• Qu'est-ce que l'Amnésie?
    Affaiblissement ou perte de la mémoire. Temporaire ou définitive, l'incapacité à se souvenir – amnésie - trouve souvent son origine dans un choc émotionnel, voir un traumatisme. Elle peut concerner tout un pan de la vie ou bien un seul souvenir.

    Il y a huit ans, le 17 décembre 2008, Nicolas Sarkozy avait prononcé son discours sur "Egalité des chances et diversité". C'est très instructif de le réécouter ...

     Plus inquiétant serait de penser que ce discourt avait convaincu  la population toute entière... à se résigner, à accepter sans se révolter...

    Mais le plus "savoureux" est dans la vidéo ci-dessous...

    Nicolas Sarkozy: le métissage de gré ou de force

    Difficile de ne pas faire le lien entre "les méthodes plus contraignantes" et l'arrivée massive de l'immigration du continent africain en Europe en général et en France en particulier.
    Cette vague gigantesque de migrants  est composé essentiellement d'hommes seuls et jeunes. Le gouvernement les accueille les bras ouverts comme s'il s'agissait des héros. Les malheureux fuient la guerre... Sauver sa peau en laissant dans un pays en guerre les femmes, les vieillards et les enfants est devenu un acte héroïque... Il n'y a pas si longtemps ce genre d'individus étaient appelés les traîtres.
    Si les viols des femmes européennes par les ordres sauvages des migrant n'est pas le métissage force, qu'est-ce?  Quel choix s'offre à ces femmes? Avorter au risque de ne plus avoir d'enfants ou de donner la naissance à un métis.
     
    Voici ce que dit D.H.L dans son roman "Le serpent à plumes" :

    "Bon! Maintenant, si vous mêlez des sangs de même race, cela peut aller très bien. Les Européens sont tous de souche aryenne, la race est la même. Mais quand vous mêler du sang européen et américano-indien, vous mêlez des sangs de races différentes et vous produisez des métis. Or, le métis est une calamité. Pourquoi...? Il n'est ni chair ni poisson, il est divisé en lui-même. Son sang d'une race le pousse à faire telle chose, son sang d'une autre race le pousse à autre chose. C'est un malheureux et un malheur pour lui même. Le cas est désespéré."
    Remplacez le "américano-indien" par "africano-arabe" ... le résultat est le même...

    Le métissage, qui à terme fera disparaître toute identité, est-il un crime contre l'humanité?

     

     

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  • Hiver :
    Attention
     

    Le ciel pleure ses larmes blanches
    Sur les jours roses trépassés ;
    Et les amours nus et gercés
    Avec leurs ailerons cassés
    Se sauvent, frileux, sous les branches.

    Ils sont finis les soirs tombants,
    Rêvés au bord des cascatelles.
    Les Angéliques, où sont-elles !
    Et leurs âmes de bagatelles,
    Et leurs coeurs noués de rubans ?…

    Le vent dépouille les bocages,
    Les bocages où les amants
    Sans trêve enroulaient leurs serments
    Aux langoureux roucoulements
    Des tourterelles dans les cages.

    Les tourterelles ne sont plus,
    Ni les flûtes, ni les violes
    Qui soupiraient sous les corolles
    Des sons plus doux que des paroles.
    Le long des soirs irrésolus.

    Cette chanson – là-bas – écoute,
    Cette chanson au fond du bois…
    C’est l’adieu du dernier hautbois,
    C’est comme si tout l’autrefois
    Tombait dans l’âme goutte à goutte.

    Satins changeants, cheveux poudrés,
    Mousselines et mandolines,
    O Mirandas ! O Roselines !
    Sous les étoiles cristallines,
    O Songe des soirs bleu-cendrés !

    Comme le vent brutal heurte en passant les portes !
    Toutes, – va ! toutes les bergères sont bien mortes.

    Morte la galante folie,
    Morte la Belle-au-bois-jolie,
    Mortes les fleurs aux chers parfums !

    Et toi, soeur rêveuse et pâlie,
    Monte, monte, ô Mélancolie,
    Lune des ciels roses défunts.

    Albert Samain, Au jardin de l’infante *

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  •  

    Après le succès éclatant de son album new-yorkais Love On The Beat, Gainsbourg remet le couvert dans la Grosse Pomme en 1987, mais hélas pour la dernière fois. Dans cet ultime album studio, Serge affirme sa maîtrise absolue du talk-over, cette façon si singulière qu'il avait de parler plus que de chanter, maintenant le rythme tendu et laissant le plus souvent les choeurs assurer la ligne mélodique. Les guitares claquent sur des arrangements absolument impeccables que surlignent les interventions inspirées du saxophoniste Stan Harrison. Le très grand moment de l'album reste incontestablement "Aux enfants de la chance", tirade anti-drogue climatique et convaincante, touchante aussi, entre les lèvres d'un homme qui abusa pourtant très largement d'autres substituts autorisés, eux, par l'État. Au rayon reprises, celle de "Mon légionnaire", jadis popularisé par Édith Piaf, referme cet album avec une classe absolue. Il n'y avait que Gainsbourg pour imaginer, sans rire, pouvoir interpréter ce titre écrit pour une femme. Sa lecture singulière de cette déjà admirable chanson touche ici au monument. Il fait un chef-d'oeuvre de ce qui n'aurait été que pitrerie dans la bouche d'un autre, balayant miraculeusement toute notion de vulgarité. Luc Besson en tirera un clip en noir et blanc d'une esthétique digne et élégante, qui transcende le tout. Chapeau bas pour cette dernière révérence d'un véritable seigneur.

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