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    Comme la critique a bien rampé! comme elle a bien encensé, devancé, soufflé, tambouriné ces pauvres merdes! les moindres fifrelins poussifs, le moindre aigrelet vermicule tombé du cul de ces prodiges... Quelle fracasserie de tambours pour saluer la chute au papier du plus piteux de ces faux étrons! Quel carafouillage de trompettes!
    Où sont cependant les chefs-d'oeuvre promis ? Je n'aperçois partout, au plus loin dans ces déserts de la Promesse que piètres jonchées de
    brosses à reluire... toutes abusées jusqu'à la corde... En a-t-on hurlé des sottises! Avec quel cosmique culot s'est-on poussé du rose au
    rouge! au blanc! au " sur-moi " plus que rouge!... Pauvres " moi", de nature si tiède...
    Ce pourrait être un grand motif comique de l'époque, la déconfiture spirituelle des écrivains de la gauche (théâtre ou roman)... [83] L'âme
    n'a pas suivi, mais pas du tout! la doctrine, la tartuferie générale. A cet égard tout au moins la faillite est totale... L'âme communiste ne
    s'exprime nulle part... dans aucun de ces livres claironnés à tels fracas... pour une excellente raison, c'est qu'ils émanent d'individus, dits créateurs, tous absolument bourgeois, de coeur et d'intention, frénétiques intimes de l'idéal des bourgeois. Ils ne possèdent que le "plaqué doctrinal " communiste, le charabia, le tout venant des bobards... Ah! ce n'est pas facile à faire naître une musique au commandement! la preuve!
    Où sont les chefs-d'oeuvre promis ?... Je posai la question, sans malice croyez-le bien. au directeur des Editions d'Etat, M. Orloff, à Leningrad.
    M. Orloff possède la tête de bourreau la plus angoissante, la plus froncée qu'on puisse découvrir dans cette ville où pourtant le patibulisme se porte énormément. Auprès de M. Orloff, M. Deibler que je connais un peu, vous prendrait un petit air bénin, accommodant, pusillanime.
    -- Où sont les chefs-d'oeuvre promis ?...
    -- Ils vont venir!... me répondit-il, fort engageant, à sa manière...
    -- Ils ne viendront pas, Monsieur Orloff, je ne crois pas, je ne crois plus...
    -- Et pourquoi donc ?...
    -- Parce que vos auteurs ne sont pas très communistes... ils sont même assez bourgeois... et puis quelque chose de servile...
    Sur ces mots prit fin notre entrevue... l'unique. Si demain, par supposition, les Fritz étaient rois... Si Hitler me faisait des approches avec ses petites moustaches, je râlerais tout comme aujourd'hui sous les Juifs... Exactement. Mais si Hitler me disait: "Ferdinand! C'est le grand partage! On partage tout! " Il serait mon pote! Les Juifs ont promis de partager, ils ont menti comme toujours... Hitler il me ment pas comme les Juifs, il me dit pas je suis ton frère, il me dit " le droit c'est la force " : Voilà qui est net, je sais où je vais mettre les pieds, Je me fais miser, ou je me tire... Avec les Juifs c'est tout sirop... tout manigances ...insinuances... gonzesseries... cancans, frotti-frotta... boomerang, harach-loucoums... On sait plus ce qu'on prend dans la bouche, si c'est une bite ou une chandelle... C'est une franc-maçonnerie dans l'autre ...La Révolution ?... mais je veux bien! Pas plus égalitaire que moi!... Je suis un enfant de Robespierre pour la question d'être suspicieux... Alors les privilèges ?,.. Mais j'en ai
    aucun! Je m'en fous... Celui qui n'a pas tout donné il a rien donné du tout... C'est ma devise absolue. " Débrouillard " est mort comme "Crédit! " Qui veut essayer ? le bain alors!... Et tous ensemble! Les hautes fonctions dans la même flotte! la même carte au boulanger! gi!
    Pas un à pied, l'autre en vélo. Pas un à dix sous, l'autre à mille... Vous allez me dire, ces choses-là, c'est des bavardages, Ferdinand débloque encore... C'est bien! C'est bien!... je l'admets. Je vais vous donner des précisions, minute!... vous citer des faits, des circonstances, je vais être bref, actuel et typique, je ne veux pas vous ennuyer, vous me direz si j'ai menti...  *

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    Mais moi je lui dis à cet enflé, mais moi ! je suis pas réactionnaire ! pas pour un poil ! pas une minute ! pas fasciste ! pas conditionnel ! Ils vous prennent tous pour ce qu'on est pas ! des talmudistes ! des compliqués ! des triples fonds comme eux-mêmes ! Mais pas du tout ! mais moi je veux bien qu'on partage ! Mais moi j'ai jamais demandé mieux ! Là ! mes quatre sous sur la table ! Tout de suite encore ! et bien gagnés ! je vous affirme... dans la quarante-troisième année de son âge !... Pas extorqués du tout au peuple. Jamais touché un petit sou qu'il n'ait gagné 120 fois ! Toutes ses études en bossant, Ferdinand, d'un patron dans l'autre... vous savez ce que cela veut dire... à la sauvette avant la guerre... Pas né dans la bourgeoisie... jamais mis une heure au lycée... de la communale au tapin !... Je te connais bien petit bonhomme !... Et youp là fier bambin !... Il marne depuis I'âge de douze ans !... 22 patrons Monsieur, 22... Ils l'ont tous foutu à la porte !... Il en a encore deux ou trois !... et même quatre pour mieux dire... Ils se tâtent pour le balancer... Ils le considèrent troublement... Ferdinand a l'habitude. Il était fourgué aux patrons corps et âme avant sa naissance, comme tous les pauvres... Il a toujours, Messieurs, Mesdames, volé ! racheté ! sa vie au jour le jour !... au fur à mesure... fait semblant d'être avec les autres... au banc de galère... Travaillé pour les singes d'une main, de l'autre pour sa tête personnelle... et bien soucieux que nul n'en sache !... Il s'est caché dans les chiots, il avait l'air d'aller se poigner, pour préparer ses examens... Je vous le dis tel
    quel... Ils sont méchants les frères de classe dès qu'on essaye de s'affranchir, ils sont pires que tous les patrons, comme jalousie, fiel et lâcheté... Ainsi les bachots... la médecine... et puis le " Voyage " en plus, si ça ne vous fait rien... pas par des sentiers, je vous prie, qui passaient par les Ministères. Toujours il a racheté, arraché sa vie, Ferdinand, d'un petit sursis à l'autre... d'un jour à l'autre... par cent mille ruses... et miracles... Il a fallu voler ma vie... et cependant jamais libre... Chaque matin on venait me la reprendre... ce qu'il en reste... c'est régulier... Quand j'entends des piafs installer, parler de leurs inouïes épreuves, de leurs effroyables aventures!... Putain de dieu! j'en cramoisis!... Plats superficieux petits crabes! Si moi je voulais causer... Quels papiers je pourrais montrer! Quels passeports m'ont sorti du Bain... Eh! bien Monsieur, ça m'est égal!... Je veux bien tout remettre sur la table. Si l'on partage " absolument ". Pas autrement! par exemple! absolument! je répète et tout de suite!... Moi
    je me sens communiste sans un atome d'arrière-pensée! " Car vois-tu chaque jour communiste davantage! aujourd'hui plus qu'hier et bien
    moins que demain... " Vous connaissez ce mirliton ? Mais alors tout le monde! et ensemble... j'insiste! sans exception!... aucune! sans sursis!... pas une fausse note! pas un soupir dans ce grand choeur! Je me sens communiste de toutes fibres! de tous les os! de toute barbaque! et c'est pas le cas pour bezef!
    Ce qu'on appelle communisme dans les milieux bien avancés, c'est la grande assurance-nougat, le parasitisme le plus perfectionné des âges... garanti admirablement par le servage absolu du prolétariat mondial... l'Universelle des Esclaves... par le système bolchevique, farci superfasciste, boulonnage international, le plus grand coffre-fort blindé qu'on aura jamais conçu, rivé, compartimenté, soudé au brasier de nos tripes pour la plus grande gloire d'Israël, la défense suprême des éternels youtres pillages, l'apothéose tyrannique des délires sémites!... Salut!... Pour ça vraiment!... non Moloch! Je m'en ressens pas!... pour faire remonter sur le trône d'autre fous semi-nègres encore mille fois pires, plus incapables, plus jacasseurs, mille fois plus criminels encore que ceux qu'on vient de perdre! Autant de super-Béhanzins... Des clous!... Pourquoi faire ?... Mais s'il s'agit du vrai communisme, du partage de tous les biens et peines du monde dans la plus stricte égalité, alors je m'en ressens comme personne... J'ai plus besoin qu'on me stimule, qu'on me bassine... qu'on me catéchise. Je suis prêt, au garde à vous... Je suis le plus grand partageux qu'on aura jamais connu... et je vous fous mon billet qu'il me faut pas beaucoup pour vivre. Communisme tant qu'on voudra, mais sans les Juifs, jamais avec les Juifs. Rappelons un peu les événements : Monsieur Gide en était encore à se demander tout éperdu de réticences, de sinueux scrupules, de fragilités syntaxiques, s'il fallait ou ne fallait pas enculer le petit Bédouin. que déjà depuis belle lurette le " Voyage " avait fait des siennes... J'ai pas attendu mes 80 ans pour la découvrir l'inégalité sociale. A 14 ans, j'étais fixé une bonne fois pour toutes. J'avais dégusté la chose... J'avais pas besoin de savoir lire. Qu'il me soit permis de noter (puisque l'oubli est à la mode) qu'avant, depuis, pendant le
    " Voyage " les écrivains de gauche, en titre, en cour au balcon, se sont énormément grattés, ici, là-bas, et puis ailleurs, pour nous donner dans le sens " communiste intime " quelque chose d'encore beaucoup mieux... L'intention était fort louable, parfaitement honnête... Mais où sont les chefs d'oeuvre promis ?... On s'est pourtant bien réunis, ici, là-bas et puis ailleurs. Et comme on a bien déclamé! Enormément pontifié! comme on a tranché! jugé! pourfendu! navré les impies... Sur le plan idéologique. Quel massacre encore! Et puis tout transporté par l'apostolisme, n'y tenant plus de se faire voir, trop admirable à contempler! comme on s'est bien tâté l'esprit devant des millions de personnes! Emerveillées, exultantes, hagardes! au bord des estrades! devant tous ces génies radiants en puissance!  *

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    " Sozial denken ", cela veut dire pour être tout à fait explicite une fois la Révolution faite, bien faite, réussie, les indigènes bien saignés, transis, parqués, mis en bottes, une arrivée sur nos os, une nouvelle ruée d'Orient d'au moins un million de fonctionnaires avec les rejetons, les houris, les mendigots, les hommes de main, les derviches, leurs lèpres, leurs tranchomes, les marchands d'haschisch, tout le caravansérail grêlé des hordes asiatiques.
    Aux premières triomphales clameurs saluant "l'affranchissement des masses", les voilà qu'eux aussi, tressaillent, s'ébranlent et foncent en trombes sur la France, de partout, aux moindres rumeurs. Au signal que la "Bête est morte !"... Ils laissent tomber Tel-Aviv... Ils s'envolent
    du Kamtchatka... Ils jaillissent de Silésie... des tréfonds Bessarabiens... des bords de la Chine, des bourbes d'Ukraine, des Insulindes, de tous les égouts d'Amérique... Ils pullulent par toutes les routes pour les rats. Ils se précipitent par myriades... Ils dévalent...ils comblent... Charles Martel n'avait rien vu !... C'est des genres de personnes discrètes celles qui nous pillent, nous saignent actuellement à côté de celles qui nous guettent. Ça sera une telle bousculade, une ruée tellement farouche vers tous les nougats que ça sera des "écrasements de terre" dans les frontières où ils passeront. Ils chargeront si dense, si épais, entre Dunkerque et la Côte d'Azur qu'on verra plus ni chemins, ni routes.
    Je vous le prédis, c'est écrit, la mère des Apôtres est pas morte. Le monde est encore plein de martyrs qui crèvent au fond des ergastules
    du désir de nous libérer, et puis d'être "titularisés" par la même aubaine dans des fonctions pas fatigantes, d'un ministère ou d'un autre,
    avec une retraite. Jamais on n'a vu tant d'Apôtres, comme de nos jours, retraités. Le front commun à cet égard, c'est qu'une petite répétition,
    une petite avance sur l'avenir juif...
    L'avenir juif s'occupera de tout. Il s'occupe déjà de tout... Des arts populaires entre autres, avec beaucoup de sollicitude... Ils font
    éminemment partie du fameux "Sozial" les arts populaires... Un soir, saisi par l'inquiétude, je me suis décidé à descendre, pour me rendre compte un tout petit peu, dans la cave de la "Culture", pour voir ça ! Ce qu'ils allaient en faire des arts populaires, nos rénovateurs sociaux, quand ils nous auront "libérés"...
    Ça se passera pas en plaisanteries, je peux déjà vous le garantir, y a qu'à regarder un peu leurs faces, leurs manières de "passionnés"... Je
    suis donc descendu dans cette cave, une petite "Sorbonne pour martyrs" encore un peu plus juive que l'autre, rue de Navarin. J'ai l'air
    de vaticiner, de déconner à grand plaisir, sur des "visions", de plus reconnaître que des sémites, chaque coup que je me promène, mais foi
    de branleur ! je vous assure ! que jamais j'avais tant vu de Juifs dans un aussi petit espace, que dans cette cave de la Culture, confinés,
    fumants, jamais vu tant de fonctionnaires, fonctionnaires en titre, élèves fonctionnaires, tant de Légions d'Honneur, tant d'Apôtres
    entassés dans un soubassement, vociférant dans les volutes, je crois que j'étais le seul Aryen de cette fanatique réunion. Je n'en menais pas
    large.
    Et comme ils étaient messianiques ! Crépus ! myopes ! anathémateux ! Et frénétiques de rédemption ! merde ! Ils l'avaient dans le cul l'art
    moderne... fallait voir comme ils gigotaient, comme ils saccadaient les pauvres chaises ! Et puis pressés, trépignateurs, à faire s'écrouler
    toute la voûte, des rats coincés dans un fond de cale. en cours de fumigation, voilà ce qu'ils représentaient. Ils se débattaient dans cet
    antre, ils me rappelaient Harlem et le "Divine Father" Un petit tout noir, genre curé, je m'en souviens bien, il était campé sur l'estrade, il dominait le bacchanal, il s'égosillait au-dessus des contradicteurs, je vois encore ses bananes, immenses, plus larges que sa tête, ses panards qui passaient le rebord, il avait tout du Charlot, mais alors un Charlot sinistre, salvateur et râleux...
    Il s'agissait de peinture, c'était le sujet de la controverse... avenir "sozial" de la peinture... Et puis sur le plan tragique et même vengeur,
    je vous le jure ! Il s'agissait pas de facéties... Il en écumait le "Réglisse"... se débattant, s'écartelant, pour convaincre. un "crucifié"
    tétanique. "Vous êtes pas mural !" qu'il hurlait... "Vous êtes pas mural ! Vous comprenez rien du tout ! au sens des Révolutions ! Vous êtes pas
    mural ! Vous êtes pas mural ! Camarades !". Il en avait tout spécialement après un nommé Wirbelbaum... le Wirbelbaum dans un nuage, perdu dans le fond de la fumée, un terrible tourbillon de gestes...
    -- Toi, Wirbelbaum, che vais te dire quelque chose... tu sais quoi tu es Wirbelbaum ?...
    -- Tis-le ! nom de dieu ! tis-le !...
    --Tu... tu... es peintre de " chefalet ! "...
    Où qu'il était ce Wirbelbaum ?
    -- Ah ! Ah ! Ah !... il s'étranglait en entendant ça... il agonisait dans les quintes... Il en râlait Wirbelbaum, les mots lui venaient plus... Il devenait fou... d'entendre des injures semblables !... Il était myope Wirbelbaum, à se faire gicler les orbites tellement il cherchait l'opposant... Il retrouvait pas le sens de l'estrade. Il répliquais à l'envers de I'autre côté... Le Réglisse il continuait, il l'incendiait davantage... Il était en sacrée transe...
    -- Wirbelbaum ! tu n'es pas mural !... tu es arriéré ! Wirbelbaum ! tu l'as pas l'instinct "sozial" de la Révolution des masses !... tu ne comprentras chamais ! chamais rien ! Tiens ! che fais te dire Wirbelbaum tu es un peintre, tol ! dans le chenre de Fragoûnard ! Fragoûnard ! pour le chefalet ! un peintre de chefalet ! La propagande picturale ! La fraie propagante itéolochique ! Wirbelbaum ! tu la combrends rien ! tu la combrends rien !... Les dignitaires Juifs de Culture, dont Cassou le grand Poète-Inspecteur-Damné-dela-Terre (100.000 francs par an) ils se fendaient quand même la prune derrière le Bureau...
    Le Wirbelbaum, en fusion, il tressautait de furie, les copains l'avaient pivoté dans le sens de la scène, mais fallait maintenant qu'ils s'opposent, qu'ils le ceinturent en prises, en force... Il se connaissait plus Wirbelbaum... il voulait rebondir sur les planches... réduire l'autre "mural"...
    -- Fragoûnard ! Fragoûnard ! il en râlait dans les vapeurs... Ah ! le menteur !... Ah ! le fumier !... Il trouvait plus ses insultes... Il lui venait
    plus que des bulles... des écumes... des bribes...
    Considérés comme nation, les Juifs sont par excellence les exploiteurs du travail des autres hommes.
    Bakounine. *

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    Je ne réponds jamais aux lettres. Ça a fini par se savoir. J'en reçois de moins en moins. C'est pas un genre que j'ai pris. Non... Non... C'est simplement que j'aime pas les lettres une bonne fois pour toutes et que je les ai même en horreur. Je trouve ça indiscret qu'on m'écrive.
    J'écris à personne, moi. Les "recommandées" c'est ma phobie. Je les refuse toutes en bloc, par principe. Les autres, les simples envois,
    c'est ma concierge qui les déchire, elle retire seulement les timbres pour ses petits garçons... Vous me direz : "Le pèze ?" Celui-là soyez
    bien tranquilles, il monte pas tout seul. Il faut que je descende le chercher. Il arrive pas par la poste. Le reste forcément c'est des mots.
    Je ne reçois pas non plus "l'Argus", Denoël pas davantage. Il trouve que ça coûte trop cher... Et puis les articles, faut avouer ceux qui
    traitent de vos si belles oeuvres restent toujours si loin de la question, tellement insolites, que c'est pas la peine de les lire, c'est vraiment du
    temps bien perdu, de la souffrance inutile.
    Les critiques, surtout en France, ils sont bien trop vaniteux pour jamais parler que de leur magnifique soi-même. Ils parlent jamais du sujet. D'abord ils sont bien trop cons. Ils savent même pas de quoi il s'agit. C'est un spectacle de grande lâcheté que de les voir, ces écoeurants, se mettre en branle, s'offrir une poigne bien sournoise à votre bonne santé, profiter de votre pauvre ouvrage, pour se faire reluire, paonner pour l'auditoire, camouflés, soi-disant "critiques" !
    Les torves fumiers ! C'est un vice ! Ils peuvent jouir qu'en dégueulant, qu'en venant au renard sur vos pages. J'en connais qui sont écrivains et
    puis millionnaires, ils sortent exprès de leurs rubriques pour se filer un rassis, chaque fois que je publie un ouvrage. C'est la consolation de
    leurs vies... des humiliations de profondeur, des "inferiority-complex", comme ça s'intitule en jargon.
    Pour la question des missives, une seule fois j'ai fait exception en faveur de la Palestine. A la suite de "Mea Culpa" il m'est arrivé de Palestine tellement de lettres en quelques courriers, que ma concierge s'en est émue. Elle m'a demandé ce qu'elle devait faire. Les Juifs ils m'écrivaient en masse, de Tel-Aviv et d'ailleurs. Et puis alors sur un ton ! dans les furies d'une de ces rages ! à en consumer les enveloppes ! Ils se poussaient au rouge-blanc, les énergumènes ! Ah ! les petits Passionistes !... (Et voilà !) Ah ! il les aiment eux, les Soviets ! Ça je peux vous l'affirmer ! Si les chrétiens aimaient leur Pape avec cette ferveur effrayante, le Pape il ferait explosion, il pourrait jamais résister... De cet énorme fracas d'injures, cafouillages tonitruants, effrénées malédictions, de ces délires anathémiques, il se dégageait malgré tout, de cette cacophonie extrême, en haines surpressées, une certaine rengaine tonique... un air de trompette vainqueur, bien juif, bien connu... l'appel qui les rassemble tous, qui les fait droper tous ensemble, qui les fait foncer corps et âmes à la curée de l'Univers, l'air du "Sozial" comme ils l'appellent... Leur grand alibi, leur grand
    hallali. Tous ces "braves" de la Judée, tous anonymes plus ou moins, ils me vomissent en allemand. Ils terminaient à peu près tous, après
    quelques pages de hargne intensive, par quelque formule de ce genre : "Du ! Dümenkopf ! wirst du nimmer doch Sozial denken ?" ! (Toi !
    idiot ne penseras-tu donc jamais "sozial ?")... "Sozial denken" ! Penser "sozial !" Voici le pharamineux dada, le grand destrier de toute
    la race youtre ! de toutes les invasions, les dévastations youtres.
    Penser "sozial !" cela veut dire dans la pratique, en termes bien crus : " Penser juif ! pour les Juifs ! par les Juifs, sous les Juifs !" Rien
    d'autre ! Tout le surplus immense des mots, le vrombissant verbiage socialistico-humanitaro-scientifique, tout le cosmique carafouillage de
    l'impératif despotique juif n'est que l'enrobage mirageux, le charabia fatras poussif, la sauce orientale pour ces enculés d'Aryens, la
    fricassée terminologique pourrie pour l'adulation des "aveulis blancs", ivrognes rampants, intouchables, qui s'en foutrent à bite que veux-tu, s'en mystifient, s'en bâfrent à crever.

    "Bagatelles pour un massacre" *

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    En Russie, les youtres, aussitôt qu'ils ont commandé, ils ont pas mis beaucoup de mitaines pour décimer les Aryens... C'est par millions depuis dix-sept ans, qu'ils ont fait crever les impurs... Les Juifs n'aiment pas voir couler le sang ? Des clous ! Pas le leur bien sûr !... Mais celui des autres, ils s'en montrent des plus généreux... dès que l'occasion s'en présente. Pour un Juif, souvenez-vous bien... tout non-Juif n'est qu'un animal ! Au plus il peut être amusant, utile, dangereux ou pittoresque... Jamais davantage... La race élue dans nos régions n'a pas encore fait procéder aux
    exécutions massives, seulement à quelques petits meurtres sporadiques. Mais cela ne saurait tarder. En attendant le grand spectacle, on travaille doucement la bête... Ou bien par saccades, par sautes, selon paniques bien préparées... Un jour on le serre au garrot, le lendemain on lui larde les jointures, il faut que l'animal s'affole, s'épuise et cafouille dans l'arène... dégueule, crache peu à peu tout son sang... dans la sciure et dans la Bourse... Les Juifs se pourlèchent, se régalent. Quand l'animal sera sur les genoux alors viendra la mise à mort, et sans résistance possible...
    Combien ils ont gagné nos Juifs dans le coup du Front Populaire ?... sur les trois... quatre dévaluations ?... C'est pas calculable ! Trouvez-moi un seul ministre qu'ait perdu un peu d'argent ?... Jamais peuple souverain ne se montra si généreux, si grandiosement prodigue envers ses émancipateurs !... Où sont passés tous ces milliards ? Cherchez pas !... Chez les autres youtres de Suisse, de Genève, de New-York, de Londres... en très jolis immeubles... délicieuses valeurs à vue, en distilleries... armements... Les Juifs ne spéculent pas tout seuls ! ne tripotent pas tout seuls au monde !... Ils ne sont pas les seuls racketers... Cette bonne musique. Evidemment, les chrétiens riches ils se soignent aussi énormément ! Ils
    se précipitent à toute berzingue sur tous les bonis du désastre ! Bien sûr ! Bien sûr !... Chacals comme personne ! Seulement il y a un "hic"... Les capitalistes "indigènes", leurs jours sont comptés ! Ils encombrent ! Ils ne sont eux aussi que des animaux ! Il faudrait pas qu'ils oublient ! Les Juifs eux n'oublient jamais... La veille de la fête ils mourront les exploitants blancs comme les cochons pour la noce... Ils se bernent de vaines illusions ! Ils n'iront pas au bonheur ! Ils ne sont qu'otages ! Le Juif à mesure qu'il avance ferme derrière lui toutes les grilles... Personne n'échappera au Destin. Toutes les clefs, il les garde... Il jette alentour quelques os pour repérer, rallier les plus voraces... Il en fera ses caïds, les traîtres du Grand Soir, comme on préserve à la Villette quelques bêtes, soigneusement dressées, toujours les mêmes, pour entraîner les autres, la horde, au couteau, le torrent des viandes à buter, bêlantes, pagaïeuses brouteuses de conneries.

    "Le Juif est la plaie de l'Humanité, l'ennemi de toutes les nations." Fourier

    "Bagatelles pour un massacre" *

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