toutes ses contorsions mignardes de cul surbouché qu'au moment de flatter le Juif, son sourcilleux maître.
    Du coup alors il se rend, il se donne, il se surpasse. Tout ce qui mijote de mielleux au fond de sa carcasse trouillotière lui jaillit sous la plume, d'un coup... Je suis tombé l'autre jour, dans le cours d'une revue d'art, sur les propos d'un de ces immondes. Il s'agissait de peinture, je cite à peu près, de mémoire :
    " Ah ! qu'il s'écriait ce fainéant, il y a belle lurette déjà, qu'en France tout au moins, nos critiques les plus éminents ne font plus aucune distinction dans leurs appréciations entre le artistes français nés sur notre sol, et nos chers artistes d'origine étrangère ! (lisez les Juifs) Paris leur doit tant et tant ! Le Rayonnement de Paris ! (juif). Puisqu'ils nous ont adoptés, eh bien nous les adoptons ! Ils deviennent également français ! (tu parles ! pas à Verdun !) au même titre que les autres ! Fraternité artistique d'abord ! par-dessus toutes les frontières !.,. Dans les Beaux-Arts plus de patrie ! Un seul coeur unanime pour tous ! Plus de préjugés raciaux ! Fraternité culturelle ! Qui songerait..., etc., etc. " Bien sûr ! Bien sûr ! Durandin ! Quand tes maîtres juifs, la prochaine fois, te donneront l'ordre de leur passer une fière languetouse dans le creux des miches... de bien mastiquer la fondante, de ne pas te faire mal à l'estomac, sûrement que tu trouveras encore d'autres élans plus fougueux si possible pour communiquer ton ivresse... Je t'entends d'ici... "Mais la merde juive mes chers frères, pour un palais bien français, mais c'est une dégustation sans pareille ! Un nectar inouï ! véritable ! une montée au ciel ! Ah ! le triste sire ! Ah ! plaignez le pauvre cafard ! Celui qui boude à l'écart ! Celui qui se retient ! Celui qui ne fonce pas d'autor ! dévorer l'adorable étron... l'exquis caca juif génial ! Mais c'est un retardé de l'esprit !... La divine fiente "deux fois française" ! adoptée ! Celle que l'on doit préférer toujours précieusement, dévotieusement à n'importe quel autre délice à
    n'importe quel céleste séjour ! "

    "Bagatelles pour un massacre"*

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    Nous avons mille fois, cent mille fois pire que les Fermiers Généraux. Nous avons les Juifs et les francs-maçons. Juifs ! Fixe ! Vous crevez pas l'imagination !
    Vous l'avez lourde et gaffeuse
    Je ne suis pas le cagoulard N°1
    Je ne suis pas payé par Goering.
    Ni par Musso ni par Tardieu !...
    Ni même par Mr. Rothschild ! (Tout est possible)
    Je ne suis pas payé par personne
    Je ne serai Jamais payer par personne.
    Je ne veux fonder aucun parti.
    Je ne veux pas monter sur l'estrade.
    Je ne veux dominer personne
    Je n'ai pas besoin d'argent.
    Je n'ai pas besoin de puissance.
    Vraiment je n'ai besoin de rien.
    Mais je suis chez moi, et les Juifs m'emmerdent
    Et leurs manigances me font chier
    Je le dis tout, à ma ma manière...
    Comme je le pense.
    Repos !
    Fixe !... Si on refoulait tous les Juifs, qu'on les renvoie
    En Palestine avec leurs caïds francs-maçons – puisqu'ils s'adorent -
    Nous cesserions d'être "Intouchables"
    Au pays des Emirs négrites...
    Nous n'aurions ni guerre, ni faillite...
    Avant longtemps... longtemps... longtemps...
    Et nous aurions beaucoup de place vides... immédiatement
    Tout de suite... les meilleurs en vérité...
    Nos enfants n'auraient plus besoin
    D'aller supplier, quémander...
    Aux Juifs... francs-maçons... et autres bouliphages Ténias...
    Vermines, "Fermier lombricaux" de la Viande commune...
    Quelques petits restes de pitance...
    L'aumône... la charité...
    Ils n'auraient plus besoin de supplier les Juifs
    De bien vouloir les laisser vivre...
    Subsister, sur leur propre territoire, encore un petit instant...
    Sursis ! Avant d'aller crever pour eux...
    Pour leurs diableries, leurs farces, leurs complexe...
    Leurs prodigieuses ventrées
    De pieuvre juives
    Dans les furieuses terribles batailles.
    Dans les grandes fournaises Kabalitiques.
    Repos !

    "Bagatelles pour un massacre"

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    Évidemment que les Juifs, au départ, avaient grand intérêt à choisir les auteurs judéo-anglo-saxons pour mener à bien leur standardisation mondiale littéraire, même tabac que pour les films. Identiques manigances. Une langue immensément répandue dans le monde, dont les livres se vendent déjà parfaitement sur leur marché d'origine. Voici l'immense atout de ces Juifs "standardistes". Prenez un auteur "moyen" français, qui se tire en France, dans de bonne passes, par exemple à 20 000 exemplaires, le même auteur, tout à fait moyen, mais englais, sur son propre marché anglo-saxon, se "tire", très normalement, automatiquement, à 200, 300 000 exemplaires.
    Pour cette simple raison que le marché judéo-anglo-saxon est infiniment potentiellement beaucoup plus riche que le marché miteux français (100 millions de lecteurs possibles au lieu de 2 à 3 millions). Parfaitement égaux en tous point de toute leur médiocrité, l'auteur anglais deviendra cependant un auteur "très connu", d'un "immense talent" par tirage décuplé, donc gavé de droits et de ristournes, tandis que le pauvre auteur français végète ou crève littéralement de misère (s'il n'est pas quelque part fonctionnaire de l'État, soit deux fois abruti).
    Il existe au théâtre quelques exceptions, mais ce sont forcément tous des Juifs. Ils misent sur tous les tableaux, les plus faisandés de l'Internationale juive : cinéma, police, radio-théâtre, politique, banque, ils se sont voués dès le prépuce au troc des moutures internationales. Mais quant au livre, l'avantage immense, incomparable, le privilège royal des anglo-saxons, c'est leur marché centuple du nôtre...
    C'est ainsi, par l'effet du "nombre" que les très insignifiants Lawrence, Huxley, Cohen, Wells, Cahen, Lewism, Shaw, Faulkner, Passos, etc, dont on nous bassine interminablement à longueur de Revues enthousiastes atteignent avec un peu de snobisme et de gonflage publicitaire des renommées fantastiques ! Des "Victor Hugo Prix unique" !... tout à fait marrantes quand on connaît les oiseaux. Les Juifs, pour nous les imposer, comptent énormément sur le snobisme et la jacasserie des petites cliques dites "d'avant-garde"... judéo-aristico-enculagaillentes-communisardes et ne se trompent guère. Tout ira parfaitement, nos miches en ont vu d'autres. Vive la liberté ! Non ! Vive la Liberia ! Avec quelque chose de Tartare ! En plus !

    "Bagatelles pour un Massacre" *

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    La dictature des larves est la plus étouffante, la plus soupçonneuse de toutes. Du moment où elles gouvernent tout peut se violer, s'engluer, se travestir, se trafiquer, se détruire, se prostituer... N'importe quelle croulante charognerie peut devenir à l'instant l'objet d'un culte, déclencher des typhons d'enthousiasme, ce n'est plus qu'une banale question de publicité, faible ou forte, de presse, de radio, c'est-à-dire en définitive, de politique et d'or.

    "Bagatelles pour un massacre" *

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