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  • ...grammairiens, rhétoriciens, philosophes, théologiens – accouraient de toutes parts. Les grammairiens, d’un âge encore tendre, se bousculaient les uns les autres et se lançaient des injures d’une voix de fausset. Leurs habits étaient le plus souvent sales, déchirés, et leurs poches...

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  • Un film de Georges Franju (1960) L'histoire : Victime d’un terrible accident de la route Christiane (Edith Scob), la fille du célèbre professeur Génessier (Pierre Brasseur), vit recluse dans le domaine familial. Un masque cache son visage atrocement défiguré. Afin de redonner un visage à sa...

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  • ...changer tout à coup, et il tomba tant de pluie, que les chemins creux où nous marchions étaient comme le lit d’un torrent. Nous enfoncions dans la bourbe jusqu’aux genoux, une couche épaisse de terre grasse s’était   attachée aux semelles de nos bottes, et par sa pesanteur ralentissait...

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  • ...autres, obscur et incertain. Quand sur la route de Toula, je m’arrête à suivre le travail des ouvriers d’une usine métallurgique, je pense nécessairement qu’à chacun de ces ouvriers, est assignée une tâche particulière, que son devoir est d’accomplir. Toute la nature éveille en moi...

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  • ...C’était, à douze ans, une petite fille de grâce pensive et fine, avec des yeux limpides et pâlis, d’un bleu frigide de source cachée dans les bois. De longs cheveux châtain foncé, comme un flot de soie légèrement ondée, tombaient sur ses grêles épaules. Sa bouche était jolie et...

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  • ...été réalisé par aucun. Le soir, un peu fatiguée, vous voulûtes vous asseoir devant un café neuf qui formait le coin d’un boulevard neuf, encore tout plein de gravois et montrant déjà glorieusement ses splendeurs inachevées. Le café étincelait. Le gaz lui-même y déployait toute...

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  • Pendant que je jouissais d’un mois de beau temps au bord de la mer, le hasard me jeta dans la compagnie d’une créature pleine de séductions : une vraie déesse à mes yeux, aussi longtemps qu’elle ne fit aucune attention à moi. Je ne lui dis jamais mon amour de vive voix ; mais, si les...

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  • ...vérités cruelles, les fâcheuses découvertes, les secrets de la société, qui composent la science d’un homme du monde parvenu à l’âge de quarante ans, avaient été connues de ce même homme à l’âge de vingt, ou il fût tombé dans le désespoir, ou il se serait corrompu par...

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