• Tag ainsi

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  • ...? Fantôme au laurier d'or, vierges au cou d'ivoire, Je vous fuis pour l'étude et pour l'obscurité. " Ainsi, jeune orgueilleux, ainsi longtemps disais-je ; Mais comme après l'hiver, en nos plaines, la neige Sous le soleil de mars fond au premier beau jour, Je te vis, blonde Hélène,...

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  • ...Bien et du Beau, mais il advenait plutôt que l'habitude, on ne sentait, à la longue, plus grand chose ; ainsi, ce que je cherchais, désespérément mais en vain, à recouvrer, c'était bien ce choc initial, cette sensation d'une rupture, d'un ébranlement infini de tout mon être ; à la place...

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  • ...pour ne pas être différents ,et aussi parce que nous étions désemparés, ne sachant à quel saint nous vouer . C'est ainsi que la foule des hommes devient semblable à ces maisons dont les volets se ferment l'un après l'autre, répandant ainsi dans la rue une impression d'étrange froideur. "...

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  • Va, mon âme, au-dessus de la foule qui passe, Ainsi qu'un libre oiseau te baigner dans l'espace. Va voir ! et ne reviens qu'après avoir touché Le rêve... mon beau rêve à la terre caché. Moi, je veux du silence, il y va de ma vie ; Et je m'enferme où rien, plus rien ne m'a suivie ;...

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  • Tous je suppose, ont leurs bizarreries, mais dans leurs efforts pour paraître normal aux yeux du monde Ils les dominent et ainsi étouffent leur originalité. J'ai gardé la mienne et je pense sincèrement qu'elle a généreusement contribué à mon existence. "Le ragoût du septuagénaire"

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  •     On ne guette pas les lettres Ainsi - mais la lettre. Un lambeau de chiffon Autour d'un ruban De colle. Dedans - un mot. Et le bonheur. - C'est tout.   On ne guette pas le bonheur Ainsi - mais la fin : Un salut militaire Et le plomb dans le sein - Trois balles. Les yeux sont rouges....

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  • ..."C'était dur à croire. La récré une fois finie, j'allai m'assoir en classe et je réfléchis à tout ça. Ainsi donc, ma mère, elle avait un trou et mon père une bite qui crachait du jus. Mais comment pouvaient-ils avoir des trucs pareils et continuer à se balader comme si tout était...

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  • ...pas de métier plus honteux, Plus sot, plus dégradant pour la pensée humaine Que de se mettre ainsi la cervelle à la gêne, Pour écrire trois mots quand il n’en faut que deux, Traiter son propre cœur comme un chien qu’on enchaine, Et fausser jusqu’aux pleurs que l’on a dans...

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